Tome,  Chap.

 1    I,       1|       leur adresse d’une certaine musique métallique, dont cette race –
 2   II,      44|           se sont passées de leur musique.~ ~ ~ ~Jacques ne dit pas
 3   II,      45|     celui-ci ; c’est du papier de musique.~ ~ ~– Eh bien, lorsqu’une
 4   II,      45|         ai copié dessus autant de musique qu’elle peut en contenir,
 5   II,      45|         apprendrez à copier de la musique ?~ ~ ~– Oui, monsieur, je
 6   II,      45|           Mais vous savez lire la musique, alors ?~ ~ ~– C’est-à-dire
 7   II,      45|  ignorance, voilà que vous parlez musique comme vous parliez botanique,
 8   II,      45|        enfant, vous m’étonnez. La musique est un art qui ne vient
 9   II,      45|           Oui, et moi, j’adore la musique.~ ~ ~– Tout ceci n’est point
10   II,      45|            car, pour écrire de la musique que je ne comprends pas,
11   II,      46|     comment vous avez copié votre musique, mon enfant, répondit en
12   II,      46|       copier sur du vrai papier à musique ; c’est court et peu difficile ;
13   II,      46|      philosophie, et copiez de la musique en attendant mieux.~ ~ ~–
14   II,      49|           Gilbert. Je copie de la musique.~ ~ ~ ~Andrée tourna la
15   II,      49|                 Vous copiez de la musique ? dit-elle.~ ~ ~– Oui, mademoiselle.~ ~ ~–
16   II,      49|            j’aime profondément la musique, et, comme tous les jours
17   II,      53|           pavillons, au son de la musique que leur envoya le roi.
18   II,      53|           siège, en copiant de la musique. Il me reste de l’argent,
19   II,      72|     livres et de l’harmonie de sa musique.~ ~ ~ ~Ces voisines avaient
20   II,      78|       Rousseau quand il écoute sa musique.~ ~ ~– C’est qu’en effet,
21  III,      94|        toujours des fleurs, de la musique et une belle page pour recréer
22  III,      95|           En face, des maîtres de musique faisaient répéter, dans
23  III,     102| berçait-il, au son de cette aigre musique, sa pensée à lui, qui certes
24  III,     102|        signalée à Rousseau. Cette musique, à laquelle sont sensibles
25  III,     108|      quelque sympathie pour votre musique, qui est charmante. Sa Majesté
26  III,     108| gentilshommes s’occupent aussi de musique avec certain succès, l’opéra
27  III,     110|        pendant qu’on exécutait sa musique, il pensa sérieusement qu’
28  III,     110|      perruque, vous avez fait une musique charmante, et qui, à moi,
29  III,     110|          allons entendre de votre musique.~ ~ ~– Monseigneur…, balbutia
30  III,     110|         Ah ! de la bien charmante musique, dit la comtesse, bien conforme
31  III,     110|          pas artiste, profaner la musique du maître.~ ~ ~ ~Rousseau
32  III,     113|          cherche à me reposer. La musique m’énerve ; il eût fallu,
33  III,     113|        mit la conversation sur la musique.~ ~ ~ ~Richelieu prit la
34  III,     113|        Sire, dit Richelieu, si la musique met les hommes d’accord,
35  III,     113|           un effet contraire à la musique ; vous surtout, vous avez
36  III,     113|      madame la dauphine.~ ~ ~ ~La musique de Sa Majesté animait le
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