Tome,  Chap.

  1    I,      Av|                Rien de hasardé sur la femme reine, rien de douteux sur
  2    I,    Pro2|        puissant se produise. Mais une femme de trente ans, comme vous
  3    I,    Pro2|          boire l’élixir de vie, cette femme ou cet homme, pleins de
  4    I,    Pro2|            Depuis Céphale, qui tua sa femme Procris, jusqu’au régent,
  5    I,    Pro2|             hélas ! je ne suis qu’une femme, et n’aurai pas même l’honneur
  6    I,    Pro2|              dénouement sinistre. Une femme, cela meurt dans son lit.
  7    I,    Pro2|            Hélas ! ma mort de vieille femme triste et oubliée sera la
  8    I,       1|  Pont-aux-Choux, madame, dit la jeune femme en riant.~ ~ ~– Quelle rue
  9    I,       1|         madame ! fit vivement l’autre femme ; laissez-moi.~ ~ ~– La
 10    I,       2|         suranné, représente une jeune femme à l’œil noir, au nez fin
 11    I,       2|          accoudée du bras gauche, une femme simplement vêtue révise
 12    I,       2|           adresses.~ ~ ~ ~Cette jeune femme est l’original du portrait.~ ~ ~ ~
 13    I,       2|             soupir.~ ~ ~– Mme Patrix, femme de chambre de Sa Majesté,
 14    I,       2|           nous la rende, fit la jeune femme.~ ~ ~« Nous avons donc,
 15    I,       2|               parut fatiguer la jeune femme.~ ~ ~– Cherchez donc, ma
 16    I,       2|      justement on sonne, dit la jeune femme.~ ~ ~– Madame se trompe,
 17    I,       2|            dans le miroir, vit qu’une femme questionnait Clotilde, et
 18    I,       2|   questionnait Clotilde, et que cette femme, selon toutes les apparences,
 19    I,       3|              J’ai l’honneur d’être la femme de M. le comte de La Motte,
 20    I,       3|        étaient derrière ; dedans, une femme belle et jeune encore ;
 21    I,       3|               Aussitôt un portrait de femme lui apparut, sévère, éclatant
 22    I,       4|         Andrée.~ ~ ~– Allons, allons, femme de courage ! murmura tout
 23    I,       5|             la vôtre ?~ ~ ~ ~La jeune femme se fouilla à son tour avec
 24    I,       5|             Inutile, s’écria la jeune femme avec dépit, car elle voyait
 25    I,       5|           est-ce pas ?~ ~ ~ ~La jeune femme allait répondre et probablement
 26    I,       6|              de Laurent, dit la jeune femme effrayée.~ ~ ~– Non, en
 27    I,       6|               en effet.~ ~ ~ ~L’autre femme s’approcha à son tour.~ ~ ~–
 28    I,       6|           toute la nuit, dit la jeune femme qui semblait reprendre courage
 29    I,       7|    antichambre de la reine.~ ~ ~ ~Une femme de service entrebâilla cette
 30    I,       7|          geste comme pour éloigner la femme, mais celle-ci ne bougea
 31    I,       7|           sire, objecta timidement la femme de service.~ ~ ~– Je vous
 32    I,       7|               à ces mots il écarta la femme et passa outre.~ ~ ~ ~Arrivé
 33    I,       7|               Mme de Misery, première femme de chambre de la reine,
 34    I,       7|            Misery ?~ ~ ~ ~La première femme de chambre parut à la porte,
 35    I,       7|            dit celui-ci à la première femme de chambre.~ ~ ~ ~Mme de
 36    I,       7|           Madame de Misery !~ ~ ~ ~La femme de chambre reparut.~ ~ ~–
 37    I,       7|               informez-vous.~ ~ ~ ~La femme de chambre, droite et impassible,
 38    I,       7|          madame, répliqua la deuxième femme de chambre.~ ~ ~– Vous devez
 39    I,       7|              pressant les mains de sa femme, rien !~ ~ ~– Cependant…~ ~ ~–
 40    I,       7|            usé de violence envers une femme dans son droit. Je pouvais
 41    I,       7|               de Marie-Thérèse, votre femme, la mère de vos enfants ?
 42    I,       7|                Oui, sire.~ ~ ~– Et la femme est une intrigante. Oh !
 43    I,       7|          animal pour sa friandise, la femme pour son cadeau.~ ~ ~ ~Enfin,
 44    I,       7|               elle songeait que nulle femme au monde ne pourrait avoir
 45    I,       7|       Antoinette, vous êtes une bonne femme.~ ~ ~ ~Et pour couronner
