Tome,  Chap.

  1    I,    Pro2|                parfaitement ignorée de Philippe de Valois, ou plutôt circonstance
  2    I,    Pro2|                circonstance à laquelle Philippe de Valois n’avait pas voulu
  3    I,    Pro2|            Barry, ah ! vous avez connu Philippe de Valois ?~ ~ ~– Madame,
  4    I,    Pro2|                combattre toute ma vie. Philippe de Valois n’a pas voulu
  5    I,    Pro2|         parlons.~ ~ ~– Vous avez connu Philippe de Valois ?~ ~ ~– Comme
  6    I,    Pro2|         monsieur veut donner son fils, Philippe de Taverney, à la reine
  7    I,       8|               comment l’appelez-vous ? Philippe, je crois.~ ~ ~– Oui, madame,
  8    I,       8|              crois.~ ~ ~– Oui, madame, Philippe.~ ~ ~– Il est arrivé ?~ ~ ~–
  9    I,       8|             pardonne de grand cœur, et Philippe aussi.~ ~ ~– Est-ce bien
 10    I,       8|          Trente-deux ans.~ ~ ~– Pauvre Philippe, savez-vous que voilà tantôt
 11    I,       8|          Coypel ou Gainsborough.~ ~ ~ ~Philippe de Taverney était vêtu d’
 12    I,       8|             teint et des traits.~ ~ ~ ~Philippe s’avança, une main dans
 13    I,       8|                 voici mon frère.~ ~ ~ ~Philippe salua gravement et avec
 14    I,       8|                que si elle eût regardé Philippe en face.~ ~ ~– Bonjour,
 15    I,       8|          beauté de la puissance.~ ~ ~ ~Philippe, en la voyant sourire, en
 16    I,       8|               fois, s’arrêter sur lui, Philippe pâlit et laissa voir dans
 17    I,       8|              de la remercier, répliqua Philippe.~ ~ ~– Que d’années, dit
 18    I,       8|           revenait ?~ ~ ~– Madame, dit Philippe, M. de La Fayette, en quittant
 19    I,       8|             Majesté dit cela, répondit Philippe en souriant.~ ~ ~– Pourquoi
 20    I,       8|               de M. de Taverney.~ ~ ~ ~Philippe, se voyant ainsi mis en
 21    I,       8|               fit un signe de la main, Philippe s’inclina.~ ~ ~– Un bel
 22    I,       8|             revenant en France ?~ ~ ~ ~Philippe regarda sa sœur :~ ~ ~–
 23    I,       8|             oui, monseigneur, répliqua Philippe.~ ~ ~– Mais n’importe, interrompit
 24    I,       8|               vous prie.~ ~ ~– Oui, M. Philippe de Taverney fut le premier
 25    I,       8|                je rencontrerais.~ ~ ~ ~Philippe sentit la rougeur monter
 26    I,       8|             attribua donc le soupir de Philippe à quelque confidence de
 27    I,       8|           comte d’Artois s’approcha de Philippe, tandis que la reine consultait
 28    I,       8|           nouvelles, mon cher monsieur Philippe de Taverney ; mais avez-vous
 29    I,       8|            avec Andrée, se tourna vers Philippe, et lui dit :~ ~ ~– Avez-vous
 30    I,       8|               propose de patiner ? dit Philippe.~ ~ ~– Oh ! vous allez vous
 31    I,       8|                       Madame, répondit Philippe, ici Votre Majesté s’amuse
 32    I,       8|      souvient-il d’autrefois, monsieur Philippe, êtes-vous changé, vous ?~ ~ ~ ~
 33    I,       8|                   Oh ! madame, s’écria Philippe, tout bouleversé, Votre
 34    I,       8|                 qu’avez vous, monsieur Philippe ? vous êtes pâle.~ ~ ~ ~
 35    I,       8|                    Et moi, madame, dit Philippe, je ne puis encore me faire
 36    I,       8|              chocolat dans la tasse de Philippe, vous êtes un soldat, avez-vous
 37    I,       8|               elle se mit à rire. Mais Philippe prit la chose au sérieux,
 38    I,       8|             eût accompli par embarras, Philippe l’accomplit par héroïsme.~ ~ ~ ~
 39    I,       8|                aussi rapidement.~ ~ ~ ~Philippe remit son chapeau sous son
 40    I,       9|                faire un geste amical à Philippe quand celui-ci acheva de
 41    I,       9|               et nous causerons.~ ~ ~ ~Philippe s’éloigna donc, et le baron
 42    I,       9|        Pardonnez-moi, madame, répondit Philippe.~ ~ ~– Donnez des patins
 43    I,       9|            déjà autrefois, dit Andrée, Philippe patinait fort élégamment.~ ~ ~–
 44    I,       9|           Taverney ?~ ~ ~– Madame, dit Philippe, puisque Votre Majesté a
 45    I,       9|                    En disant ces mots, Philippe s’était déjà armé de patins
 46    I,       9|                émerveillé.~ ~ ~ ~Alors Philippe, piqué au jeu, prit un parti
 47    I,       9|              Sa Majesté le désire, dit Philippe, je m’arrêterai, ou du moins
 48    I,       9|                déjà depuis une heure ; Philippe, en le voyant tout en sueur,
 49    I,       9|              eut bientôt rejoint, mais Philippe avait saisi le moment 50    I,       9|                le traîneau, mais alors Philippe, rassemblant sa force, glissa
