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Tome, Chap.
1 I, 18| Chapitre XVIII~ ~ Mademoiselle Oliva~ ~ ~ ~Pendant ce temps, 2 I, 18| moi-même. Vous êtes Mlle Oliva ?~ ~ ~– Oui, monsieur.~ ~ ~– 3 I, 18| appellerons désormais Mlle Oliva, puisqu’elle daignait répondre 4 I, 18| voulez-vous, alors ? fit naïvement Oliva.~ ~ ~– Je sais, continua 5 I, 18| sorte d’affaires ? demanda Oliva, dont la curiosité se trahissait 6 I, 18| Ma chère demoiselle Oliva, voilà que vous recommencez 7 I, 18| de la rue, firent bondir Oliva vers la fenêtre.~ ~ ~– Bon 8 I, 18| mère, allez ouvrir, dit Oliva toute furieuse. Et quant 9 I, 18| sans bouger du sofa.~ ~ ~ ~Oliva écoutait, palpitante, sur 10 I, 19| XIX~ ~ M. Beausire~ ~ ~ ~Oliva se jeta au-devant d’un homme 11 I, 19| brutalité des étreintes d’Oliva.~ ~ ~ ~Et il se mit à continuer 12 I, 19| oui, certainement, murmura Oliva, en tout bien tout honneur.~ ~ ~– 13 I, 19| au jeu, dit à demi-voix Oliva.~ ~ ~– Je suis dépouillé, 14 I, 19| lui, sur le sofa.~ ~ ~ ~Oliva poussa des cris perçants.~ ~ ~– 15 I, 19| droit à Saint-Lazare.~ ~ ~ ~Oliva remplaça les cris par une 16 I, 19| Pendant ce temps, Oliva saisit la main du vainqueur 17 I, 19| Vous avez raison, dit Oliva en riant.~ ~ ~– Et voilà 18 I, 19| escalier était sombre, et Oliva, en interpellant à haute 19 I, 19| à l’étage où l’attendait Oliva. Il avait l’épée au fourreau, 20 I, 19| ruminait un discours.~ ~ ~ ~Oliva le prit par les épaules, 21 I, 19| Beausire tonnait, celle d’Oliva étonnait. Qu’on nous passe 22 I, 19| position en face des fenêtres d’Oliva, et se blottit dans l’ombre 23 I, 20| entendre crier si haut Mlle Oliva.~ ~ ~ ~Enfin, plus surpris 24 I, 20| Beausire triomphait.~ ~ ~ ~Oliva le força de cesser ses recherches 25 I, 20| haut ton à son tour.~ ~ ~ ~Oliva, qui savait ne plus être 26 I, 20| aberat, comme dit le texte ; Oliva cria si haut que, pour la 27 I, 20| Mais il se trompa ; Oliva comprit autrement le geste 28 I, 20| abattit les deux mains d’Oliva, et lui fit rougir la joue 29 I, 20| foule de préparations.~ ~ ~ ~Oliva répondit au soufflet de 30 I, 20| trouver de la menaçante Oliva.~ ~ ~ ~Il déchira une robe. 31 I, 20| Il déchira une robe. Oliva, sensible à cet affront 32 I, 20| beaucoup de respect pour Oliva, reprit la conversation 33 I, 20| vous qui me ruinez, dit Oliva.~ ~ ~– Oh ! je la ruine. 34 I, 20| En me battant ?~ ~ ~ ~Et Oliva brandit une pincette fort 35 I, 20| Meilleure que la vôtre ! s’écria Oliva furieuse, et en voici la 36 I, 20| écria-t-il atterré.~ ~ ~ ~Oliva tenait dans sa main une 37 I, 20| encore. Est-elle riche, cette Oliva !~ ~ ~– Voilà ce que me 38 I, 20| Misérable, grommela Oliva.~ ~ ~– Dix-neuf, vingt et 39 I, 20| privant du nécessaire ?~ ~ ~ ~Oliva, confondue, ne trouva rien 40 I, 20| Coquin ! murmura tout bas Oliva.~ ~ ~ ~Et elle lui lança 41 I, 20| misérable.~ ~ ~– Ma petite Oliva !~ ~ ~– Et que vous allez 42 I, 20| travers du corps.~ ~ ~– Oliva !~ ~ ~– C’est oui ou non ?~ ~ ~– 43 I, 20| ou non ?~ ~ ~– C’est non, Oliva ; je ne consentirai jamais 44 I, 20| appelle Nicole.