 46    I,       7|               roi baisa la main de sa femme, et sortit de l’appartement
 47    I,       8|         Suisses, répliqua la première femme de chambre.~ ~ ~– Eh bien !
 48    I,       8|               Sa Majesté, répliqua la femme de chambre.~ ~ ~– Déjà !
 49    I,       8|          vêtue avec soin, comme toute femme de la cour qui n’avait pas
 50    I,       8|              à l’égard de toute autre femme, il laissait à la reine
 51    I,       8|               et les adorateurs de la femme, elle avait la puissance
 52    I,       8|         beauté de jeune fille devenue femme et reine.~ ~ ~ ~Marie-Antoinette
 53    I,       8|                 La reine fut toujours femme, elle se glorifiait d’être
 54    I,       8|           traîneau.~ ~ ~ ~La première femme de chambre sortit pour faire
 55    I,       8|               souvent le regret d’une femme est un coup de poignard
 56    I,       9|               bien possible que vous, femme, reine et ennemie, vous
 57    I,      10|             est-ce que la reine ? une femme ; oh ! une femme, c’est
 58    I,      10|          reine ? une femme ; oh ! une femme, c’est différent, on y touche.~ ~ ~–
 59    I,      10|           geste si superbe, que nulle femme n’eût pu le voir sans l’
 60    I,      10|          ennemis, non seulement de la femme, non seulement de la reine,
 61    I,      10|             et dans les yeux de cette femme, dans sa voix, dans sa démarche,
 62    I,      11|              la reine n’était pas une femme vulgaire, un caractère banal.
 63    I,      11|              qu’on appelle un cœur de femme, plus profond encore lorsque
 64    I,      11|           toutes les beautés de cette femme la révélation du secret
 65    I,      12|          homme du monde qui salue une femme qu’en sujet qui salue une
 66    I,      12|              amour-propre de la jeune femme, fort maigre à cette époque.~ ~ ~ ~
 67    I,      13|             quelque temps, d’avoir sa femme de chambre pour confidente
 68    I,      13|                lui dit-elle.~ ~ ~ ~La femme de ménage fit un pas dans
 69    I,      13|           Est-ce un homme, est-ce une femme qui me répond ?… L’écriture
 70    I,      13|              C’est certainement d’une femme.~ ~ ~ ~Elle continua :~ ~ …
 71    I,      13|         ouvrir votre porte. »~ ~– Une femme eût dit : « Vous attendra
 72    I,      13|            Puis se retournant vers la femme de ménage qui achevait de
 73    I,      13|               grande dame et en jolie femme, la mouche sur la pommette
 74    I,      14|            dire qu’une jeune et jolie femme soit morte sur le seuil
 75    I,      14|             les parfums décelaient la femme, la femme décelait une race,
 76    I,      14|               décelaient la femme, la femme décelait une race, une beauté,
 77    I,      14|            lui eût demandé compte. La femme fut digne de l’appartement
 78    I,      15|            appartement et toilette de femme.~ ~ ~ ~Le miroir lui avait
 79    I,      15|         prendre tout l’avantage de la femme qui a réfléchi :~ ~ ~– À
 80    I,      15|             se révolte, majesté de la femme qui se sent méconnue, ils
 81    I,      15|             est beau de la part d’une femme jeune et jolie.~ ~ ~– C’
 82    I,      15|         monseigneur, de la part d’une femme qui serait déplacée en toute
 83    I,      15|               et délicats de la jeune femme.~ ~ ~– Ceci ? dit-elle.~ ~ ~–
 84    I,      15|            femmes n’humilient pas une femme pauvre en lui portant secours
 85    I,      15|              ne s’agissait plus d’une femme pauvre, mais d’une princesse
 86    I,      15|               une solliciteuse, à une femme de la première noblesse,
 87    I,      15|              à la fois et une honnête femme qui a les dehors d’une rusée,
 88    I,      15|             une double affaire. Cette femme a trop d’esprit pour ne
 89    I,      17|             Mme de La Motte, vêtue en femme élégante, offrant toutes
 90    I,      17|         hommes seulement.~ ~ ~ ~Cette femme aussi, qu’on avait vue passer