 51    I,       9|                telles acclamations que Philippe en rougit de honte.~ ~ ~ ~
 52    I,      10|                X~ ~ Le tentateur~ ~ ~ ~Philippe, à cet ordre, ou plutôt
 53    I,      10|                s’appuya sur le bras de Philippe.~ ~ ~ ~Un frémissement de
 54    I,      10|               servilité.~ ~ ~ ~Quant à Philippe, tout étourdi de cet excès
 55    I,      10|                de Taverney, dit-elle à Philippe.~ ~ ~ ~Puis brusquement :~ ~ ~–
 56    I,      10|          jointe et dévoraient des yeux Philippe qui, pour cacher sa rougeur,
 57    I,      10|                    Les patins délacés, Philippe recula pour laisser la place
 58    I,      10|               dans son traîneau.~ ~ ~ ~Philippe attendit, mais inutilement,
 59    I,      10|            curieux et de jaloux.~ ~ ~ ~Philippe demeura seul, essuyant sur
 60    I,      10|               champ de bataille.~ ~ ~ ~Philippe, un peu triste, un peu las,
 61    I,      10|               joie, parut flamboyant à Philippe.~ ~ ~– Vous ne m’embrassez
 62    I,      10|                tout mon cœur, répliqua Philippe.~ ~ ~ ~Mais on pouvait comprendre
 63    I,      10|              aille, monsieur ? demanda Philippe.~ ~ ~– Mais là-bas, morbleu !~ ~ ~–
 64    I,      10|             frappant du pied. Ah ! çà, Philippe, faites-moi le plaisir de
 65    I,      10|                      Écoutez, monsieur Philippe, dit le vieillard. L’Amérique
 66    I,      10|             père, très éloigné, répéta Philippe ; mais je ne comprends point
 67    I,      10|             pas de votre sang, murmura Philippe.~ ~ ~ ~Puis, tout bas et
 68    I,      10|                mon père, dit sèchement Philippe.~ ~ ~– Voyons, reprit plus
 69    I,      10|           expérience ; voyons, mon bon Philippe, es-tu ou n’es-tu pas un
 70    I,      10|             es-tu pas un homme ?~ ~ ~ ~Philippe haussa légèrement les épaules
 71    I,      10|            rochers thessaliens :~ ~ ~– Philippe, mon ami, dit-il, voyons,
 72    I,      10|               rire.~ ~ ~– Comment, dit Philippe, vous me plaignez, monsieur,
 73    I,      10|                  On y touche ! s’écria Philippe rougissant à la fois de
 74    I,      10|             silence, mon père, s’écria Philippe d’une voix sourde, ou pour
 75    I,      10|             fois sur ses talons.~ ~ ~ ~Philippe était devenu sombre ; il
 76    I,      10|              peu risible, et cependant Philippe ne rit pas.~ ~ ~– Ainsi,
 77    I,      10|                pas tort de te dire : « Philippe, la reine se retourne ;
 78    I,      10|                 la reine se retourne ; Philippe, la reine cherche ; Philippe,
 79    I,      10|           Philippe, la reine cherche ; Philippe, la reine désire ; Philippe,
 80    I,      10|            Philippe, la reine désire ; Philippe, cours, cours, la reine
 81    I,      10|         rendriez fou.~ ~ ~– En vérité, Philippe, je ne te comprends pas,
 82    I,      10|               méprise-la, repousse-la, Philippe, c’est-à-dire Joseph de
 83    I,      10|                conseil du crime.~ ~ ~ ~Philippe demeura seul, le cœur gonflé,
 84    I,      10|          Rangez-vous, messieurs.~ ~ ~ ~Philippe courut à elle, aveugle,
 85    I,      11|              elle mit à son jeu.~ ~ ~ ~Philippe, admis à la partie et placé
 86    I,      11|            Coigny, Vaudreuil, répétait Philippe, ils ont aimé la reine et
 87    I,      11|               reine ? »~ ~ ~Et lorsque Philippe avait assez ballotté ces
 88    I,      11|                dire oublieux.~ ~ ~ ~Et Philippe se disait qu’il était impossible
 89    I,      11|                Coigny et de Vaudreuil, Philippe passait à Marie-Antoinette.~ ~ ~ ~
 90    I,      11|             quelque consistance.~ ~ ~ ~Philippe en était là de ses réflexions
 91    I,      11|            Charny les yeux baissés, et Philippe, à qui l’émotion de la reine
 92    I,      12|                 c’est bien lui ! »~ ~ ~Philippe, nous l’avons déjà dit,
 93    I,      12|            autour d’elle, elle aperçut Philippe, et, impatiente comme toujours :~ ~ ~–
 94    I,      12|            dit-elle, voyez donc.~ ~ ~ ~Philippe rougit ; peut-être pensait-il
 95    I,      12|               aussi blanc de teint que Philippe était brun ; son col nerveux,
