Tome,  Chap.

 1    I,       2|     présomptueuse jeunesse ! s’écria-t-il avec un rire funèbre qui
 2    I,       2| noisette.~ ~ ~– Un diamant ! s’écria-t-il.~ ~ ~ ~Puis presque aussitôt :~ ~ ~–
 3    I,       4|             Sang du Christ ! s’écria-t-il avec un rugissement pareil
 4    I,       6|        la sorcellerie cela ! s’écria-t-il. il y a cent ans, vous eussiez
 5    I,      21|           Holà ! quelqu’un ! s’écria-t-il.~ ~ ~– Qui frappe ? demanda
 6    I,      22|       osez dire, monsieur ?… s’écria-t-il.~ ~ ~– Non seulement j’ose
 7    I,      26|    autres… Ah ! vous voilà ! s’écria-t-il. Je vous avais mandé, vous
 8    I,      26|               Une punition ! s’écria-t-il, sans que j’aie entendu
 9    I,      32|      Demain, à onze heures ? s’écria-t-il.~ ~ ~– Sans doute, à l’heure
10    I,      37|         monsieur le vicomte, s’écria-t-il, le carrosse de madame était
11    I,      37|    science.~ ~ ~– Monsieur ! s’écria-t-il en saisissant le bras de
12   II,      40| banquette.~ ~ ~– La livrée ! s’écria-t-il en lançant à l’intendant
13   II,      40|       philosophe.~ ~ ~– Oh ! s’écria-t-il en contemplant avec saisissement
14   II,      44|         Il est huit heures ! s’écria-t-il. Oh ! mon Dieu ! mon Dieu !
15   II,      46|        où suis-je donc ici ? s’écria-t-il. Des princes, des altesses
16   II,      46|    portrait de M. Rousseau ! s’écria-t-il. Oh ! voyons, voyons. »~ ~ ~
17   II,      49|            Ah ! brigandeau ! s’écria-t-il ; tu désertes, tu vagabondes ;
18   II,      56|      Toi morte, ma Lorenza ? s’écria-t-il. Non, non, nous vivrons
19   II,      56|     vapeurs.~ ~ ~– Lorenza ! s’écria-t-il, réveillez-vous, je le veux !~ ~ ~ ~
20   II,      60|      cet homme est stupide ! s’écria-t-il. Occupez donc vingt ans
21   II,      62|       front.~ ~ ~– J’y suis, s’écria-t-il.~ ~ ~– Quoi ?~ ~ ~– Il guette
22   II,      67|            Elle est sauvée ! s’écria-t-il en voyant fuir cette tourbe
23   II,      68|       main d’un jeune homme, s’écria-t-il, d’une robe blanche pareille
24   II,      68|      tour.~ ~ ~– C’est lui ! s’écria-t-il en ouvrant les bras.~ ~ ~ ~
25   II,      76|            Madame du Barry ! s’écria-t-il.~ ~ ~– Moi-même, monsieur,
26  III,      83|        de pareilles choses ! s’écria-t-il. Oui, ce sont les femmes
27  III,      84|            Il est charmant ! s’écria-t-il ; il ne doute de rien !
28  III,     122|  Balsamo, tu as beau courir, s’écria-t-il, Lorenza est déjà arrivée :
29   IV,     127|      verras, tu chercheras ! s’écria-t-il ; oh ! c’est donc là ta
30   IV,     129|   tomba à genoux.~ ~ ~– Oh ! s’écria-t-il, si dans deux heures elle
31   IV,     131|               Oh ! ce sang ! s’écria-t-il ; d’où vient ce sang ?~ ~ ~ ~
32   IV,     133|       Qu’était cette femme ? s’écria-t-il. Belle, passionnée, dévouée
33   IV,     133|     trahi, comme vous dites, s’écria-t-il, la voici, prenez-la ! Dieu
34   IV,     138|               Peu de chose ! s’écria-t-il ; mais, en vérité, je ne
35   IV,     144|            Andrée ! Andrée ! s’écria-t-il, non ! non ! c’est moi qui
36   IV,     150|       Vous devez à Gilbert ? s’écria-t-il.~ ~ ~– Oui, dit naturellement
37   IV,     150|        modèles que j’ai là ! s’écria-t-il. Le fils abandonne l’espoir
38   IV,     150|       du malheur en enfants, s’écria-t-il : un sot et une brute.~ ~ ~ ~
39   IV,     151|       piqué.~ ~ ~– Par moi ? s’écria-t-il.~ ~ ~– Par vous, oui, monsieur,
40   IV,     151|         Il serait possible ! s’écria-t-il. Mais non, une pareille
41   IV,     158|           Des pas d’homme !… s’écria-t-il. L’enfant a été enlevé…