 91    I,      17|              on distinguait une jeune femme d’une belle taille, d’une
 92    I,      17|            yeux fixés sur cette jeune femme, deux ou trois têtes, s’
 93    I,      17|              la figure de cette jeune femme électrisée par le fluide
 94    I,      17|                      Mais cette jeune femme que vous apercevez là-bas,
 95    I,      17|                que la reine est cette femme ?~ ~ ~– Mais tout simplement
 96    I,      17|               ceci, madame, que cette femme est la reine, répliqua imperturbablement
 97    I,      17|               dit tout bas la seconde femme à la reine.~ ~ ~ ~La reine
 98    I,      18|            salle des crises, la jeune femme dont l’extase avait fait
 99    I,      18|      prostration absolue, et dont une femme de chambre affectée au service
100    I,      18|            pensée menaçante, la jeune femme se souleva lentement du
101    I,      18|               Mais, répliqua la jeune femme, je n’ai pas de voiture.~ ~ ~–
102    I,      18|              eût causée à toute autre femme.~ ~ ~ ~Le laquais fit un
103    I,      18|             vérité ! s’écria la jeune femme, voilà une agréable aventure.
104    I,      18|    visiblement fêlées.~ ~ ~ ~La jeune femme ouvrit brusquement la porte
105    I,      18|              dentelle.~ ~ ~ ~La jeune femme n’eut pas le temps de commencer
106    I,      18|             monsieur.~ ~ ~– Charmante femme très nerveuse et très éprise
107    I,      18|    extraordinaires, répliqua la jeune femme que nous appellerons désormais
108    I,      19|              tort au courage de cette femme.~ ~ ~– Lâchez-moi ! cria
109    I,      19|            jamais pu croire que cette femme, si stupéfiée tout à l’heure
110    I,      20|       rencontrer l’épaule de la jeune femme.~ ~ ~ ~Celle-ci, furieuse,
111    I,      21|            avait résolu, une fois, en femme forte qu’elle était, de
112    I,      21|             vous avais prise pour une femme d’esprit, dit le cardinal.~ ~ ~–
113    I,      21|          cardinal.~ ~ ~– Vous appelez femme d’esprit, à ce qu’il paraît,
114    I,      21|            paraît, monseigneur, toute femme indifférente, qui rit à
115    I,      21|              vous trompez : j’appelle femme d’esprit toute femme qui
116    I,      21|          appelle femme d’esprit toute femme qui écoute quand on lui
117    I,      21|        ambition et de l’orgueil d’une femme telle que Jeanne.~ ~ ~ ~
118    I,      21|            Lamballe ?~ ~ ~– Une jeune femme fort belle et fort sérieuse.~ ~ ~–
119    I,      21|             cardinal regarda la jeune femme, dont l’aplomb lui paraissait
120    I,      21|               Comtesse, vous êtes une femme que j’adorerais…~ ~ ~ ~Et
121    I,      21|              pour faire la cour à une femme, que le moyen de la génuflexion
122    I,      23|                l’un homme, et l’autre femme ; l’un agitant les bras,
123    I,      23|             le bras rond de la petite femme, qui poussa un cri étouffé
124    I,      23|         toutes les veines de la jeune femme, et le domino bleu la sentit
125    I,      23|             Gilbert le voudra, aucune femme ne sera son égale.~ ~ ~–
126    I,      23|               Folle, folle, stupide ! femme, rien que femme ! comme
127    I,      23|             stupide ! femme, rien que femme ! comme disait Gilbert.~ ~ ~–
128    I,      23|           endroit obscur que la jeune femme lui avait indiqué, et arrivé
129    I,      23|              matérielle, pauvre jeune femme, je sais à quoi m’en tenir
130    I,      23|           devez être la plus heureuse femme qui soit au monde.~ ~ ~ ~
131    I,      23|              Beausire.~ ~ ~– Et cette femme si fière, cette femme si
132    I,      23|           cette femme si fière, cette femme si heureuse, dit-elle, vous
133    I,      23|               je vous le jure, qu’une femme comme moi valût encore cinquante
134    I,      23|        suivait de l’œil une marche de femme aussi curieusement qu’aujourd’
135    I,      24|           Précisément.~ ~ ~– Il a une femme avec lui ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~–