 96    I,      12|            joie, y collait ses lèvres, Philippe, pâle de douleur, s’ensevelissait
 97    I,      31|                     Moi-même, répondit Philippe avec le même accent dans
 98    I,      31|         Assurément, monsieur, répondit Philippe, vous avez le pas, étant
 99    I,      31|            bien patient, monsieur, dit Philippe rageant de l’autre côté
100    I,      31|           attendre.~ ~ ~– Oui, murmura Philippe ; mais c’est que, moi aussi,
101    I,      31|          hommes, sans compter celle de Philippe qui pâlissait de l’autre
102    I,      31|               sa canne.~ ~ ~– Monsieur Philippe, dit-il, prêtez votre épée
103    I,      31|                Réteau pâlissant.~ ~ ~ ~Philippe n’avait plus d’objection
104    I,      31|              tête.~ ~ ~– Mordieu ! dit Philippe exaspéré, ouvrez-moi donc
105    I,      31|                      Pendant ce temps, Philippe, placé comme Adam de l’autre
106    I,      31|             être rossé.~ ~ ~– Là ! dit Philippe, avez-vous fini, monsieur ?~ ~ ~–
107    I,      31|               avec un souverain mépris Philippe qui venait d’entrer. Je
108    I,      31|            Taverney ?~ ~ ~– Voici, dit Philippe. Je me suis fait instruire
109    I,      31|                      Non, non, s’écria Philippe, vous voyez bien qu’il a
110    I,      31|               c’est plus sûr.~ ~ ~ ~Et Philippe, approuvant ce mode de satisfaction,
111    I,      32|           avant qu’elle fût de retour, Philippe et Charny avaient eu le
112    I,      32|            flamber.~ ~ ~ ~Heureusement Philippe et Charny connaissaient
113    I,      32|             deux se tournèrent le dos, Philippe remontant vers les boulevards,
114    I,      32|              Celui qui remontait était Philippe.~ ~ ~ ~Philippe qui, de
115    I,      32|        remontait était Philippe.~ ~ ~ ~Philippe qui, de son côté, avait
116    I,      32|                Monsieur de Charny, dit Philippe, je vous ai laissé le vendeur,
117    I,      32|       malheureux pour perdre.~ ~ ~ ~Et Philippe fit un pas en avant.~ ~ ~ ~
118    I,      32|            allons nous entendre.~ ~ ~ ~Philippe se retourna vivement. Il
119    I,      32|               En vérité, monsieur, dit Philippe, vous allez au-devant de
120    I,      32|                approcha. Charny invita Philippe à y prendre sa place. Et
121    I,      32|                ainsi que l’avait prévu Philippe, il se doutait de ce qui
122    I,      32|                  Cependant, peu à peu, Philippe et Charny gagnèrent dans
123    I,      32|          estompait les horizons.~ ~ ~ ~Philippe, qui marchait le premier,
124    I,      32|                monsieur de Charny, dit Philippe, il me semble que voilà
125    I,      32|              en ôtant son habit.~ ~ ~ ~Philippe ôta son habit à son tour,
126    I,      32|             moi, à tout autre répliqua Philippe, je dirais : « Monsieur,
127    I,      32|         comprends pas, comte, répliqua Philippe.~ ~ ~– Oh ! vous me comprenez,
128    I,      32|                      En garde ! répéta Philippe.~ ~ ~ ~Les fers se croisèrent.~ ~ ~ ~
129    I,      32|                  Aux premières passes, Philippe s’aperçut qu’il avait sur
130    I,      32|                supériorité, laissant à Philippe tout son sang-froid, il
131    I,      32|          fleuret à la main.~ ~ ~ ~Mais Philippe se contentait de parer,
132    I,      32|                il se fendit à fond sur Philippe.~ ~ ~ ~Mais Philippe enveloppa
133    I,      32|               sur Philippe.~ ~ ~ ~Mais Philippe enveloppa l’épée de son
134    I,      32|             Charny fit une reprise que Philippe écarta encore une fois,
135    I,      32|         véritable cause du duel.~ ~ ~ ~Philippe ne répondit pas.~ ~ ~– La
136    I,      32|           querelle par jalousie.~ ~ ~ ~Philippe resta muet.~ ~ ~– Voyons,
137    I,      32|               inverse du sang-froid de Philippe, quel jeu jouez-vous, monsieur
138    I,      32|               en pleine défense.~ ~ ~ ~Philippe secoua la tête.~ ~ ~– Oui,
139    I,      32|                       Monsieur, reprit Philippe, j’ai l’honneur de vous
140    I,      32|                 Monsieur le comte, dit Philippe, en vérité je crains que
141    I,      32|                un mot de trop, s’écria Philippe en fronçant le sourcil ;
