Tome,  Chap.

 1    I,  IntIII|       ils périront chacun par la vertu ou le défaut contraire.
 2    I,       9|         pas un vain mot comme la vertu ! Mesmer a vaincu Brutus.
 3    I,      16|         la fille des conseils de vertu… Dignes serviteurs que j’
 4    I,      27|        on l’aimait. C’est que sa vertu n’était point farouche ;
 5    I,      28| équivoques, je vous prie, sur la vertu de votre sœur ; on n’a jamais
 6    I,      28|            je ne parle pas de sa vertu, dit Madame Sophie, fort
 7    I,      30|        quelle éloquence ! quelle vertu ! Ah ! monsieur le chancelier,
 8   II,      74|        voilà ce que c’est que la vertu – celle de mademoiselle
 9  III,      84|        un philtre.~ ~ ~– Dont la vertu, continua le duc, sera mise
10  III,      86|           c’était un parangon de vertu, de morale et de patriotisme.
11  III,      88|    briller d’un éclat exagéré la vertu d’un autre aux dépens de
12  III,      89|          et qui est un modèle de vertu et de beauté. Celle-là est
13  III,      95|       fondre au soleil, et cette vertu désespérait Gilbert ; mais,
14  III,     112|        la beauté, la grâce et la vertu, lorsqu’elles sont accompagnées
15  III,     112|         mon trou de Taverney… La vertu lui est poussée toute seule.~ ~ ~–
16  III,     112|         toujours le propre de la vertu d’offenser quelqu’un ou
17  III,     112|        se ressembler. Ce qui est vertu pour toi pour moi est sottise ;
18  III,     112|    affaire à une aussi admirable vertu que mademoiselle Andrée,
19  III,     112|      ennuyeuse discussion sur la vertu.~ ~ ~– Merci, cher duc,
20  III,     112|        moi, nous causerons de la vertu de ta fille. Adieu, Taverney,
21  III,     116|         en leur faisant aimer la vertu. La vertu renfrognée, triste
22  III,     116|       faisant aimer la vertu. La vertu renfrognée, triste et psalmodiant
23  III,     118|   ensuite dans une théorie de la vertu, théorie si spirituelle,
24  III,     118|    Richelieu et que la véritable vertu, comme l’entendait le maréchal,
25  III,     123|    tiroirs ces fameux traités en vertu desquels Sa Majesté Louis
26   IV,     138|    naturellement, et qui est une vertu de la famille, à faire,
27   IV,     140|  politesse, qui était encore une vertu française à cette époque,
28   IV,     143|         s’était trompée, mais la vertu n’avait pas failli.~ ~ ~ ~
29   IV,     149|        du service rendu, mais en vertu du droit de conscience.
30   IV,     149|     monsieur, elle n’est pas une vertu ; vous me parlez de tuer
31   IV,     150|   accuses avec la férocité de la vertu, tu les as justifiés lorsque
32   IV,     150|       pied ferme. À quoi sert la vertu, monsieur le philosophe,
33   IV,     150|        le triomphe de cette même vertu, sinon dans la défaite du
34   IV,     151|      purement le grand air de la vertu, que Dieu donne pour dot