136    I,      24|              vous êtes amoureux de la femme qui vous accompagne ?~ ~ ~ ~
137    I,      24|               Motte ; il a pris cette femme pour la reine, et voilà
138    I,      25|               au moins faut-il qu’une femme veille dans les communs,
139    I,      25|          flacons.~ ~ ~ ~Des livres de femme dorés et enluminés brillaient
140    I,      27|          avoir quelque part une jolie femme ou une grisette. C’est un
141    I,      33|               reine, c’est-à-dire une femme respectable, innocente ;
142    I,      33|         pamphlet qui fera pleurer une femme ; je l’obtiendrai de vous,
143    I,      35|             qui va dans un costume de femme ordinaire, au milieu de
144    I,      35|             de roi, de son honneur de femme !~ ~ ~– C’est impossible,
145    I,      35|             comte de Provence, si une femme comme Mme de Lamballe, par
146    I,      36|          mystères magnétiques, qu’une femme s’approcha de Sa Majesté,
147    I,      36|       gazetier. Vous avez parlé d’une femme qui aurait arrêté la reine
148    I,      36|         dites-nous quelle était cette femme.~ ~ ~– Sa Majesté paraît
149    I,      36|             faut que je parle à cette femme, c’est indispensable. Là
150    I,      36|          comte de Provence. Voilà une femme qui me fait l’effet du dieu
151    I,      36|             qu’elle connaissait cette femme ?~ ~ ~– Sa Majesté ne m’
152    I,      36|             si la reine connaît cette femme, vous savez aussi son nom.~ ~ ~–
153    I,      36|           demande qu’on entende cette femme, et on l’entendra.~ ~ ~–
154    I,      36|             avec la véracité de cette femme.~ ~ ~– On n’enverra pas
155    I,      36|             savez, rendu visite à une femme malheureuse qui porte un
156    I,      36|         instincts ; je sens que cette femme sera pour un malheur, pour
157    I,      36|          Jeanne eût été réelle, cette femme eût été paralysée, pas un
158    I,      36|             un éclair, un instinct de femme ; j’en demande pardon à
159    I,      36|       entraînée vers le cœur de cette femme, qui paraissait être à la
160    I,      36|               en sa présence pour une femme qu’elle recevait, il se
161    I,      37|         aurais perdu toute dignité de femme. Qu’y a-t-il de vraisemblable
162    I,      37|            a-t-il eu, ce jour-là, une femme ?…~ ~ ~Jeanne rougit. Le
163    I,      37|             il y avait, en effet, une femme très agitée qui s’est beaucoup
164    I,      37|          vivement la reine, que cette femme était quelque femme de théâtre,
165    I,      37|             cette femme était quelque femme de théâtre, ou ce qu’on
166    I,      37|              de Taverney ? demanda la femme de chambre.~ ~ ~– Elle !
167    I,      37|        passions que la reine, Andrée, femme et supérieure à toutes les
168    I,      37| Boulainvilliers, répondit Jeanne, une femme brave ; puis M. de Boulainvilliers,
169    I,      37|               jour aperçu que j’étais femme et que j’étais sa reine ;
170    I,      37|               ce suprême dédain de la femme au cœur sublime, que le
171    I,      37|               dauphine n’était qu’une femme incomplète. On sait les
172    I,      37|       ambassadeur naïf.~ ~ ~ ~Jeanne, femme complète s’il en fut, Jeanne,
173    I,      37|         complète s’il en fut, Jeanne, femme de la tête aux pieds, Jeanne,
174    I,      37|         pouvait pas comprendre qu’une femme pensât autrement qu’elle
175    I,      38|            humilité affectueuse d’une femme si fière.~ ~ ~– Ma sœur !
176    I,      38|               qu’inspire toujours une femme accusée qui se défend avec
177    I,      38|             pas à d’autres qu’à votre femme de chambre, Marie, qu’il
178    I,      38|              voudra, mais je défie sa femme de prouver de la même façon
179    I,      38|         pouvait sentir pour une autre femme que pour elle, mais jalouse
180    I,      38|              elle, mais jalouse de la femme qui pouvait inspirer, accueillir,
181    I,      38|          défient de la froideur d’une femme de vingt-cinq ans, qui est
182    I,      38|        pirouette et souri à une autre femme avait accompli son devoir.~ ~ ~ ~
183    I,      38|             cet homme, elle était une femme. Il avait réveillé en elle
184    I,      38|    malheureuse de penser qu’une autre femme allait couper les ailes
185    I,      39|             de tous les secrets d’une femme, surtout quand cette femme
186    I,      39|            femme, surtout quand cette femme est la reine, et qu’on a
187    I,      39|              le poids d’une colère de femme et d’une indignation de
188    I,      39|              ressemblance entre toute femme et Votre Majesté, il y a
189    I,      39|                  Ainsi, il existe une femme dont la ressemblance avec
190    I,      40|           poste ; à l’écart comme une femme modeste, debout et attentive
191    I,      40|         debout et attentive comme une femme à qui l’on a permis de rester
192    I,      40|             moment sa tête ; puis, en femme qui a pris son parti :~ ~ ~–
