Tome,  Chap.

 1    I,       5|             Il sentait, sans les toucher, les deux charmantes femmes,
 2    I,      16|           on pouvait le voir, le toucher, et, ce qui était l’ambition
 3    I,      16|          il eût été difficile de toucher à cette époque sans effleurer
 4    I,      17| recommandation du docteur, de se toucher l’un l’autre, soit du coude,
 5    I,      25|          caressé du regard et du toucher ; il ne lui restait plus
 6    I,      25|         avec la délicatesse d’un toucher d’amant, tandis qu’un feu
 7    I,      30|                  Pourquoi pas ?… Toucher un million et demi en trois
 8    I,      31|        serai quitte pour ne plus toucher à celle-ci.~ ~ ~ ~Et il
 9    I,      42|        monsieur. Si vous aviez à toucher demain quinze cent mille
10    I,      42|      serez bien plus à l’aise de toucher cinq cent mille livres chaque
11   II,      58|         chose. Si j’eusse désiré toucher des intérêts, je les eusse
12   II,      60|         mendiante et obscure, de toucher de sa main la main d’une
13   II,      63|     dames, se laissent cependant toucher, respirer, et rendent en
14   II,      85|        tremblant, et sans oser y toucher, cette belle jeune fille
15   II,      97|       reculer, car il n’osait la toucher ; en sorte que le bourreau,