Tome,  Chap.

 1    I,      Av| entendre qui criera : Meure la royauté, mais Dieu sauve le roi !~ ~ ~ ~
 2    I,       8|       son trône les amis de la royauté et les adorateurs de la
 3    I,      10|       de ce que je respecte la royauté, vous un Taverney-Maison-Rouge ;
 4    I,      10|       je ne te parle pas de la royauté, moi, je te parle de la
 5    I,      10|     Pardieu ! qu’est-ce que la royauté, mon cher ? une couronne ;
 6    I,      10|       reine, mais encore de la royauté.~ ~ ~– Il en doute encore,
 7    I,      16|      il a marqué l’heure de la royauté ; la droite puissante du
 8    I,      16|   était le présent ?~ ~ ~ ~Une royauté sans rayons, une noblesse
 9    I,      33|      si je ne défendais pas la royauté, je défendais la reine,
10    I,      33|        mien ? Vous défendez la royauté, vous ; eh bien ! si je
11    I,      33|    fond d’un abîme où court la royauté.~ ~ ~– Soyez prudent, alors,
12    I,      37|        il faut au moins que la royauté soit bonne à quelque chose.
13    I,      41|  toutes les impuissances de la royauté.~ ~ ~ ~Monsieur de Rohan
14   II,      71|     nocturnes et cette fictive royauté.~ ~ ~ ~Les à-peu-près de
15   II,      80|        elle est le fléau de la royauté ; cette femme que vous avez
16   II,      80|     prestige éblouissant de la royauté. Ah ! monsieur de Charny,