~ ~ ~– Pardon, Oliva. Je disais donc que je vous 45 I, 20| les robes de soie…~ ~ ~– Oliva ! Oliva !~ ~ ~– Rendez-moi 46 I, 20| robes de soie…~ ~ ~– Oliva ! Oliva !~ ~ ~– Rendez-moi mon argent.~ ~ ~– 47 I, 20| neuf.~ ~ ~– Six louis ! Oliva, six louis. Heureusement 48 I, 20| article de la toilette.~ ~ ~ ~Oliva saisit tranquillement l’ 49 I, 20| sortirez.~ ~ ~– Jamais.~ ~ ~ ~Oliva prit dans sa poche ce qui 50 I, 20| vous avez ramassés.~ ~ ~– Oliva, Oliva, ce n’est pas bien.~ ~ ~– 51 I, 20| avez ramassés.~ ~ ~– Oliva, Oliva, ce n’est pas bien.~ ~ ~– 52 I, 20| voulez-vous dire ?~ ~ ~– Oliva, vous me les aviez donnés.~ ~ ~– 53 I, 20| côté de la rue de Seine, Oliva écrivit rapidement sur un 54 I, 20| ruban de soie bleue. »~ ~ ~Oliva roula le papier autour d’ 55 I, 23| Écoutons.~ ~ ~– Je vous dis, Oliva, que vous attendez quelqu’ 56 I, 23| résignez-vous.~ ~ ~– Mademoiselle Oliva !~ ~ ~– Oh ! ne faites pas 57 I, 23| Beausire, stupéfait.~ ~ ~ ~Oliva éclata de rire.~ ~ ~– Taisez-vous ! 58 I, 23| est-ce pas, mademoiselle Oliva ?~ ~ ~– Eh mais ! fit celle-ci, 59 I, 23| peut-on dire ! s’écria Oliva.~ ~ ~– Et d’ailleurs… ajouta 60 I, 23| grommela le chevalier d’Oliva.~ ~ ~– Rue du Pot-de-Fer, 61 I, 23| Beausire en quittant le bras d’Oliva, c’est vous qui étiez sur 62 I, 23| demanda le domino bleu, à qui Oliva pinça légèrement le bout 63 I, 23| possession du bras de Mlle Oliva, devenu vacant par la disparition 64 I, 23| maintenant, vous vous appelez Oliva. Nicole sentait par trop 65 I, 23| vous, je le sais bien : Oliva et Nicole. Nous parlerons 66 I, 23| parlerons tout à l’heure d’Oliva, parlons d’abord de Nicole. 67 I, 23| oublier le premier. Pauvre Oliva ! Heureuse Nicole !~ ~ ~ ~ 68 I, 23| promeneurs enlacés, et Nicole ou Oliva fut forcée, presque malgré 69 I, 23| Vous avez dit : « Pauvre Oliva !… » ~– Oui.~ ~ ~– Vous 70 I, 23| homme comme Beausire.~ ~ ~ ~Oliva poussa un soupir.~ ~ ~– 71 I, 23| mon cher monsieur, dit Oliva en riant et en secouant 72 I, 23| domino bleu resta muet. Oliva, ou plutôt Nicole, poussa 73 I, 23| terribles, monsieur, dit Oliva en tressaillant ; maintenant…~ ~ ~ ~ 74 I, 23| aimait Mlle de Taverney… dit Oliva.~ ~ ~– Plus bas les noms, 75 I, 23| était si amoureux, continua Oliva avec un soupir, que chaque 76 I, 23| vous-même.~ ~ ~– Alors, s’écria Oliva, dites-moi pourquoi Gilbert 77 I, 23| masque, il se posa devant Oliva qui le dévora du regard 78 I, 23| cela vaut-il mieux, soupira Oliva.~ ~ ~– Oui, Gilbert ne vous 79 I, 23| qu’aujourd’hui, ma chère Oliva – vous voyez, j’abandonne 80 I, 23| qu’aujourd’hui, ma chère Oliva, vous avez en perspective 81 I, 23| vous dites si bien, fit Oliva ; mais assez sur ce sujet.~ ~ ~– 82 I, 23| cher cette vanité !~ ~ ~ ~Oliva se mit à rire.~ ~ ~– Oh ! 83 I, 23| qui soit au monde.~ ~ ~ ~Oliva baissa la tête, appuya son 84 I, 23| d’un beau cheval.~ ~ ~ ~Oliva, au bout de quelques minutes, 85 I, 23| ce jeune homme ? demanda Oliva. Oh ! le charmant domino 86 I, 24| suite)~ ~ ~ ~Au moment où Oliva, toute stupéfaite du grand 87 I, 24| fit-il alors à l’oreille d’Oliva, ma bonne petite amie, nous 88 I, 24| parlez-moi à l’oreille.