Tome,  Chap.

 1    I,       6|      contagieuse, et c’est une maladie qui se gagne ici, à ce qu’
 2    I,      36|    serais capable de faire une maladie dangereuse si Tronchin ne
 3   II,      50|        terrible et mystérieuse maladie qu’on appelle la possession.~ ~ ~–
 4   II,      63|    volume depuis cette fameuse maladie de Metz durant laquelle
 5   II,      71|     détails lui révélaient une maladie, mais non une mort.~ ~ ~–
 6   II,      77|    folle.~ ~ ~– C’est donc une maladie que vous ont donnée ceux
 7   II,      80|     roi, vous avez aussi cette maladie, madame ?~ ~ ~– Sire, c’
 8   II,      80|                Sire, c’est une maladie de famille.~ ~ ~– Vous allez
 9   II,      80|    Taverney, pâle encore de sa maladie.~ ~ ~– Comme elle est pâle !
10  III,      84| indiquez le remède.~ ~ ~– À la maladie qui vous travaille ?~ ~ ~–
11  III,     101|     répétée à Metz, lors de sa maladie, qu’il ne crut pas pouvoir
12  III,     105|       qui a été le siège d’une maladie fort curieuse. Vous permettez ?~ ~ ~–
13  III,     115|        compter les jours de ma maladie, suite de l’étouffement
14  III,     117|    mourir ; vous inventerez la maladie. « Renfermez-vous près de
15  III,     118|            Elle a donc la même maladie que moi ? dit Richelieu
16   IV,     130|    toujours des détails sur la maladie qu’il a à traiter. Veuillez
17   IV,     136|      monsieur : atteinte d’une maladieaffreuse… un guet-apens,
18   IV,     138|        battus, et dites-moi la maladie de ma protégée.~ ~ ~– Oh !
19   IV,     138|             Madame, dit-il, la maladie de mademoiselle est des
20   IV,     138|   absolument rien à faire à la maladie de mademoiselle.~ ~ ~– Vrai ?~ ~ ~–
21   IV,     138|    bienveillant sourire. votre maladie n’offre rien de bien inquiétant,
22   IV,     141|     aux gens qui aiment, de la maladie par les symptômes ; il savait
23   IV,     142|      docteur, quelle est cette maladie dont vous deviez compte
24   IV,     142|  sang-froid, du courage… Cette maladie, ce déshonneur peut-être…
25   IV,     144|      médecin donnaient à cette maladie.~ ~ ~ ~Elle s’étonnait bien
26   IV,     144|   matin même, avait déclaré la maladie insignifiante et les remèdes
27   IV,     144|        du peu de gravité de ma maladie, je n’eusse point pris la
28   IV,     144|      propos de cette prétendue maladie.~ ~ ~– Pour la dernière
29   IV,     145|  chaque jour les progrès de la maladie sur le visage et dans la
30   IV,     145|        pas à tout le monde une maladie naturelle, et qu’on en rechercherait
31   IV,     153|         souffrant encore de la maladie qui avait suivi le 31 mai,
32   IV,     156|               Et elle souffreMaladie étrange, que l’air du pays
33   IV,     156|   longtemps, dit Philippe ; la maladie de ma sœur est un profond
34   IV,     162|          j’ai pris toute cette maladie pour une ruse, pour une
35   IV,     Epi|        Louis XV, atteint d’une maladie terrible dont les médecins
36   IV,     Epi|      famille et des partis, la maladie se logeait à l’aise dans
37   IV,     Epi|   exhortation soit urgente. Ma maladie est légère : une courbature,
38   IV,     Epi|      inflammation.~ ~ ~– Votre maladie, sire, interrompit la princesse,
39   IV,     Epi|  vérole ! murmurait Louis XV ; maladie mortelle !… Bordeu !… La
40   IV,     Epi|    Bordeu savait l’issue de la maladie du roi, il ne lutta pas
41   IV,     Epi|        du temps de la première maladieÉcoutez donc, tout s’use.~ ~ ~–
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