Tome,  Chap.

  1    I,    Pro1|          liste de mes convives, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Et j’en ai fidèlement
  2    I,    Pro1|     monseigneur. Neuf couverts, n’est-ce point cela ?~ ~ ~– Il y
  3    I,    Pro1|   convives de monseigneur sont, n’est-ce pas, M. le comte de Launay,
  4    I,    Pro1|       huit couverts de ce soir, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Parfaitement.
  5    I,    Pro2|        dirait au Parlement.~ ~ ~– Est-ce à toi que le propos s’adresse,
  6    I,    Pro2|   maréchal de Richelieu.~ ~ ~– Qu’est-ce que vous ne croyez pas,
  7    I,    Pro2|           Pilate ? Mais peut-être est-ce tout le contraire, et est-il
  8    I,    Pro2|           le comte de Haga.~ ~ ~– Est-ce une raison pour n’y pas
  9    I,    Pro2|       étoile polaire. La santé, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, certes,
 10    I,    Pro2|        promet vingt ans encore. N’est-ce pas, monsieur de Cagliostro ?
 11    I,    Pro2|               Oh ! oh ! dit-il, n’est-ce pas dans une bataille que
 12    I,    Pro2|          venir l’eau à la bouche. Est-ce que vous ne me ferez pas
 13    I,    Pro2|       pire de toutes les morts, n’est-ce pas, monsieur de Cagliostro ?~ ~ ~ ~
 14    I,    Pro2|                  Plaisanterie ! n’est-ce pas, monsieur ? balbutia
 15    I,    Pro2|         de crime. Plaisanterie, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Eh ! mon Dieu,
 16    I,       1|           de froid. Vous aussi, n’est-ce pas, petite ? dit la dame
 17    I,       1|           riant.~ ~ ~– Quelle rue est-ce là, rue du Pont-aux-Choux ?
 18    I,       2|         sollicite : quatre louis. Est-ce bien tout ? Additionnons.~ ~ ~ ~
 19    I,       2|      prononça ces paroles :~ ~ ~– Est-ce ici que demeure Mme la comtesse
 20    I,       3|        demande à être expliqué, n’est-ce pas, madame ? dit Jeanne.
 21    I,       3|         faim.~ ~ ~– Cette dame, n’est-ce pas Mme Boulainvilliers ?~ ~ ~–
 22    I,       3|       importante se présentait, n’est-ce pas ? dit en souriant la
 23    I,       4| malheureuse.~ ~ ~– Bien élevée, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, sans doute.~ ~ ~–
