Tome,  Chap.

 1    I,       1|       pouvaient plus le soutenir, faute de tenir pied, prit un mouvement
 2    I,      11|       être rudement châtiée de sa faute et elle avait cruellement
 3    I,      11|           Taverney, ce serait une faute énorme : d’abord à cause
 4    I,      18|        gémirent comme d’habitude, faute d’huile.~ ~ ~ ~Alors il
 5    I,      20|          s’écria-t-elle. C’est ma faute aussi, moi qui le fais parler
 6    I,      22|   Philippe, qu’il n’y a pas de ma faute, et j’en suis aux plus profonds
 7    I,      24|      seulement.~ ~ ~– C’est votre faute : je vous ai invité cent
 8    I,      24|          est moi qui ai commis la faute, c’est à moi de la réparer…
 9    I,      29|    pauvreté ne venait point de sa faute. Seulement, elle regrettait
10    I,      37|       nous laissera pas en chemin faute d’un carrosse.~ ~ ~– Eh !
11   II,      49|           ne veux pas que, par ma faute, le pavé du roi soit embarrassé
12   II,      52|         évanouir.~ ~ ~– Est-ce ma faute, reprit le comte de cette
13   II,      52|      certains moments ; est-ce ma faute, si cette vérité était si
14   II,      52|        Monsieur !~ ~ ~– Est-ce ma faute, Madame, si cet avenir,
15   II,      56|          Hélas ! dit-il, c’est ta faute, ou plutôt la faute de Dieu.
16   II,      56|        est ta faute, ou plutôt la faute de Dieu. Pourquoi Dieu a-t-il
17   II,      56|      êtres vulgaires et sordides, faute de trouver en eux une place
18   II,      66|         humeur.~ ~ ~– C’est votre faute, pardieu ! répondit le baron ;
19   II,      79|    désastre, sire.~ ~ ~– À qui la faute ?~ ~ ~– À M. Bignon, prévôt
20  III,      95|         la privant de son regard, faute de prunelles. Une fois,
21  III,      96|          ennemi sont toujours une faute mortelle en politique.~ ~ ~ ~
22  III,      96|           l’y trouverez donc sans faute. »~ ~– Et maintenant, ajouta
23  III,      96|        coup dont il était menacé, faute de rencontrer l’épée de
24  III,     100|       voyez, ce ne sera pas de ma faute.~ ~ ~– Sire, vous êtes le
25  III,     104|        pas précisément de lui, la faute ne lui en sera pas moins
26  III,     105|        donc, en effet, commis une faute ?~ ~ ~– Une grande, monsieur,
27  III,     105|        crois pas avoir commis une faute, mais je crois avoir parlé
28  III,     105|      Balsamo, et qui s’est perdue faute du seul médecin qui soit
29  III,     105|      Effroyablement.~ ~ ~– Par la faute de son âme ?~ ~ ~– Par la
30  III,     105|         de son âme ?~ ~ ~– Par la faute de son âme, qui a trop de
31  III,     108|                 Voilà donc par ma faute, dit-il, les frères mis
32  III,     110|        qui retrouve un écolier en faute.~ ~ ~– Encore des compliments
33  III,     110|       vieux savant qui relève une faute dans Saumaise ; oui, vous
34  III,     111|           Taverney qui a fait une faute !…~ ~ ~Andrée rougit, elle
35  III,     113|   comtesse, sire ! y a-t-il de ma faute ?~ ~ ~– Sans doute.~ ~ ~–
36  III,     122|      amour, et se rendant à pied, faute de fiacre, à quelque petite
37   IV,     125|         Dieu merci ! ce n’est pas faute de lui avoir répété : «
38   IV,     137|           donc. Au fait, c’est ma faute, je l’ai grondée. Pauvre
39   IV,     138|            apportez-moi donc sans faute, à votre visite de ce soir,
40   IV,     141|          était cependant point ma faute.~ ~ ~– Pauvre chère, dit
41   IV,     141|           que ce n’était point ta faute ; ensuite, ensuite ?~ ~ ~–
42   IV,     146| étonnement.~ ~ ~– J’ai commis une faute, monsieur, dit Balsamo,
43   IV,     146|          en compensation de cette faute, qu’il est juste de me pardonner,
44   IV,     151|           quand vous avez fait la faute ?~ ~ ~– Monsieur, cette
45   IV,     151|                   Monsieur, cette faute…~ ~ ~ ~Et Gilbert, avec
46   IV,     151|         fit celui-ci.~ ~ ~– Cette faute, reprit Gilbert, il y a
47   IV,     155|          pour la réparation d’une faute que vous m’avez facilitée…~ ~ ~–