Tome,  Chap.

 1    I,      15|           prit la plume, et de sa propre main…~ ~ ~ ~La dauphine
 2    I,      28|            et ce n’est pas le mot propre. Au lieu d’intrusion, j’
 3    I,      29|          pas envoyer sa fille, sa propre fille, sans lettre, à qui
 4    I,      30|           Cependant une réflexion propre à la tranquilliser lui était
 5   II,      43|         permise ; son habit était propre et cependant en quelques
 6   II,      48|          qui lui appartenaient en propre, ainsi que les reliquaires
 7   II,      51|      sortir que l’impulsion de sa propre volonté.~ ~ ~– Mais, dit-elle,
 8   II,      51|        effrayante ! le glas de ma propre mort.~ ~ ~« Ce que je fis
 9   II,      52| assentiment.~ ~ ~– C’est de votre propre et entière volonté que vous
10   II,      52|         demande si c’est de votre propre et entière volonté que vous
11   II,      52|          jeune femme, c’est de ma propre volonté.~ ~ ~– Et cela pour
12   II,      53|          suivre l’impulsion de sa propre nature, elle ignorait elle-même
13   II,      56|    regarde en toi-même, sonde ton propre cœur.~ ~ ~– Ah ! oui… Je
14   II,      69|       rassuré par la force de son propre raisonnement, conclut d’
15  III,      89|       dans la contemplation de sa propre grandeur, et que ce mot :
16  III,     103|           le philosophe, à qui sa propre voix donna un léger frisson
17  III,     104|           manque la mémoire de sa propre expérience.~ ~ ~« Il ressemble
18  III,     109|           car le philosophe était propre à l’excès, si l’on peut
19  III,     110|           cette salle vide et son propre isolement.~ ~ ~ ~C’était
20  III,     112|          ce n’est pas toujours le propre de la vertu d’offenser quelqu’
21  III,     117|        présent souffert que de ma propre douleur et non de la douleur
22  III,     117|       seront malheureuses de leur propre malheur et non du mien.
23   IV,     127|          mon élixir, afin que, le propre jour de ma seconde cinquantaine,
24   IV,     132|        dit-il en lui indiquant sa propre image dans le cristal.~ ~ ~ ~
25   IV,     137|           chez soi ; ce n’est pas propre de mourir comme cela toute
26   IV,     147|        est votre sœur qui, de son propre mouvement, auquel, je vous
27   IV,     150|     Philippe, vous mentez à votre propre conscience… Ce nom, il faut
28   IV,     150|         et aussitôt, réprimant sa propre fureur :~ ~ ~– Andrée, dit-il,
29   IV,     160|   comprenait d’ailleurs par amour propre les choses, surtout celles
30   IV,     164|       insensiblement au feu de sa propre colère, porta de nouveau
31   IV,     164|    monsieur, quand on reprend son propre bien.~ ~ ~– Écoute ! dit