Tome,  Chap.

 1    I,    Pro2|        instant même.~ ~ ~ ~Cet aveu donnait raison, non pas
 2    I,      32|        provoquer de sa part un aveu ou une dénégation.~ ~ ~–
 3   II,      59|       vous ôter la joie de cet aveu. À chacun selon ses mérites.~ ~ ~–
 4   II,      86|      craignez le scandale de l’aveu public après m’avoir infligé
 5   II,      91|       promenades faites de son aveu ou à sa connaissance.~ ~ ~ ~
 6   II,      91|       véritable reine ; mais l’aveu de son erreur était une
 7   II,      91| promenades étaient faites de l’aveu de Marie-Antoinette qui,
 8   II,      93| protecteur. Elle n’eut d’autre aveu funeste que pour madame
 9   II,      94|     simple d’Oliva ;~ ~ ~ ~à l’aveu auquel serait contraint
10   II,      94|      envers la Majesté royale, aveu à la suite duquel il serait
11   II,      95|  évasion ?… L’évasion, c’est l’aveu du crime, l’aveu du moins
12   II,      95|       c’est l’aveu du crime, l’aveu du moins de la peur ! Qui
13   II,      95|    reine avec une preuve ou un aveu de ma culpabilité. L’aveu,
14   II,      95|      aveu de ma culpabilité. L’aveu, la preuve, ce serait ma
15   II,      97|       méprenant au sens de cet aveu.~ ~ ~– Taisez-vous ! réitéra