193    I,      40|            voyez, comtesse, vous êtes femme, cela vous amusera, dit
194    I,      40|              reine était radieuse, la femme était superbe. Amants ou
195    I,      40|           reine ! Oh ! non ! elle est femme ! »~ ~ ~La comtesse disparut.~ ~ ~ ~
196    I,      41|                    Jeanne aussi était femme, et sans être reine.~ ~ ~ ~
197    I,      41|      fantaisie de reine et surtout de femme venait d’ouvrir aux regards
198    I,      41|          souriant ; que de choses une femme d’esprit comme vous peut
199    I,      41|              compter enfin avec cette femme qui tenait les cœurs des
200    I,      41|              faire valoir comme toute femme que l’on recherche et dont
201    I,      41|              honneurs de chez elle en femme non seulement maîtresse
202    I,      41|               pris rang, elle est une femme de la cour ; avant peu elle
203    I,      42|              la main. Un homme et une femme se trompent dans un baiser.~ ~ ~ ~
204    I,      42|               reine, ou plutôt pauvre femme !~ ~ ~– Comment cela ?~ ~ ~–
205    I,      42|              que c’est qu’un désir de femme, mon cher prince ?~ ~ ~–
206    I,      42|                vous qui êtes vraiment femme, vous comprenez qu’on pense
207    I,      42|                Vous êtes une adorable femme, comtesse ; vous avez, par
208    I,      42|             esprit : vous êtes si peu femme en de certains moments,
209    I,      44|         silencieux, faire d’Oliva une femme aussi honnête que je serai
210    I,      44|        Beausire, je me serai fait une femme accomplie. »~ ~ ~Il n’alla
211    I,      45|              Pourquoi arrête-t-on une femme ? Pour des intrigues, pour
212    I,      45|            serrer la main de la jeune femme et de la cacher elle-même
213    I,      46|              tombée des cheveux d’une femme.~ ~ ~ ~C’était une de ces
214    I,      46|           bien quelconque !~ ~ ~« Une femme encore traversera cette
215    I,      46|            traversera cette cour, une femme appuiera ses pieds sur l’
216    I,      46|             pieds sur l’escalier, une femme chantera peut-être sous
217    I,      47|               la tête et le cou de la femme, mais je n’avais pas encore
218    I,      47|               ment pas, même avec une femme. Le cardinal se tut.~ ~ ~ ~
219    I,      47|               ne pardonne jamais à la femme qui le cause, Jeanne se
220    I,      47|             trouver en vous une jolie femme, une femme d’esprit, une
221    I,      47|             vous une jolie femme, une femme d’esprit, une maîtresse
222    I,      47|                 Vous êtes une aimable femme, comtesse, et c’est tout
223    I,      47|             Eh ! fit la comtesse, une femme n’est pas toujours reine,
224   II,      48|              je suis bien aise qu’une femme de goût me loue de l’avoir
225   II,      48|              n’oserait se refuser une femme de fermier général ? Comment !
226   II,      48|              pas du moins à une autre femme.~ ~ ~– Et vous êtes sûre
227   II,      49|             Comment ?~ ~ ~– La reine, femme qui comprend tout, sait
228   II,      51|              est d’aimer un ange, une femme, de l’aimer follement, de
229   II,      51|               J’aimerais, dit-il, une femme mariée. Je l’aimerais avec
230   II,      51|             bien !… je dirais à cette femme : « Il nous reste quelques
231   II,      52|              vit à dix pas de lui une femme vêtue de longs habits aux
232   II,      52|               derrière laquelle cette femme était cachée.~ ~ ~ ~Elle
233   II,      52|              ai vu tout à l’heure une femme s’éloigner. Peut-être était-ce
234   II,      52|               Andrée, il est venu une femme avant moi ici, n’est-ce
235   II,      52|             la vérité ; avouez qu’une femme était ici tout à l’heure,
236   II,      52|       personne ?~ ~ ~– Oui ; mais une femme, une femme, docteur.~ ~ ~–
237   II,      52|             Oui ; mais une femme, une femme, docteur.~ ~ ~– Sans doute,
238   II,      52|        docteur.~ ~ ~– Sans doute, une femme ; à moins que vous ne comptiez
239   II,      52|           soutenir cette thèse qu’une femme n’est femme que jusqu’à
240   II,      52|              thèse qu’une femme n’est femme que jusqu’à l’âge de quarante
241   II,      52|              seraient battus pour une femme.~ ~ ~– Pour une femme, docteur ?~ ~ ~–
242   II,      52|             une femme.~ ~ ~– Pour une femme, docteur ?~ ~ ~– Oui. Pour
243   II,      52|           Andrée se donnait comme une femme spartiate.~ ~ ~– Mon frère,
244   II,      53|          baume ou par le fer ; que la femme dont il invoque le nom à
245   II,      53|               docteur. Il faut que la femme pour laquelle monsieur de
246   II,      53|             la chambre de Charny, une femme enveloppée de sa mante,
247   II,      54|          ennemi à la réputation d’une femme ? Car notez ceci, monsieur
248   II,      54|               ai montrée, c’était une femme, et vous n’eussiez jamais
