Tome,  Chap.

 1    I,      17|          aussi indépendant que le vôtre, me décider, moi, à m’enterrer
 2    I,      24| provisions, c’est mon affaire. La vôtre, sire, est de pouvoir, sans
 3    I,      31|            votre amitié.~ ~ ~– La vôtre m’est si précieuse, répondit
 4    I,      33|         mon Choiseul, renvoyez le vôtre.~ ~ ~– Pas de politique,
 5    I,      36|      cette présentation serait la vôtre, par hasard ?~ ~ ~ ~Mesdames
 6    I,      38|     dit-elle.~ ~ ~– Non ; dans la vôtre, probablement.~ ~ ~– Duc,
 7   II,      41|       avoir aucun rapport avec la vôtre, car vous parlez des Taverney
 8   II,      44|             c’est assez d’être la vôtre, sans devenir aussi celle
 9   II,      54|     Muette à la rue voisine de la vôtre ; c’est celle que par hasard
10   II,      59|       être heureux de demeurer le vôtre.~ ~ ~ ~Balsamo s’inclina
11   II,      60|         œuvre et que vous avez la vôtre. Accomplissons-la, chacun
12   II,      68|          de mêler ma douleur à la vôtre, mais ceux qui sont frappés
13   II,      75|      faire.~ ~ ~– N’a-t-il pas le vôtre, qui est tout fait ? Ah !
14   II,      76|    déjeuner de Plessis-Piquet, le vôtre ?~ ~ ~– Oui, monsieur :
15   II,      79|      beaucoup moins habile que le vôtre, celui de l’abbé Dubois,
16   II,      81|     préfère ; vous avez choisi le vôtre, le roi a choisi le sien.
17  III,      82|       aussi, prince ?~ ~ ~– Et au vôtre aussi, duc.~ ~ ~– Comment
18  III,      99|     dissimuler.~ ~ ~– Pas plus le vôtre, madame, que celui de M.
19  III,     104|    patient. Je porte mon sort, le vôtre, celui du monde dans le
20  III,     105|          de votre chapeau, est la vôtre.~ ~ ~– Oh ! pardon, monsieur,
21  III,     108|            et qu’un nom pareil au vôtre s’annonce bien tout seul.~ ~ ~–
22  III,     110|        sens, il est complexe ; le vôtre est restreint ; n’est-ce
23  III,     116|     approcher d’elle. Donnez à la vôtre toutes les amorces de la
24  III,     117|         mon temps et faites-en le vôtre. N’êtes-vous pas, sans le
25  III,     120|         est pas le sien, c’est le vôtre.~ ~ ~– Ce sang est le mien !
26  III,     120|          égarement.~ ~ ~– Oui, le vôtre, le vôtre ! Vous vous êtes
27  III,     120|                 Oui, le vôtre, le vôtre ! Vous vous êtes coupé les
28  III,     120|      doigt où vous avez appuyé le vôtre. Ah ! l’œil du lion cède,
29   IV,     125|           celui d’Alby qui est le vôtre. Eh bien, monsieur, je l’
30   IV,     126|   intelligents et jeunes comme le vôtre qui lui soient favorables.
31   IV,     138|    fortune de votre famille et la vôtre ; et, la première fois que
32   IV,     139|     Richelieu ; pas la mienne, la vôtre, bien entendu.~ ~ ~– Je
33   IV,     144|      devait au moins provoquer la vôtre à défaut de tendresse ;
34   IV,     146|          ami, dit Philippe, et la vôtre est respectable ; mais elle
35   IV,     148|           d’un pouvoir tel que le vôtre n’en use pas pour arriver
36   IV,     150|           vous puissiez donner au vôtre, c’est de l’effacer de votre
37   IV,     150|          de Taverney… le mien… le vôtre, monsieur, fût souillé d’
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