 24    I,       4|         bas les écraseurs !~ ~ ~– Est-ce donc à nous que ces cris
 25    I,       5|          revenir.~ ~ ~– Un louis, est-ce assez ? dit la plus jeune
 26    I,       5|           il est beau cavalier, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~La jeune femme
 27    I,       5|          vous connaissez Paris, n’est-ce pas ? Paris est plein de
 28    I,       5|         vous gêne horriblement, n’est-ce pas, monsieur, lui dit cette
 29    I,       5|        faire cadeau d’un louis, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! s’il en
 30    I,       5|           que vous allez faire, n’est-ce pas, sans même regarder
 31    I,       6|          le croire ?~ ~Oh ! que n’est-ce pas la vérité !~ ~Ce que
 32    I,       6|    voudrions bien, rentrer.~ ~ ~– Est-ce que vous n’avez pas appelé
 33    I,       6|    appeler mon officier.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela ? dit le jeune
 34    I,       6|                 Peut-être aussi n’est-ce que contre moi, ma sœur,
 35    I,       6|      petit cri d’épouvante.~ ~ ~– Est-ce ainsi que vous éloignez
 36    I,       6|      abandonne cet appartement, n’est-ce pas, Charles ?~ ~ ~– En
 37    I,       7|         Mme de Misery.~ ~ ~– Oui. Est-ce qu’on a dit hier à M. de
 38    I,       7|            Lequel, madame ?~ ~ ~– Est-ce que je suis ou ne suis plus
 39    I,       7|          allée à Paris. Eh bien ! est-ce que l’on ne revient pas
 40    I,       7|                Laurent !~ ~ ~– Qu’est-ce que Laurent ? demanda le
 41    I,       7|           ne m’en voulez point, n’est-ce pas ? Ne boudez plus : foi
 42    I,       7|      facilement, répondit le roi. Est-ce que, dans le château, par
 43    I,       7|         de votre qualité de mère. Est-ce d’une épouse, est-ce d’une
 44    I,       7|        mère. Est-ce d’une épouse, est-ce d’une reine, est-ce d’une
 45    I,       7|       épouse, est-ce d’une reine, est-ce d’une mère ce que vous avez
 46    I,       7|       occupe. La petite Valois, n’est-ce pas, une comtesse de… de…
 47    I,       7|                C’est bien cher, n’est-ce pas ? dit-elle tristement.~ ~ ~–
 48    I,       7|       quinze cent mille livres, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Eh ! je ne dis
 49    I,       8|      crois qu’il faut se hâter. N’est-ce pas, madame de Misery ?
 50    I,       8|          et Philippe aussi.~ ~ ~– Est-ce bien sûr ?~ ~ ~– J’en réponds.~ ~ ~–
 51    I,       8|         de Taverney, c’est dit, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Le comte d’Artois
 52    I,       8|            dit le comte d’Artois, est-ce un bien grand général que
 53    I,       9|       connu assez de ministres, n’est-ce pas, depuis quatorze ans
 54    I,       9|       point aller de cette façon. Est-ce que vous ne patinez pas,
 55    I,       9|       connaissez plus de rival, n’est-ce pas, monsieur de Taverney ?~ ~ ~–
 56    I,      10|   différence ?~ ~ ~– Pardieu ! qu’est-ce que la royauté, mon cher ?
 57    I,      10|           pas, à cela, peste ! Qu’est-ce que la reine ? une femme ;
 58    I,      10|       point parlé sérieusement, n’est-ce pas, mon père ? dit-il,
 59    I,      10|   pamphlétaires ?~ ~ ~– Oh ! oh ! est-ce que vous me prenez pour
 60    I,      10|           répondit le vieillard ; est-ce un crime d’aimer ? Cela
 61    I,      11|          comme nous avions dit, n’est-ce pas, madame…~ ~ ~ ~Marie-Antoinette,
 62    I,      12|       pour l’interroger :~ ~ ~– N’est-ce point cela, mademoiselle
 63    I,      12|         fois.~ ~ ~– C’est beau, n’est-ce pas ? acheva la reine ;
 64    I,      13|           allez donner à dîner, n’est-ce pas, maintenant que vous
 65    I,      13|         écrit ?… À tout le monde. Est-ce un homme, est-ce une femme
 66    I,      13|           monde. Est-ce un homme, est-ce une femme qui me répond ?…
 67    I,      14|      meuble bouton d’or, dit-il ; est-ce pour un an ?~ ~ ~– Non,
 68    I,      14|         dix heures sonnent.~ ~ ~– Est-ce oui ou non ?~ ~ ~– Où faut-il