~ ~ ~ ~Oliva obéit avec une docilité 89 I, 24| masque, aperçut le geste d’Oliva.~ ~ ~– Tenez, dit-elle tout 90 I, 24| vôtre, monseigneur.~ ~ ~ ~Oliva et son domino bleu s’approchaient 91 I, 24| se pencha à l’oreille d’Oliva qui lui fit un signe affirmatif.~ ~ ~– 92 I, 24| pencha encore à l’oreille d’Oliva qui joua le même jeu.~ ~ ~ ~ 93 I, 24| Il se pencha vers Oliva et lui dit tout bas.~ ~ ~– 94 I, 24| dit alors le cardinal à Oliva, un mot de vous, je vous 95 I, 24| Rohan avait parlé allemand ; Oliva ne comprit pas un mot et 96 I, 24| avoir pris les ordres d’Oliva, répliqua aussitôt :~ ~ ~– 97 I, 24| inconnu serra le bras d’Oliva.~ ~ ~– Oui, fit-elle de 98 I, 24| Schœnbrunn ?~ ~ ~– Oui, fit Oliva.~ ~ ~– Ils furent écrits 99 I, 24| auguste ?~ ~ ~– Oui, fit Oliva.~ ~ ~ ~Le cardinal s’arrêta. 100 I, 24| le comte d’Artois ! dit Oliva en se serrant contre le 101 I, 24| Aussitôt le capuchon d’Oliva fut froissé, tiré en arrière 102 I, 24| d’inquiétude affectée ; Oliva, un cri d’épouvante.~ ~ ~ ~ 103 I, 24| rabaisser le capuchon d’Oliva et de rattacher le masque, 104 I, 24| vite, dit le domino bleu à Oliva.~ ~ ~ ~Et ils disparurent.~ ~ ~« 105 I, 26| académie.~ ~ ~ ~Le digne ami d’Oliva, affriandé par le chiffre 106 I, 26| tard.~ ~ ~ ~Il pensait à Oliva restée seule au bal avec 107 I, 26| espérait retrouver Mlle Oliva en possession de tout ce 108 I, 30| d’esprit, dit l’amant d’Oliva.~ ~ ~– Dites, dites votre 109 I, 31| bal de l’Opéra, où Mlle Oliva avait pris tant de plaisir 110 I, 33| dans la chambre de Mlle Oliva et au bal de l’Opéra.~ ~ ~– 111 I, 35| Mesmer le passage de Mlle Oliva.~ ~ ~– Impossible, impossible, 112 I, 36| opposé à celui donné pour Oliva.~ ~ ~ ~M. de Crosne manifesta 113 I, 43| l’amant de mademoiselle Oliva, et presque étranglé par 114 I, 44| monologue silencieux, faire d’Oliva une femme aussi honnête 115 I, 44| Dans ce domicile logeait Oliva. On la préviendrait, on 116 I, 44| sauraient-ils pas que mademoiselle Oliva était la passion de Beausire, 117 I, 44| montrait souvent la belle Oliva, son étoile.~ ~ ~ ~Les fenêtres 118 I, 44| Beausire et n’avait trouvé qu’Oliva. Inde irœ7.~ ~ ~ ~De là 119 I, 44| mille livres. Je ne sers pas Oliva… Je me ruine… Je lui prouve 120 I, 44| fois ayant été chercher Oliva au jardin du Luxembourg, 121 I, 44| il vit dans ce carrosse Oliva et un fort bel homme qui 122 I, 44| quelle apparence que ce fût Oliva qui occupât ce carrosse – 123 I, 44| mais double, c’était voir Oliva quand même.~ ~ ~ ~Il y avait 124 I, 44| raisonnement à se faire, c’est qu’Oliva n’était pas dans ce carrosse, 125 I, 44| prison, si on la retenait, Oliva, sa compagne inséparable.~ ~ ~ ~ 126 I, 44| aussitôt que mademoiselle Oliva se serait trouvée libre.~ ~ ~ ~ 127 I, 45| Chapitre XLV~ ~ Où mademoiselle Oliva commence à se demander ce 128 I, 45| était bien mademoiselle Oliva qu’il avait vue dans le 129 I, 45| le regardant deux fois ; Oliva, qui le matin avait été 130 I, 45| douzaine de visiteurs ! s’écria Oliva en riant ; pourquoi pas 131 I, 45| monsieur de Crosne.