249   II,      54|            mort, dans la bouche d’une femme elle déshonore. Reine, tuez-moi ;
250   II,      54|          déshonore. Reine, tuez-moi ; femme, épargnez-moi.~ ~ ~– Êtes-vous
251   II,      54|              roi est l’époux de cette femme que vous insultez tous en
252   II,      54|                la vision disparut. La femme s’épouvantait d’avoir laissé
253   II,      54|              avait trop donné à cette femme, en lui donnant comme superflu
254   II,      54|              des rideaux de damas une femme tout anxieuse, toute palpitante,
255   II,      55|             madame, répondit la jeune femme.~ ~ ~– Quoi donc ?~ ~ ~–
256   II,      55|          répondit froidement la jeune femme ; vous qui avez tant compté
257   II,      55|       souffrir, vous, un homme ; moi, femme, je ne le dois pas, je ne
258   II,      55|               elle est ingrate, cette femme !~ ~ ~– Il lui faut pardonner,
259   II,      55|                rappelaient à la jeune femme qu’elle laissait à ses colères,
260   II,      55|             Dépit ! répliqua la jeune femme, en modifiant son sourire
261   II,      55|      accompagna ce refus que la jeune femme refusait seulement une occasion
262   II,      57|               choses prononcé par une femme.~ ~ ~ ~Elle n’acheva pas,
263   II,      57|             habilement conduit par sa femme, devenait l’instrument d’
264   II,      57|              promettais l’amour d’une femme dont ma voyante avait consulté
265   II,      60|             reine, Jeanne de La Motte femme~ ~ ~ ~Le courrier qu’on
266   II,      60|            aller bien loin, envoya sa femme prévenir madame de La Motte
267   II,      60|             nuit tout fait : plus une femme dans l’appartement, excepté
268   II,      60|             course nocturne.~ ~ ~ ~Sa femme de chambre l’habilla rapidement
269   II,      60|               toute l’attention d’une femme de cour.~ ~ ~ ~Jeanne réellement
270   II,      60|             coup, se tournant vers sa femme de chambre :~ ~ ~– Sortez,
271   II,      60|              Rose, dit-elle.~ ~ ~ ~La femme de chambre obéit et madame
272   II,      60|              inspiration, et sonna sa femme de chambre.~ ~ ~ ~Il était
273   II,      61|                 Jeanne n’est plus une femme de qualité, c’est une voleuse,
274   II,      61|              du cardinal ne blesse la femme fine et susceptible. Les
275   II,      61|         princesse, mais l’homme de la femme, le mâle de la femelle.
276   II,      62|              semblait doux à la jeune femme d’être protégée par ce grand
277   II,      62|              quoi servirait-il d’être femme et d’avoir le droit de caprice,
278   II,      62|              avance pour que la jeune femme tirât le verrou qu’elle
279   II,      62|             fait ?… balbutia la jeune femme.~ ~ ~– Une charmante espièglerie,
280   II,      62|          homme qui a du goût pour une femme, un homme aussi considérable
281   II,      62|          monsieur !~ ~ ~ ~Et la jeune femme, aussi effrayée qu’elle
282   II,      62|           appelé Balsamo.~ ~ ~« Toute femme est bonne, pensa-t-il, quand
283   II,      62|              vous manquera ici, votre femme de chambre sera près de
284   II,      63|             lit après le départ de la femme de chambre que lui envoyait
285   II,      63|               l’imprévu. Ce ménage de femme avait commencé par être
286   II,      63|            chocolat que lui servit sa femme de chambre et lut une gazette
287   II,      63|             jusque-là, et appelant sa femme de chambre, entama une conversation
288   II,      63|       parlante surtout.~ ~ ~ ~Mais la femme de chambre fut réservée,
289   II,      63|             tomba sur les voisins, la femme de chambre ne trouva pas
290   II,      63|            rêverie.~ ~ ~ ~C’était une femme. Elle avait abandonné sa
291   II,      63|              s’en fût mêlé, et si une femme de cette époque eût consenti
292   II,      63|          habitants.~ ~ ~ ~Puis, cette femme coiffée, poudrée, blanche
293   II,      63|           agiter la base.~ ~ ~ ~Cette femme immobile ressemblait à ces
294   II,      63|               sa volonté.~ ~ ~ ~Cette femme, que nous avons reconnue
295   II,      63|           dans cette attraction de la femme vers la femme. Ces délicatesses
296   II,      63|        attraction de la femme vers la femme. Ces délicatesses sont plus
297   II,      63|               être à cette époque une femme de la grande noblesse envers
298   II,      63|               physionomie de la jeune femme tous les caractères de l’
299   II,      63|             préoccupation d’une jeune femme à ne pas remuer la tête
300   II,      64|              le dos à cette charmante femme, dont l’œil était si brillant
301   II,      64|          appartement, ma chère. Cette femme vous désignait assurément.
302   II,      64|            pour deviner qu’il y a une femme dans ce pavillon… Ah ! prenez
303   II,      65|             on soit de poésie, que la femme bien-aimée ne soit pas un
304   II,      66|           respect ; qu’elle était une femme, c’est-à-dire en droit d’