 69    I,      15|         veut me faire l’aumône, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! madame !…~ ~–
 70    I,      15|           recevrai plus.~ ~ ~– Qu’est-ce à dire ?~ ~ ~– Monseigneur,
 71    I,      15|            Vous me pardonnerez, n’est-ce pas, dit-il, de vous adresser
 72    I,      15|      impératrice Marie-Thérèse, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Mais je crois
 73    I,      15|      cardinal.~ ~ ~– Sans doute ; est-ce qu’il n’y a pas, de par
 74    I,      16|          compte de l’éternité, qu’est-ce que cette distance d’un
 75    I,      18|       dit-il.~ ~ ~– Allons donc ! Est-ce qu’il n’y a pas les anagrammes,
 76    I,      18|         pièce, dans huit jours, n’est-ce pas ?~ ~ ~– J’y travaillerai
 77    I,      18|         pleurera jusqu’au sang, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! monsieur,
 78    I,      18|         avant de m’avoir entenduEst-ce qu’il y a quelqu’un de caché,
 79    I,      18|  véritable ébahissement.~ ~ ~– Qu’est-ce que vous faites toute la
 80    I,      18|        bien.~ ~ ~– Sans doute. Qu’est-ce que cela me fait, à moi,
 81    I,      19|    répondrez, monsieur ?~ ~ ~– Qu’est-ce que vous voulez que je vous
 82    I,      19|          Pardi ! oui, cette nuit. Est-ce qu’il n’y a pas bal à l’
 83    I,      21|           n’êtes pas accoutumé, n’est-ce pas, monseigneur, à voir
 84    I,      21|       dans votre petite maison, n’est-ce pas, monseigneur ? dit la
 85    I,      21|           croyez homme de goût, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, certes,
 86    I,      21|            Pas le moins du monde. Est-ce qu’il n’y a, pour faire
 87    I,      21|          ne danse pas non plus, n’est-ce pas ?…~ ~– Oh !… non.~ ~ ~–
 88    I,      23|           ce que ma tête tourne ? Est-ce que je ne suis pas ici pour
 89    I,      23|                 Eh ! pardieu ! qu’est-ce que je pense ? Est-ce que
 90    I,      23|          qu’est-ce que je pense ? Est-ce que vous, qui devinez les
 91    I,      23|        convienne à la dame.~ ~ ~– Est-ce pour longtemps que vous
 92    I,      23|         honnête que la vérité ; n’est-ce pas, mademoiselle Oliva ?~ ~ ~–
 93    I,      23|          une certaine académie, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Moi ?~ ~ ~–
 94    I,      23|    au-dessous du rez-de-chaussée, est-ce bien cela, cher monsieur
 95    I,      23|                Oh ! mon Dieu ! qu’est-ce que ce nom-là ? demanda-t-elle.
 96    I,      23|         demanda-t-elle. Nicole !… Est-ce de moi qu’il s’agit ? Voulez-vous,
 97    I,      23|         dix ans de cela ; aussi n’est-ce pas de ce temps que je vous
 98    I,      23|        moi, il y a deux heures, n’est-ce pas, car c’est bien vous ?~ ~ ~–
 99    I,      24|         allons nous rapprocher, n’est-ce pas ? Nous feindrons que
100    I,      24|     question :~ ~ ~– Monseigneur, est-ce que vous êtes amoureux de
101    I,      24|         vois pas grand intérêt, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! non, je
102    I,      26|                  Oui, monsieur, n’est-ce pas là votre affaire ?~ ~ ~–
103    I,      26|        livres, un ambassadeur… qu’est-ce cela ? »~ ~– En deux mots,
104    I,      29|            mon cousin le richard. Est-ce parce que je suis à une
105    I,      29|         la cerise ; c’est joli, n’est-ce pas ? Eh bien ! M. de Souza
106    I,      30|           consent-elle ?~ ~ ~– Qu’est-ce à dire ? demanda Beausire.~ ~ ~–
107    I,      30|        savez de quoi il s’agit, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Vous
108    I,      30|           le valet de chambre ; n’est-ce pas, monsieur le chevalier
109    I,      31|          coupables.~ ~ ~ ~Mais qu’est-ce qu’un morceau de gazette
110    I,      31|      dis-je, et demande au valetEst-ce un valet ?~ ~ ~– C’est un
111    I,      31|           guise avec cet homme, n’est-ce pas, monsieur de Taverney ?~ ~ ~–
112    I,      32|        temps pour la promenade, n’est-ce pas, monsieur de Taverney ?