142    I,      32|          découvrant juste au momentPhilippe passait un dégagement rapide
143    I,      32|                Allons, décidément, dit Philippe, vous êtes tout à fait fou,
144    I,      32|               ce fut à grand-peine que Philippe arriva à temps à la parade ;
145    I,      32|           pâlissait visiblement.~ ~ ~ ~Philippe le regarda pendant quelques
146    I,      32|                       Charny chancela. Philippe s’élança pour le soutenir ;
147    I,      32|               lèvres ; il chancela, et Philippe n’eut que le temps de le
148    I,      32|               la voiture ; il remercia Philippe d’un signe de tête.~ ~ ~–
149    I,      32|              Allez au pas, cocher, dit Philippe.~ ~ ~– Mais vous, monsieur ?
150    I,      32|             referma la portière.~ ~ ~ ~Philippe regarda le carrosse s’éloigner
151    I,      33|                   À la porte du garde, Philippe trouva un carrosse de louage
152    I,      33|                en était pas moins pour Philippe un sceptre très important.~ ~ ~ ~
153    I,      33|               donc l’espace et apporta Philippe tout frémissant rue Saint-Gilles,
154    I,      33|              hôtel.~ ~ ~ ~Le fiacre de Philippe ayant reçu l’ordre d’entrer,
155    I,      33|                la porte massive.~ ~ ~ ~Philippe sauta à terre, s’élança
156    I,      33|               pour que je me hâte, dit Philippe, car j’ai besoin de lui
157    I,      33|           sorte. Annoncez le chevalier Philippe de Taverney.~ ~ ~ ~Et il
158    I,      33|              salon.~ ~ ~– Le chevalier Philippe de Taverney ! répéta après
159    I,      33|             fois. Faites entrer.~ ~ ~ ~Philippe entra sous l’influence d’
160    I,      33|               je vous attendais.~ ~ ~ ~Philippe fronça le sourcil.~ ~ ~–
161    I,      33|         exécution de ce projet ?~ ~ ~ ~Philippe serra les poings ; il sentait
162    I,      33|       mouvements nerveux qui agitaient Philippe :~ ~ ~– Asseyez-vous donc,
163    I,      33|             prie.~ ~ ~ ~Et il avança à Philippe un fauteuil placé devant
164    I,      33|            monsieur le comte, répliqua Philippe d’une voix qu’il essayait
165    I,      33|                à quel propos ? s’écria Philippe.~ ~ ~– À propos de la reine.
166    I,      33|             avez raison, monsieur, dit Philippe, et j’aime mieux cela.~ ~ ~–
167    I,      33|          adossant à la cheminée.~ ~ ~ ~Philippe fit un geste menaçant.~ ~ ~–
168    I,      33|                du papier humide.~ ~ ~ ~Philippe s’approcha du comte. Celui-ci
169    I,      33|        menaçantes.~ ~ ~– Monsieur, dit Philippe, vous me paraissez être
170    I,      33|             vous vois, monsieur.~ ~ ~ ~Philippe regarda son interlocuteur
171    I,      33|     entendez-vous pas ? dit sourdement Philippe.~ ~ ~– Au contraire, monsieur,
172    I,      33|           Hercule, j’accepte.~ ~ ~ ~Et Philippe, ivre de fureur, se jeta
173    I,      33|                ne s’était passé.~ ~ ~ ~Philippe s’était relevé, pâle et
174    I,      33|               vous êtes mort, continua Philippe.~ ~ ~– Vous n’êtes pas encore
175    I,      33|                      Gilbert ? s’écria Philippe chancelant, quel nom avez-vous
176    I,      33|                      Monsieur, s’écria Philippe, vous avez prononcé un nom…~ ~ ~–
177    I,      33|          assassiné ?~ ~ ~– Oh ! reprit Philippe, défendez-vous ! défendez-vous !~ ~ ~–
178    I,      33|                Cagliostro en regardant Philippe, si vous saviez comme il
179    I,      33|                vous êtes mort, s’écria Philippe en bondissant vers le comte.~ ~ ~–
180    I,      33|                le contenu au visage de Philippe.~ ~ ~ ~À peine la liqueur
181    I,      33|          enfant, et écoutez-moi.~ ~ ~ ~Philippe se secoua, se raidit, chassa
182    I,      33|               Vous m’avez anéanti, dit Philippe, je ne puis faire un mouvement ;
183    I,      33|              pleine de noblesse.~ ~ ~ ~Philippe obéit ; les vapeurs qui
184    I,      33|             entre nous.~ ~ ~– Non, dit Philippe, car j’agissais en vertu
185    I,      33|               vous défendez ici.~ ~ ~ ~Philippe baissa les yeux ; un immense
186    I,      33|                     Monsieur ! s’écria Philippe effrayé de voir Cagliostro
187    I,      33|         étincela tout à coup et inonda Philippe de sueur. D’où vous vient