~ ~ ~ ~Oliva frissonna : certaines gens 132 I, 45| toujours rue Dauphine ?~ ~ ~ ~Oliva s’arrêta pâle et troublée.~ ~ ~– 133 I, 45| ces mots, il avait conduit Oliva jusqu’à la grille de la 134 I, 45| et conduit Cagliostro et Oliva dans la rue Dauphine, à 135 I, 45| il eût suivi la voiture, Oliva eût out fait pour se rapprocher 136 I, 45| détourna l’attention d’Oliva en lui montrant la foule 137 I, 45| guet.~ ~ ~ ~Du moment où Oliva eut distingué les soldats 138 I, 45| une autre demeure.~ ~ ~ ~Oliva se montra un peu consolée 139 II, 62| hôtel de Balsamo la fugitive Oliva, poursuivie par la police 140 II, 62| Crosne.~ ~ ~ ~Mademoiselle Oliva, fort inquiète, avait accepté 141 II, 62| Pour mademoiselle Oliva, monsieur de Cagliostro, 142 II, 62| Car l’amour-propre d’Oliva ne lui permettait pas de 143 II, 62| qui suit l’amour.~ ~ ~ ~Oliva se mit donc à faire des 144 II, 62| le bonheur durât.~ ~ ~ ~Oliva était heureuse, mais Oliva 145 II, 62| Oliva était heureuse, mais Oliva s’ennuyait.~ ~ ~ ~Livres, 146 II, 62| regardés une fois – c’est Oliva qui juge et non pas nous –, 147 II, 62| Il faut le dire, Oliva ne tarda pas à s’ennuyer 148 II, 62| d’agacement dans lequel Oliva, privée de toute société, 149 II, 62| l’appartement occupé par Oliva.~ ~ ~ ~Quatre coups, frappés 150 II, 62| visiteur muni de clefs.~ ~ ~ ~Oliva ne pensait pas que les précautions 151 II, 62| sang-froid, monsieur, dit Oliva. J’aime mieux de bonnes 152 II, 62| réussissait si bien auprès d’Oliva.~ ~ ~– Vous en parlez bien 153 II, 62| apporte.~ ~ ~ ~–Ah ! fit Oliva.~ ~ ~– Monsieur de Beausire, 154 II, 62| garçon.~ ~ ~– Parbleu ! fit Oliva qui ne voyait pas où on 155 II, 62| idée, il y a un mois, dit Oliva en souriant d’un air contraint.~ ~ ~– 156 II, 62| C’est vrai, répliqua Oliva du même ton ; un quart d’ 157 II, 62| n’est-ce pas ? s’écria Oliva, enchantée d’avoir été prise 158 II, 62| le vôtre, à vous, riposta Oliva, il n’était guère tenace, 159 II, 62| jaillissait des regards d’Oliva.~ ~ ~– Revenons à Beausire, 160 II, 62| police.~ ~ ~– Aussi ! s’écria Oliva en pâlissant ; car cette 161 II, 62| Un vol ! s’écria Oliva épouvantée ; mon Dieu !~ ~ ~– 162 II, 62| Allons ! s’écria Oliva, voici que vous êtes dépité 163 II, 62| chaste baiser sur le front d’Oliva ; comme elle a peur. N’ayez 164 II, 62| personne vous faites !~ ~ ~ ~Et Oliva mit deux bras au lieu d’ 165 II, 62| Vous voyez bien, Oliva, dit-il, maintenant vous 166 II, 62| vos délicatesses.~ ~ ~ ~Oliva laissa tomber ses beaux 167 II, 62| le comte, ainsi ma chère Oliva, c’est convenu, vous me 168 II, 62| Et je me dirai, fit Oliva, qu’il y a des hommes en 169 II, 62| vous aurez du soleil.~ ~ ~ ~Oliva frappa joyeusement dans 170 II, 62| que cela vous gêne ?~ ~ ~ ~Oliva regarda profondément Cagliostro. 171 II, 62| escalier, parvint, suivit d’Oliva, au troisième étage, dans 172 II, 62| couche.~ ~ ~ ~Le regard d’Oliva prit les teintes fauves 173 II, 63| L’observatoire~ ~ ~ ~Oliva se mit au lit après le départ 174 II, 63| pauvre ou trop agité.