305   II,      67|                     Chapitre LXVII~ ~ Femme et reine~ ~ ~ ~Le lendemain
306   II,      67|             est-ce qu’une reine ? Une femme. Et moi, que suis-je ? Un
307   II,      67|            deux, de la reine ou de la femme, voulez-vous que cet adorateur
308   II,      67|              une reine indigne et une femme sans honneur ! s’écria Charny
309   II,      67|               que celle d’accuser une femme innocente, irréprochable ;
310   II,      67|              la ressemblance ; qu’une femme, je ne sais laquelle, a
311   II,      68|                    Chapitre LXVIII~ ~ Femme et démon~ ~ ~ ~Jeanne avait
312   II,      68|          conversation.~ ~ ~ ~Pour une femme de la force de Jeanne, c’
313   II,      68|                homme, vous perdez une femme !~ ~ ~ ~Le cardinal saisit
314   II,      68|             sauver, jamais.~ ~ ~– Une femme pardonne-t-elle qu’on se
315   II,      68|               vous tenez tant à cette femme, conservez-vous-la, au lieu
316   II,      69|      charmille du parc, une figure de femme qui levait vers lui un visage
317   II,      69|              regret tout ensemble. La femme qui l’attendait, qui l’appelait,
318   II,      69|             madame.~ ~ ~– Ici, que la femme a donné une rose à l’homme.~ ~ ~–
319   II,      69|         continua-t-elle, ce qu’aucune femme n’eût fait à ma place. Je
320   II,      71|              l’espoir que son amante, femme avant d’être reine, voudrait
321   II,      71|             pour aller demander à une femme des preuves de ses fautes ?~ ~ ~–
322   II,      71|                et vous êtes une vraie femme, cœur et esprit. Tenez,
323   II,      71|         apercevoir. Il est vrai qu’en femme d’esprit elle regardait
324   II,      71|             étourderie.~ ~ ~– Je suis femme, répliqua madame de La Motte,
325   II,      71|          latin, et toute faiblesse de femme m’est familière.~ ~ ~ ~
326   II,      72|        laisser se présenter seule une femme de votre rang.~ ~ ~ ~Jeanne
327   II,      72|         veniez chercher ici une jeune femme que, par bonté pure, je
328   II,      72|               est-il pas permis à une femme de venir voir une femme ?
329   II,      72|               femme de venir voir une femme ? Appelez-la, elle vous
330   II,      75|               point. La reine est une femme, le collier est une pièce
331   II,      75|             mari. Le mari grondera sa femme s’il veut, ou s’il peut,
332   II,      75|           collier à des juifs. Pauvre femme, elle a souvent besoin d’
333   II,      76|               cœur de toute généreuse femme.~ ~ ~ ~Mais l’intervalle
334   II,      77|             impérieuse que lorsqu’une femme a dit : Je veux !~ ~ ~ ~
335   II,      77|             lâche, vous calomniez une femme.~ ~ ~– Moi !~ ~ ~– Vous
336   II,      77|                Et vous, vous êtes une femme sans cœur, une reine sans
337   II,      77|        continuer à être aimé de cette femme trompeuse, j’eusse donné
338   II,      78|         droits sur la reine et sur la femme ?~ ~ ~ ~Mais le roi se retournant
339   II,      78|           bien ! qu’on la voie, cette femme, qu’on l’interroge.~ ~ ~–
340   II,      79|           permettre contre une simple femme de la cour, et dont chacun
341   II,      80|               spectre menaçant, cette femme odieuse, madame de La Motte,
342   II,      80|        sécurité, pour l’avenir. Cette femme est le mauvais génie de
343   II,      80|           fléau de la royauté ; cette femme que vous avez imprudemment
344   II,      80|              ne peut aimer à voir une femme quand il n’a pas d’estime
345   II,      80|               pas d’estime pour cette femme. Je ne parle pas de vous,
346   II,      80|         vivement ; je ne suis pas une femme, moi ! je suis une reine ;
347   II,      80|         prendra qu’avec ma vie. Soyez femme, soyez bonne, n’abusez pas
348   II,      80|                Cœur d’enfant, cœur de femme, dit-elle… Vous voulez que
349   II,      80|             cette reine perdue, cette femme qu’un parlement va juger,
350   II,      80|              chasser peut-être, cette femme trouve un cœur qui l’aime !~ ~ ~–
351   II,      80|           tout à l’heure.~ ~ ~– Cette femme, s’écria la reine, est bénie,
352   II,      80|             heureuse de toutes. Cette femme est trop heureuse, monsieur
353   II,      80|             ne sais pas comment cette femme a pu se plaindre, pardonnez-lui !~ ~ ~ ~
354   II,      81|               s’agenouiller devant la femme d’un autre, c’est un vol ;
355   II,      81|              un vol ; et, quand cette femme est une reine, monsieur,
356   II,      81|             simplement le salut de la femme. En ces horribles rencontres,
357   II,      81|             se trompait : toute autre femme eût été plus habile en témoignant
358   II,      81|           remarquer combien la pauvre femme souffrait d’avoir prononcé
359   II,      81|           pour le refuser si l’on est femme, il faut être princesse
360   II,      81|             dites-moi le nom de cette femme que voudrait épouser monsieur