188    I,      33|                 vous m’épouvantez, dit Philippe. Le premier peut-être dans
189    I,      33|                me dites cela, répliqua Philippe, ému du ton paternel avec
190    I,      33|              bien ! moi, moi ! s’écria Philippe en courant à Cagliostro
191    I,      33|                Cagliostro en regardant Philippe avec des yeux pleins d’une
192    I,      33|         répondez à ma demande, supplia Philippe.~ ~ ~– Comptez, dit Cagliostro
193    I,      33|                jusqu’au dernier.~ ~ ~ ~Philippe sentit que son cœur montait
194    I,      34|               retournant et apercevant Philippe qui suivait le portier :~ ~ ~–
195    I,      34|               le laquais.~ ~ ~– Viens, Philippe, viens, continua le baron,
196    I,      34|               Du bal de l’Opéra.~ ~ ~ ~Philippe rougit, le malin vieillard
197    I,      34|                tu la compromets.~ ~ ~ ~Philippe se leva.~ ~ ~– De qui voulez-vous
198    I,      34|                 Mais à quoi bon, pensa Philippe, donner des explications
199    I,      34|              soupçonné, dit froidement Philippe, je le conçois ; mais qu’
200    I,      34|               soit folle de toi.~ ~ ~ ~Philippe rougit. Aller plus loin,
201    I,      34|                habilement élevé.~ ~ ~ ~Philippe se leva en sueur, les poings
202    I,      34|                nous allons bien.~ ~ ~ ~Philippe se retourna pour cacher
203    I,      34|                 Assez ! assez ! gronda Philippe.~ ~ ~– Oh ! si tu te tiens
204    I,      34|               Je ne comprends pas, dit Philippe de plus en plus piqué.~ ~ ~–
205    I,      34| incompréhensibles, murmurait le pauvre Philippe, en regardant son père avec
206    I,      34|             rudes têtes diplomatiques, Philippe, qui crut son père en délire,
207    I,      34|                   Mon successeur ? dit Philippe en pâlissant.~ ~ ~– Me diras-tu
208    I,      34|                qui faisait tressaillir Philippe comme l’appel d’un mauvais
209    I,      34|               violemment aux tempes de Philippe.~ ~ ~– Assez, cria-t-il
210    I,      34|                des Taverney. Continue, Philippe, continue. Flatte, adoucis,
211    I,      34|          insolent de prospérité.~ ~ ~ ~Philippe le saisit par la manche
212    I,      34|            travers les côtes.~ ~ ~ ~Et Philippe montra son épée à son père.~ ~ ~–
213    I,      34|                mes successeurs, ajouta Philippe ; maintenant que vous la
214    I,      34|            cramponna à son bras.~ ~ ~– Philippe ! Philippe ! dis-moi que
215    I,      34|             son bras.~ ~ ~– Philippe ! Philippe ! dis-moi que tu plaisantais.~ ~ ~–
216    I,      34|                de ma part ! Ce traître Philippe, fit-il en rentrant, n’est-il
217    I,      35|               de Charny, que l’épée de Philippe, que le brasier de Cagliostro
218    I,      37|  montrez-les-moi.~ ~ ~– Tout de suitePhilippe de Taverney est-il là ?~ ~ ~–
219    I,      37|               courut, on alla chercher Philippe jusque chez son père, qu’
220    I,      37|              nous avons décrite.~ ~ ~ ~Philippe, maître du champ de bataille
221    I,      37|            après son duel avec Charny, Philippe, qui venait de rendre un
222    I,      37|                  Oui, madame, répondit Philippe.~ ~ ~ ~Les cœurs battaient
223    I,      37|               une voix terrible.~ ~ ~ ~Philippe se tut.~ ~ ~– Oh ! ne ménagez
224    I,      37|                de se voir ainsi.~ ~ ~ ~Philippe, lui, devint livide.~ ~ ~–
225    I,      37|              est-il pas vrai, monsieur Philippe, que la tournure de ce domino
226    I,      37|             remarqué, monseigneur, dit Philippe en suffoquant.~ ~ ~– Mais,
227    I,      37|             soit à Versailles, murmura Philippe.~ ~ ~– Pourquoi ?~ ~ ~–
228    I,      37|               nus, pour prouver…~ ~ ~ ~Philippe, le cœur déchiré, s’approcha
229    I,      37|                Vous le voyez ? s’écria Philippe en courant à son tour.~ ~ ~–
230    I,      38|              ce temps, Charny avait vu Philippe, et l’avait salué courtoisement.~ ~ ~–
231    I,      38|              votre santé, dit tout bas Philippe à son adversaire. Sortir
232    I,      38|                la voir toujours.~ ~ ~ ~Philippe regarda Andrée, Andrée plongea