~ ~ ~ ~Oliva plaignit Beausire, elle 175 II, 63| innocente réputation.~ ~ ~ ~Oliva surprit les richesses de 176 II, 63| parfaite, avec laquelle Oliva courut à la terrasse, se 177 II, 63| embrasser trois maisons, Oliva trouva les fenêtres closes 178 II, 63| rêveur ou sa rêveuse.~ ~ ~ ~Oliva crut distinguer dans cette 179 II, 63| jaune, ne fut pas expliqué à Oliva. Rien sur l’ombre ambulante, 180 II, 63| sur le fauteuil.~ ~ ~ ~Si Oliva n’eut pas la satisfaction 181 II, 63| ou du Chemin-Vert.~ ~ ~ ~Oliva les compta. Ils étaient 182 II, 63| pour leur demeure.~ ~ ~ ~Oliva passa une partie de la journée 183 II, 63| service de l’idole.~ ~ ~ ~Oliva remarqua combien cette dame, 184 II, 63| nous avons reconnue et qu’Oliva ne pouvait reconnaître, 185 II, 63| préparer ce logement pour Oliva, comme il l’eût fait disposer 186 II, 63| ensevelie dans ses pensées ; Oliva se figura que cette belle 187 II, 63| cette solitaire pensive, Oliva n’en put détacher ses yeux.~ ~ ~ ~ 188 II, 63| mystiques ombrages.~ ~ ~ ~Oliva crut voir une sœur de son 189 II, 63| diamant sa fable romanesque, Oliva, comme toutes les natures 190 II, 63| oscillé d’un degré.~ ~ ~ ~Oliva se désespérait. Elle n’eût 191 II, 63| envers une bourgeoise.~ ~ ~ ~Oliva, démêlant dans la physionomie 192 II, 63| fracas épouvantable.~ ~ ~ ~Oliva, effrayée, regarda vite 193 II, 63| hôtel.~ ~ ~ ~Et elle vit Oliva.~ ~ ~ ~En la voyant, elle 194 II, 63| naguère.~ ~ ~ ~Les yeux d’Oliva et ceux de cette dame se 195 II, 63| voilà !~ ~ ~ ~En ce moment, Oliva entendit du bruit derrière 196 II, 63| sont vues ! dit-il.~ ~ ~ ~Oliva quitta brusquement le balcon.~ ~ ~ ~ 197 II, 64| femmes s’étaient aperçues, Oliva, déjà fascinée par la grâce 198 II, 64| grêlon sinistre sur la tête d’Oliva, qui déjà se faisait une 199 II, 64| amie. Car l’imagination d’Oliva courait à ce point, que 200 II, 64| baisers jetés du doigt.~ ~ ~ ~Oliva correspondit de son mieux 201 II, 64| aimantes sur le balcon d’Oliva.~ ~ ~ ~Un pareil état de 202 II, 64| Cagliostro, en venant voir Oliva deux jours après, se plaignit 203 II, 64| Comment cela ? fit Oliva un peu rougissante.~ ~ ~– 204 II, 64| vous demande à moi.~ ~ ~ ~Oliva, au lieu de s’effrayer, 205 II, 64| monsieur le comte, dit Oliva, comment pourrais-je craindre ? 206 II, 64| comme il vous plaira.~ ~ ~ ~Oliva se répandit en protestations 207 II, 64| heures, se montra dès qu’Oliva parut. On eût dit qu’elle-même 208 II, 64| éclat de la voix, elle dit à Oliva :~ ~ ~– J’ai voulu vous 209 II, 64| madame.~ ~ ~– Chut ! fit Oliva en se reculant avec effroi.~ ~ ~ ~ 210 II, 64| reprit-elle.~ ~ ~– Hélas ! fit Oliva du geste.~ ~ ~– Attendez, 211 II, 64| Oh ! non, s’écria Oliva épouvantée.~ ~ ~ ~Jeanne 212 II, 64| quelques moments.~ ~ ~ ~Oliva, pour la remercier de sa 213 II, 64| fenêtre, elle sortit.~ ~ ~ ~Oliva se dit que l’amie avait 214 II, 64| pendant le fuego.~ ~ ~ ~Oliva vit apparaître sa voisine 215 II, 64| Jeanne, en riant, fit signe à Oliva de s’écarter.~ ~ ~ ~Celle-ci 216 II, 64| tomba dans la rue.~ ~ ~ ~Oliva poussa un cri de désappointement. 217 II, 64| quelques minutes.