Tome,  Chap.

 1    I,      Av|  douteux sur la reine martyre. Faiblesse de l’humanité, orgueil royal,
 2    I,      42|     eusse désirés ; excusez ma faiblesse.~ ~ ~– Vous êtes une adorable
 3    I,      42|        alliance incroyable, la faiblesse du cœur, comme vous dites,
 4    I,      46| croyait en être quitte avec la faiblesse humaine, lorsque ses yeux
 5   II,      50|      illustre spectateur de sa faiblesse.~ ~ ~– Le roi, dit-il.~ ~ ~–
 6   II,      54|  effraya de la pâleur et de la faiblesse du coupable, et fut près
 7   II,      54|     contact, fléchie par cette faiblesse, n’eut pas le temps de pousser
 8   II,      55|      dépit. Le dépit, c’est la faiblesse des coquettes ou des sottes.
 9   II,      58|    respectable que j’aurais la faiblesse de temporiser encore, ce
10   II,      71|      le sais.~ ~ ~– J’ai eu la faiblesse de vous proposer un divertissement
11   II,      71|       le poète latin, et toute faiblesse de femme m’est familière.~ ~ ~ ~
12   II,      78|   raison, nulle crainte, nulle faiblesse ne me fermera la bouche ;
13   II,      80|      bonne, n’abusez pas de ma faiblesse, car vous m’avez reproché
14   II,      82|              Non, pas de lâche faiblesse, pas de transaction pour
15   II,      87|      débat sur l’accusation de faiblesse adultère, rejetait sur Jeanne
16   II,      90|     grand seigneur, son unique faiblesse qu’il crût devoir laisser
17   II,      98|    colère, tremblante aussi de faiblesse, attendait les yeux baissés