233    I,      38|               ses regards dans ceux de Philippe. Ces deux douleurs, ces
234    I,      38|               vient.~ ~ ~– Madame, dit Philippe d’une voix lente, le roi.~ ~ ~–
235    I,      38|          est-ce pas, messieurs ?~ ~ ~ ~Philippe était adossé au lambris,
236    I,      38|                donné à la reine.~ ~ ~ ~Philippe n’avait pas remué.~ ~ ~–
237    I,      38|              le comte d’Artois ?~ ~ ~ ~Philippe se redressa soudain. Le
238    I,      38|               fille : elle sentait que Philippe eût donné sa vie pour empêcher
239    I,      38|                pour suivre et consoler Philippe comme elle devait le faire,
240    I,      38|           comment Andrée ne suivit pas Philippe hors du cabinet de la reine,
241    I,      38|            Artois aussi a vu, monsieur Philippe aussi a vu, il le dit du
242    I,      39|             est en effet avec monsieur Philippe de Taverney que monsieur
243    I,      39|             bien ce qu’a fait monsieur Philippe de Taverney.~ ~ ~– Si mon
244    I,      45|               nous l’avons vu recevoir Philippe de Taverney.~ ~ ~ ~Quand
245   II,      50|                fiévreux, sa scène avec Philippe, sa scène avec la reine,
246   II,      52|         docteur Louis ; c’est monsieur Philippe de Taverney qui a blessé
247   II,      55|               y attendait, elle trouva Philippe au jardin. Le frère rêvait ;
248   II,      55|              heure retenir au château, Philippe s’avança surpris, presque
249   II,      55|               entrer au couvent.~ ~ ~ ~Philippe frappa dans ses mains avec
250   II,      55|                à reprocher à la reine, Philippe, répondit froidement la
251   II,      55|             Andrée.~ ~ ~– Si cela est, Philippe, vous pouviez le souffrir,
252   II,      55|             vous jure ; en eûtes-vous, Philippe, vous qui l’avez quittée ?
253   II,      55|              qu’elle a fait pour vous, Philippe.~ ~ ~– Qu’a-t-elle fait ?~ ~ ~–
254   II,      55|              votre dette et la mienne, Philippe.~ ~ ~– Trop cher, ce me
255   II,      55|                      Notre père ! ah ! Philippe ne parlez pas ainsi, reprit
256   II,      55|            Gilbert. Je vous le répète, Philippe, pour être une bonne et
257   II,      55|             vous qui les aimiez.~ ~ ~ ~Philippe baissa la tête.~ ~ ~– Épargnez-moi,
258   II,      55|             uns les autres.~ ~ ~– Oh ! Philippe, dit-elle, il n’arrive jamais
259   II,      55|            choisissent d’autres.~ ~ ~ ~Philippe leva son front pâle et considéra
260   II,      55|                   Andrée s’approcha de Philippe et lui prit la main.~ ~ ~–
261   II,      55|           parle au cœur de Dieu.~ ~ ~ ~Philippe arrêta Andrée du geste.~ ~ ~–
262   II,      55|              qui ne peut durer, reprit Philippe ; vous ne voulez pas du
263   II,      55|          éteint. Je n’ai pas de dépit, Philippe. Je voudrais bien que vous
264   II,      55|            grief à formuler. Répondez, Philippe, si demain vous vous retiriez
265   II,      55|        incurable chagrin, ma sœur, dit Philippe avec la douce majesté du
266   II,      55|                      À la bonne heure, Philippe, voilà un mot qui me convient
267   II,      55|        solitude.~ ~ ~– Bien ! répondit Philippe, et le frère et la sœur
268   II,      55|          Andrée.~ ~ ~ ~Andrée crut que Philippe, emporté par son émotion,
269   II,      55|                fraternelle.~ ~ ~ ~Mais Philippe savait par expérience que
270   II,      55|                elle reçut ce billet de Philippe :~ ~ ~« Vous pouvez voir
271   II,      55|                    Pour toute réponse, Philippe cria par la fenêtre, assez
272   II,      70|          enivrement.~ ~ ~ ~Il reconnut Philippe de Taverney serré dans son
273   II,      70|                      Charny, en voyant Philippe qui le regardait tranquillement,
274   II,      70|              commença par un salut que Philippe lui rendit de loin.~ ~ ~ ~
275   II,      70|                gauche, il vint droit à Philippe qui ne bougeait pas.~ ~ ~–
276   II,      70|           seulement depuis hier.~ ~ ~ ~Philippe rougit et le regarda, puis
277   II,      70|          Nullement, monsieur, répliqua Philippe.~ ~ ~ ~Charny allait tendre
278   II,      70|                tendre sa main pour que Philippe y dépose la sienne, lorsque