~ ~ ~ ~Oliva, penchée, regardait du balcon 218 II, 64| balle dans le ruisseau ? Oliva n’en sut rien ; elle se 219 II, 64| déguisé son écriture.~ ~ ~ ~Oliva tressaillit de joie en recevant 220 II, 64| Votre amie,~ ~ ~« OLIVA LEGAY »~ ~ ~ ~Oliva signait 221 II, 64| OLIVA LEGAY »~ ~ ~ ~Oliva signait de toutes ses forces.~ ~ ~ ~ 222 II, 64| entrevue que nous aurons. »~ ~ ~Oliva dévora ce billet. Elle sentit 223 II, 64| clef sur la lanterne.~ ~ ~ ~Oliva prépara d’avance un morceau 224 II, 64| fleurs nouvellement écloses. Oliva put donc sans inquiétude 225 II, 64| projet.~ ~ ~ ~Le comte parti, Oliva fit descendre dans une boîte 226 II, 64| votre tendre amie. »~ ~ ~Oliva frissonna de joie plus qu’ 227 II, 64| conseilla la première à Oliva de rentrer, pour n’éveiller 228 II, 64| plus profond mystère.~ ~ ~ ~Oliva s’était livrée sans réserve : 229 II, 64| Elle faisait descendre Oliva selon son caprice.~ ~ ~ ~ 230 II, 64| étaient les appâts auxquels Oliva se laissait toujours prendre.~ ~ ~– 231 II, 64| pas me croire, répondait Oliva.~ ~ ~ ~Huit jours de ces 232 II, 64| trouvait sur les lèvres d’Oliva bien plus souvent que ne 233 II, 68| entre madame de La Motte et Oliva, la comédie des trois dernières 234 II, 68| derrière le rideau chez Oliva, dont les fenêtres n’étaient 235 II, 68| étaient pas encore ouvertes. Oliva dormait, fatiguée sans doute ; 236 II, 71| de la fenêtre, elle vit Oliva tout inquiète, toute curieuse 237 II, 71| La comtesse fit à Oliva le signe convenu pour qu’ 238 II, 71| communication officielle, Oliva rentra dans sa chambre ; 239 II, 71| Jeanne pensa que la petite Oliva, toute au plaisir de vivre, 240 II, 71| fouler des roses.~ ~ ~ ~Oliva, si fort charmée qu’elle 241 II, 71| Versailles.~ ~ ~ ~La nuit vint, Oliva descendit. Jeanne l’attendait 242 II, 71| forcer la consigne.~ ~ ~ ~Oliva commença par couvrir de 243 II, 71| me suis ennuyée, s’écria Oliva ; je vous cherchais, je 244 II, 71| lui.~ ~ ~– Hélas ! soupira Oliva.~ ~ ~– Je ne vous rappellerai 245 II, 71| ce pauvre garçon.~ ~ ~ ~Oliva soupira encore.~ ~ ~– De 246 II, 71| était peut-être mal, dit Oliva bien bas ; car, en effet, 247 II, 71| espiègleries… Mais… ma petite Oliva, il paraît que ce n’est 248 II, 71| ce n’est pas tout.~ ~ ~ ~Oliva rougit si fort que, sans 249 II, 71| dit Jeanne.~ ~ ~– Oui, fit Oliva en hésitant ; vous le savez, 250 II, 71| mais… fit en tremblant Oliva.~ ~ ~– Eh bien ! ma toute 251 II, 71| Dieu ! mon Dieu ! murmura Oliva.~ ~ ~– Il est fou, d’abord 252 II, 71| Certes… balbutia Oliva.~ ~ ~– Vous n’eussiez pas, 253 II, 71| terrible sans me le dire.~ ~ ~ ~Oliva frissonna de la tête aux 254 II, 71| ai cette idée-là.~ ~ ~ ~Oliva sentit ses dents se serrer 255 II, 71| loin avec ce mot-là.~ ~ ~ ~Oliva cacha son visage dans ses 256 II, 71| bannissement ! s’écria Oliva effarée.~ ~ ~– Ce n’est 257 II, 71| insensé ? Ah ! ma pauvre Oliva ! c’est une mystification 258 II, 71| nous aura coûté cher.~ ~ ~ ~Oliva se mit à fondre en larmes.~ ~ ~– 259 II, 71| de ce dernier coup.~ ~ ~ ~Oliva bondit. D’un coup violent 260 II, 71| comme il vous plaira, dit Oliva.