361   II,      81|               n’était rien pour cette femme, eût-il offert sa main ou
362   II,      81|              de moi. Quelle est cette femme que vous aimez, monsieur
363   II,      82|          Charny eût pensé à une autre femme, cette femme fût-elle la
364   II,      82|              à une autre femme, cette femme fût-elle la reine.~ ~ ~ ~
365   II,      83|            toujours clairvoyant d’une femme.~ ~ ~– Votre Majesté me
366   II,      85|           mieux vos amours avec cette femme que vous poursuivez, avec
367   II,      85|           vous poursuivez, avec cette femme qui vous aime ? Est-ce pour
368   II,      85|             que, devenu l’époux d’une femme qui approchera votre maîtresse
369   II,      86|             mal contenue, la haine de femme à femme, le sentiment d’
370   II,      86|         contenue, la haine de femme à femme, le sentiment d’une supériorité
371   II,      87|        haïssait instinctivement cette femme. Le procès s’instruisit
372   II,      87|          étourdi de l’audace de cette femme, elle lui demanda si le
373   II,      87|       incapable de vouloir perdre une femme. Elle se rappela son assurance
374   II,      88|        raisonnablement ; car la jeune femme, qui lisait des romans frivoles
375   II,      88|               c’est… la chambre de ma femme, répliqua Beausire.~ ~ ~ ~
376   II,      88|            pourquoi cachez-vous votre femme ?~ ~ ~– Oui. Est-ce que
377   II,      88|                  Nous voulons voir ta femme, répondit le sbire Positif.~ ~ ~–
378   II,      88|               une porte s’ouvrit, une femme parut, troublée, effarée,
379   II,      88|       désarmés par l’apparition d’une femme, fut bientôt et cruellement
380   II,      88|             ses deux valets, homme et femme, écoutaient au bas de l’
381   II,      88|            aimes donc beaucoup, cette femme ? dit le Positif.~ ~ ~ ~
382   II,      88|             ne te rendrions pas cette femme. Monsieur de Rohan nous
383   II,      89|          étaient bonnes.~ ~ ~ ~Pauvre femme ! depuis assez longtemps
384   II,      89|            Mais que fera-t-on à cette femme ?~ ~ ~– Est-ce bien à cette
385   II,      89|                   Est-ce bien à cette femme que l’on attribue tout ce
386   II,      89|         Majesté fit l’honneur à cette femme de lui être charitable.~ ~ ~–
387   II,      90|             mêmedisparut la jeune femme.~ ~ ~– Le jour même ?~ ~ ~–
388   II,      91|           agir sur le caractère d’une femme ; il promit tout à madame
389   II,      91|              croire aux paroles d’une femme accusée de faux et de vol.
390   II,      91|               la reine de France, une femme qu’il aimait et qui n’était
391   II,      91|            nuit, c’est de montrer une femme qui ressemble à la reine,
392   II,      93|             mais renier le fils de ma femme…~ ~ ~– Elle est votre femme ?
393   II,      93|           femme…~ ~ ~– Elle est votre femme ? s’écria le chirurgien.~ ~ ~–
394   II,      95|              pas indifférente à cette femme rusée : elle espérait avec
395   II,      95|          échappé au concierge et à sa femme, répondit seul à cette provocation.~ ~ ~–
396   II,      95|          respirer un peu cette pauvre femme ?~ ~ ~ ~Alors, madame Hubert,
397   II,      95|               le brave concierge à sa femme, et nous laisserons madame
398   II,      95|       disparut, et le concierge et sa femme partirent aussi, après avoir
399   II,      96|           madame, demanda-t-elle à la femme Hubert ; qu’entends-je dire :
400   II,      96|             Et elle écouta.~ ~ ~ ~Une femme passait avec ses amies.
401   II,      96|               mon bouquet, cria cette femme, et cent autres encore,
402   II,      96|             ainsi.~ ~ ~ ~Hubert et sa femme se regardèrent l’un l’autre
403   II,      96|          Hubert bas à l’oreille de sa femme, si je lui eusse dit la
404   II,      97|              Se vengeront-ils sur une femme en l’assujettissant aux
405   II,      97|            comtesse avec le ton d’une femme qui voudrait paraître sûre
406   II,      97|                 La force ! envers une femme !~ ~ ~– Une femme ne doit
407   II,      97|          envers une femme !~ ~ ~– Une femme ne doit pas plus qu’un homme
408   II,      97|               là-dedans la main d’une femme ennemie !~ ~ ~– Vous avez
409   II,      97|            Paris, je vous livre cette femme, acheva de dire le greffier
410   II,      97|        renoncer à la dépeindre. Cette femme qui, dans la vie ordinaire,
411   II,      97|                   Chose inouïe, cette femme, que la douleur physique
412   II,      97|           vigoureuse défense de cette femme, frémissait d’une sourde
413   II,      98|              soutenir l’honneur de sa femme, le roi promena autour de
414   II,      98|             et tressaillir plus d’une femme dans l’auditoire.~ ~ ~ ~
415   II,      98|            anneau d’or au doigt de sa femme, et cet anneau glissa sans
416   II,      98|        pourrais pas. Les forces d’une femme sont limitées ; peut-être
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