279   II,      70|                monsieur, dit lentement Philippe, sans avoir répondu au geste
280   II,      70|                la haie à droite.~ ~ ~ ~Philippe demeura de son côté, comme
281   II,      70|                       La reine aperçut Philippe ; elle ne put réprimer un
282   II,      70|           loisir de Votre Majesté, dit Philippe en s’inclinant sans avoir
283   II,      70|                elle entendit le pas de Philippe derrière le sien, et eut
284   II,      70|                Un quart d’heure après, Philippe était introduit dans la
285   II,      70|             annoncer un malheur.~ ~ ~ ~Philippe, plus pâle encore après
286   II,      70|                cet air gai qui rendait Philippe si malheureux, voilà que
287   II,      70|               Madame, reprit gravement Philippe, deux mots vont rassurer
288   II,      70|                    Vous… aussi !~ ~ ~ ~Philippe s’inclina.~ ~ ~– Ma sœur,
289   II,      70|              ajouta plus un mot.~ ~ ~ ~Philippe restait debout comme une
290   II,      70|            monsieur de La Pérouse, dit Philippe.~ ~ ~– Monsieur de La Pérouse
291   II,      70|              Affreuse, je ne sais, dit Philippe, mais prompte, je le sais.~ ~ ~–
292   II,      70|             son inquiet silence.~ ~ ~ ~Philippe, encore une fois, attendit
293   II,      70|           Monde, oui, madame, continua Philippe, mais pas de l’ancien et
294   II,      70|             mots avec trop de passion. Philippe eut l’avantage.~ ~ ~– Madame,
295   II,      70|                madame, reprit vivement Philippe.~ ~ ~– Votre grade a été
296   II,      70|         attachant son regard clair sur Philippe.~ ~ ~– Personne ne me déplaît.~ ~ ~–
297   II,      70|          désiré quitter la cour.~ ~ ~ ~Philippe ne répondit rien.~ ~ ~ ~
298   II,      70|           demandez votre congé ?~ ~ ~ ~Philippe devint plus livide que pâle.
299   II,      70|               vous retiens plus.~ ~ ~ ~Philippe salua pour la dernière fois
300   II,      84|                Taverney à Saint-Denis, Philippe, le cœur déchiré par tout
301   II,      84|                manteau de voyage. Mais Philippe avait des motifs plus puissants
302   II,      84|                d’attendre la visite de Philippe, ce fut lui qui traversa
303   II,      84|               précède un départ.~ ~ ~ ~Philippe ne s’attendait pas à des
304   II,      84|               Mais il fut bien étonné, Philippe, quand il entendit le baron
305   II,      84|                il part, il part…~ ~ ~ ~Philippe s’arrêta et regarda son
306   II,      84|                eusse parié. Bien joué, Philippe, bien joué.~ ~ ~– Plaît-il,
307   II,      84|             force clignements d’yeux à Philippe pour qu’il congédiât son
308   II,      84|                     Ce que comprenant, Philippe obéit. Le baron poussa Champagne
309   II,      84|          monsieur, répondit froidement Philippe, sans que je sache en quoi
310   II,      84|               dupe… Ah, ah, ah !~ ~ ~ ~Philippe se croisa les bras en se
311   II,      84|               cela ; mais que veux-tu, Philippe, il n’y a pas d’homme plus
312   II,      84|                Je fais semblant ? cria Philippe intrigué.~ ~ ~ ~Le vieillard
313   II,      84|              vite.~ ~ ~– Monsieur, dit Philippe d’un ton glacé, je vous
314   II,      84|               mais, en vérité, s’écria Philippe avec une sourde colère,
315   II,      84|                Taverney, monsieur, dit Philippe, croyant que le vieillard
316   II,      84|         bizarre !~ ~ ~– Monsieur ! dit Philippe exaspéré.~ ~ ~– C’est bon !
317   II,      84|               me suis promené, murmura Philippe, pâlissant.~ ~ ~– Garde
318   II,      84|                       Monsieur ! rugit Philippe ivre de jalousie furieuse ;
319   II,      84|              aie donc pas peur de moi, Philippe… Confie-toi donc à moi.~ ~ ~–
320   II,      84|               faites horreur ! s’écria Philippe en cachant son visage dans
321   II,      84|               éprouvait, ce malheureux Philippe, pour l’homme qui mettait
322   II,      84|             son fils. Pour lui c’était Philippe que la reine aimait, et
323   II,      84|               de Taverney.~ ~ ~ ~Quand Philippe eut découvert ce nouveau
324   II,      84|              tiens.~ ~ ~ ~Au momentPhilippe, rendu furieux par ce dernier