~ ~ ~– Je crois que c’est 261 II, 71| vers la rue Saint-Claude, Oliva n’osant plus parler à Jeanne, 262 II, 71| profondément pour parler à Oliva.~ ~ ~ ~En arrivant, elles 263 II, 71| elles s’embrassèrent ; Oliva demanda humblement pardon 264 II, 72| Ce qu’avait promis Oliva, elle le tint.~ ~ ~ ~Ce 265 II, 72| lendemain de son entrevue avec Oliva, elle se montra vers deux 266 II, 72| joie, dire la terreur d’Oliva, ce serait impossible. Nécessité 267 II, 72| devait être le signal pour Oliva de descendre.~ ~ ~« Elle 268 II, 72| porte ne s’ouvrait pas. Oliva s’était sans doute embarrassée 269 II, 72| de fois avait procuré à Oliva la liberté nocturne.~ ~ ~ ~ 270 II, 72| lors même qu’en attendant Oliva chaque soir elle ne s’en 271 II, 72| écouta. On ne causait pas. Oliva était donc bien seule, elle 272 II, 72| bois de la porte.~ ~ ~– Oliva ! Oliva ! dit-elle ; amie ! 273 II, 72| la porte.~ ~ ~– Oliva ! Oliva ! dit-elle ; amie ! petite 274 II, 72| cachant le visage.~ ~ ~– Oliva ! dit cet homme, est-ce 275 II, 72| écria Jeanne épouvantée. Oliva n’est plus ici ?~ ~ ~– Oh ! 276 II, 72| ne savait pas l’adresse d’Oliva !~ ~ ~– Oh ! que si fait, 277 II, 72| Beausire trouvera mademoiselle Oliva rue Saint-Claude, au coin 278 II, 72| apparemment, vous l’amie sincère d’Oliva.~ ~ ~– Mais comment est-il 279 II, 86| au deuxième plan.~ ~ ~ ~Oliva se préparait à fuir, pour 280 II, 87| Beausire et mademoiselle Oliva vivaient heureux et riches 281 II, 87| eux-mêmes. Mademoiselle Oliva engraissait comme une belette 282 II, 87| agents cherchaient aussi Oliva, et ils trouvèrent Beausire. 283 II, 88| assez de bruit pour prévenir Oliva d’être sur ses gardes. Beausire, 284 II, 88| pour redouter de montrer Oliva à des inconnus.~ ~ ~ ~Il 285 II, 88| railler, mais il ne montra pas Oliva.~ ~ ~ ~On servit un gros 286 II, 88| approcha de mademoiselle Oliva, et d’un ton trop peu poli, 287 II, 88| ni dans l’autre ! ajouta Oliva glacée de terreur.~ ~ ~– 288 II, 89| effroi à la reine. C’était Oliva, vêtue de l’un des costumes 289 II, 89| le vit dans la carriole. Oliva était cachée au fond, toute 290 II, 89| de ne jamais abandonner Oliva.~ ~ ~ ~Il renouvela aux 291 II, 89| demi-mort, le malheureux amant d’Oliva.~ ~ ~ ~Beausire, à l’aspect 292 II, 89| jamais aimé mademoiselle Oliva ; je n’avais qu’un but, 293 II, 89| guérison. J’eusse guéri Oliva en vous l’ôtant, voilà pourquoi 294 II, 90| qu’à propos de la petite Oliva, dit Cagliostro ; mais puisque 295 II, 90| apprendre.~ ~ ~ ~Au nom d’Oliva, monsieur de Crosne tressaillit.~ ~ ~– 296 II, 90| Que dites-vous d’Oliva ? demanda-t-il. Qui est-ce, 297 II, 90| demanda-t-il. Qui est-ce, Oliva ?~ ~ ~– Vous ne le savez 298 II, 90| prie, au contraire. Cette Oliva, disiez-vous ?…~ ~– Vivait 299 II, 90| heure associer à ce nom d’Oliva le nom de madame de La Motte.~ ~ ~– 300 II, 90| La Motte et mademoiselle Oliva étaient voisines.~ ~ ~– 301 II, 90| vous ne croyez ; car cette Oliva que vous dites avoir été 302 II, 90| espoir de corriger cette Oliva, de la rejeter dans le travail 303 II, 90| présent que vous avez trouvé Oliva avec Beausire, rien ne me 304 II, 90| correspondances.