Tome,  Chap.

 1    I,       2|     quartier.~ ~ ~ ~La porte ne s’ouvrait jamais ; les fenêtres, matelassées
 2    I,       4|         moment où Mme de La Motte ouvrait sa fenêtre pour rappeler
 3    I,       5|            et le cocher goguenard ouvrait déjà une large bouche pour
 4    I,      13|       temps, la porte du palier s’ouvrait, et un pas d’homme se faisait
 5    I,      19|           ici un homme qu’on ne m’ouvrait pas la porte ! Ah ! ah !~ ~ ~ ~
 6    I,      22|    étouffé dans les corridors. Il ouvrait huit portes aux fuyards,
 7    I,      26|          tira une petite clef qui ouvrait un verrou sur douze, par
 8    I,      31|               Une porte dérobée s’ouvrait, se refermait ; le bruit
 9    I,      31|         était toujours prête – il ouvrait en se sauvant à toutes jambes.~ ~ ~ ~
10    I,      41| avait-elle retenti que la porte s’ouvrait et qu’un laquais, debout,
11    I,      42|      grillage d’une fenêtre qui s’ouvrait sur le pan coupé d’un pavillon
12    I,      43|           cri terrible. La caisse ouvrait une bouche large et démeublée.
13   II,      65|       Olivier, et qui jamais ne s’ouvrait, sinon dans les jours de
14   II,      72|          rue.~ ~ ~ ~La porte ne s’ouvrait pas. Oliva s’était sans
15   II,      94|           salle d’audience, qui s’ouvrait à sept heures chaque matin.~ ~ ~ ~
16   II,      97|         Hubert de sa pitié ; elle ouvrait la bouche et redescendait