325   II,      84|               au-dehors l’attention de Philippe.~ ~ ~ ~On entendit Champagne
326   II,      84|                C’est ma sœur ! murmura Philippe, saisi d’étonnement lorsqu’
327   II,      84|          confirmer ce qu’avait annonce Philippe :~ ~ ~– Monsieur, dit-il
328   II,      84|                     Monsieur, dit-il à Philippe, mademoiselle votre sœur
329   II,      84|                veut avoir affaire, dit Philippe en saluant le vieillard ;
330   II,      84|        monsieur le comte au salon, dit Philippe à Champagne, monsieur le
331   II,      84|              le comte ? » se demandait Philippe.~ ~ ~« Qu’est venue faire
332   II,      85|              on entrait dans le grand. Philippe arriva le premier dans le
333   II,      85|             petite sœur, plus bas, dit Philippe ; les lambris de cette maison
334   II,      85|                       Écoute, répliqua Philippe.~ ~ ~– Monsieur le comte
335   II,      85|                        Écoute, écoute, Philippe, et laisse-moi monter jusqu’
336   II,      85|             mot qu’elle articula bas à Philippe en l’accompagnant d’un baiser
337   II,      85|               à son appartement.~ ~ ~ ~Philippe resta seul et appliqua sa
338   II,      85|                vieillard, la faveur de Philippe est-elle déjà si éclatante
339   II,      85|         boudoir s’ouvrit, et que parut Philippe, pâle, défait, une main
340   II,      85|            pareil.~ ~ ~– Monsieur, dit Philippe, mon père avait raison de
341   II,      85|               plus en détail.~ ~ ~ ~Et Philippe, avec un regard empreint
342   II,      85|                quelque traverse.~ ~ ~ ~Philippe accompagna le baron jusqu’
343   II,      85|                       Est-ce, continua Philippe, pour cacher mieux vos amours
344   II,      85|          atterré.~ ~ ~– Est-ce, ajouta Philippe, pour que, devenu l’époux
345   II,      85|            crois plutôt cela, continua Philippe en se rapprochant de Charny ;
346   II,      85|          prenez garde !~ ~ ~– Oui, dit Philippe en s’animant, la maison
347   II,      85|              Je ne sais rien ! s’écria Philippe avec une sanglante ironie.
348   II,      85|             appui autour de lui.~ ~ ~ ~Philippe le regarda avec un farouche
349   II,      85|              bien ! monsieur, dit-il à Philippe, même après ce que vous
350   II,      85|             reine est-elle perdue, dit Philippe, parce que monsieur de Taverney
351   II,      85|            venait de s’évanouir.~ ~ ~ ~Philippe courut au cri dans le petit
352   II,      85|      Cagliostro était accomplie.~ ~ ~ ~Philippe, qui comprenait tout, même
353   II,      85|                de la révélation.~ ~ ~ ~Philippe, les yeux gonflés, le cœur
354   II,      85|               d’Andrée avec désespoir. Philippe arrachait à deux mains ses
355   II,      85|               près d’une des victimes, Philippe releva Andrée, la réchauffa
356   II,      87|             dit, tout ce que Charny et Philippe avaient su ou vu, tous ces
357   II,      87|               des rivaux d’amour comme Philippe et Charny, tout le mystère
358   II,      98|            visage comme un spectre, et Philippe de Taverney, son frère,
359   II,      98|     particuliers et des parents.~ ~ ~ ~Philippe continua son chemin sans
360   II,      98|                la main de la fiancée à Philippe, donna la sienne à Marie-Antoinette,
361   II,      98|              souffrit bien plus.~ ~ ~ ~Philippe, l’œil attaché sur sa sœur,
362   II,      98|                 désespérée, au bras de Philippe.~ ~ ~ ~Oh ! murmura-t-elle,
363   II,      98|              est trop ! c’en est trop, Philippe ! Il me semblait pourtant
364   II,      98|                  Courage, dit tout bas Philippe ; encore cette épreuve,
365   II,      98|              demande ; mais, songez-y, Philippe, si elle me parle, si elle
366   II,      98|                seul dans le salon avec Philippe, baissant la tête comme
367   II,      98|            dans le salon voisin.~ ~ ~ ~Philippe appela Charny, lui prit
368   II,      98|           ennemi ? dit alors Olivier à Philippe.~ ~ ~– Non, monsieur le
369   II,      98|               voiture et partit.~ ~ ~ ~Philippe, resté seul, tordit un moment
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