~ ~ ~– Avec Oliva ?~ ~ ~– Mais oui.~ ~ ~– 305 II, 90| Madame de La Motte et Oliva s’entendaient ?~ ~ ~– Parfaitement.~ ~ ~– 306 II, 90| faire sortir chaque nuit Oliva.~ ~ ~– Chaque nuit ! En 307 II, 90| ces promenades faites par Oliva et madame de La Motte ?~ ~ ~– 308 II, 90| Motte ait correspondu avec Oliva ?~ ~ ~– Cent.~ ~ ~– Lesquelles ?~ ~ ~– 309 II, 90| Motte qu’elle lançait chez Oliva avec une arbalète qu’on 310 II, 90| dans ma maison pour voir Oliva, car je l’y ai vue, moi, 311 II, 90| que venait-elle faire, si Oliva avait disparu ?…~ ~– C’est 312 II, 90| Motte voulait s’attacher Oliva.~ ~ ~– Vous laissiez faire ?~ ~ ~– 313 II, 90| empêchée de me débarrasser d’Oliva ? J’aurais eu tort, vous 314 II, 90| profondément, mademoiselle Oliva était logée chez vous ?~ ~ ~– 315 II, 90| Ah ! mademoiselle Oliva et madame de La Motte se 316 II, 90| le jour de l’enlèvement d’Oliva ?~ ~ ~– Oui, monsieur.~ ~ ~– 317 II, 90| quand elle n’a plus trouvé Oliva chez vous ?~ ~ ~– Elle m’ 318 II, 90| savait pas la demeure d’Oliva. Qui peut la lui avoir apprise ?~ ~ ~– 319 II, 90| lui avoir apprise ?~ ~ ~– Oliva elle-même.~ ~ ~– Je ne crois 320 II, 91| au cardinal, à ce moment Oliva parut, vivant témoignage 321 II, 91| attachait à la reine.~ ~ ~ ~Oliva confrontée avec le cardinal, 322 II, 91| Quand monsieur de Rohan vit Oliva, cette reine de carrefour, 323 II, 91| pouvait accepter l’identité d’Oliva sans avouer qu’il aimait 324 II, 91| vérité.~ ~ ~ ~Mais comme Oliva, dans son inquiétude ingénue, 325 II, 91| cardinal joua celui d’une dupe, Oliva celui d’une prostituée sans 326 II, 91| parce que mademoiselle Oliva, qui affirmait avoir été 327 II, 92| Pour une quantité de gens, Oliva toute vivante, avec sa ressemblance 328 II, 93| avait tenu sa parole aussi à Oliva. Celle-ci, de son côté, 329 II, 93| dans les interrogatoires, Oliva n’avait pas revu son cher 330 II, 93| ont accouché mademoiselle Oliva.~ ~ ~– Ils viendront ici ? 331 II, 93| que je vais voir le fils d’Oliva ! ici, tout à l’heure ?…~ ~– 332 II, 93| dame Chopin eut appris à Oliva tant d’aventures surprenantes, 333 II, 94| pendant l’instruction.~ ~ ~ ~Oliva, franche et timide ; Cagliostro, 334 II, 94| au renvoi pur et simple d’Oliva ;~ ~ ~ ~à l’aveu auquel 335 II, 94| arguments.~ ~ ~ ~Ensuite parut Oliva ; la pauvre fille retrouva 336 II, 94| disait partout que la pauvre Oliva venait, au greffe, de quitter 337 II, 94| de sa mère.~ ~ ~ ~Après Oliva parut Cagliostro le moins 338 II, 95| mutuelle défense ; tandis qu’Oliva, dans sa cellule, caressait 339 II, 96| montrant son enfant au peuple, Oliva, qui partait aussi, libre 340 II, 96| suffisant pour mademoiselle Oliva, que la foule envoyait, 341 II, 96| publique. Il fit un signe à Oliva, qui descendit de son fiacre 342 II, 96| chasser du théâtre ?~ ~ ~ ~Oliva, montée dans la chaise, 343 II, 96| sais !~ ~ ~– Mademoiselle Oliva renvoyée de l’accusation.~ ~ ~– 344 II, 97| Marie-Antoinette, une demoiselle Oliva qui s’avouât prostituée ;