113    I,      32|   vis-à-vis de moi. C’est cela, n’est-ce pas, chevalier ? Ce soir
114    I,      32|         pour plaire à la reine, n’est-ce pas, et, pour plaire plus
115    I,      33|        avoir une heure ou deux, n’est-ce pas, que vous vouliez venir
116    I,      33|   soudoyant le commissionnaire, n’est-ce pas ? Eh bien ! j’ai un
117    I,      33|     prononcé un nom…~ ~ ~– Oui, n’est-ce pas ? qui a éveillé un terrible
118    I,      33|        cette grotte des Açores, n’est-ce pas, quand vous l’avez assassiné ?~ ~ ~–
119    I,      33|         Oh ! monsieur, monsieur ; est-ce donc là ce que vous appelez
120    I,      33|          de gentilhomme, voyons ? Est-ce votre épée, qui vous a si
121    I,      33|         si mal servi contre moi ? Est-ce votre fusil, qui vous a
122    I,      33|           force de mon langage, n’est-ce pas, comme vous avez compris
123    I,      33|         monsieur, j’obtiendrai, n’est-ce pas, que vous détruisiez
124    I,      34|          pardonneras ma morale, n’est-ce pas, chevalier ? Pardonne-la-moi,
125    I,      34|   admirable.~ ~ ~– J’ai deviné, n’est-ce pas, et tu m’en veux ? Bah !
126    I,      35|       Mais cela n’est pas vrai, n’est-ce pas, mon frère ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~–
127    I,      35|           bruit prétend…~ ~ ~– Qu’est-ce que cela, le bruit ? Où
128    I,      35|           que cela, le bruit ? Où est-ce ? Qui est-ce ?~ ~ ~– Voilà
129    I,      35|           bruit ? Où est-ce ? Qui est-ce ?~ ~ ~– Voilà un trait profond,
130    I,      35|        Comment, sire ?~ ~ ~– Oui, est-ce que vous n’avez pas fait
131    I,      35|         de relire votre Horace. N’est-ce pas lui qui a dit ces belles
132    I,      35|       accusez de m’être trompé, n’est-ce pas, et non d’avoir eu mauvaise
133    I,      37|  appellent la salle aux crises. N’est-ce pas cela ?~ ~ ~– La salle
134    I,      37|         pas la reine de France, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Certes, non,
135    I,      37|         ne peut lui refuser cela. Est-ce que vous ne pensez pas,
136    I,      37|          une affaire d’Opéra ; qu’est-ce que cela ?~ ~ ~– J’implore
137    I,      37|       vous avez forgé ce conte, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Il regarda,
138    I,      38|          C’était samedi ce bal, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, ma sœur.~ ~ ~–
139    I,      38|         Samedi, dit-il, samedi, n’est-ce pas, messieurs ?~ ~ ~– Oui,
140    I,      38|         scène pour un million ; n’est-ce pas, messieurs ?~ ~ ~ ~Philippe
141    I,      38|          fit la reine sévèrement, est-ce que vous n’accompagnez pas
142    I,      38|         monsieur, regardez-vous ! Est-ce que les lames de l’Océan,
143    I,      38|          l’écume de leur colère ? Est-ce que leurs assauts ne vous
144    I,      38|        pont du navire, souvent, n’est-ce pas ? Eh bien ! regardez-vous,
145    I,      38|      honoré.~ ~ ~– Madame !~ ~ ~– Est-ce que les Anglais, continua
146    I,      38|        dangereuses pour la vie, n’est-ce pas ? Mais que vous importe,
147    I,      38|          c’est qu’une consigne, n’est-ce pas, Andrée ?~ ~ ~ ~Puis
148    I,      38|              Oh ! madame.~ ~ ~– N’est-ce pas, comtesse, n’est-ce
149    I,      38|           est-ce pas, comtesse, n’est-ce pas que j’ai raison, dit
150    I,      38|          puisque nul n’y songe. N’est-ce pas, Andrée, qu’il faut
151    I,      38|      jusqu’à ce qu’elle trouve. N’est-ce pas, madame ?~ ~ ~ ~Madame
152    I,      39|       exclamation d’Andrée.~ ~ ~– Est-ce que vous trouveriez cette
153    I,      39|         le lieutenant de police ? Est-ce que vous aimeriez mieux
154    I,      39|    était-elle bien faite ? Oui, n’est-ce pas ? Ce jour-là Votre Majesté
155    I,      39|           de Votre Majesté.~ ~ ~– Est-ce à dire que monsieur de Charny
156    I,      39|          dont je vous ai parlé, n’est-ce pas, monsieur. Adieu.~ ~ ~ ~
157    I,      40|    coûtait… un million et demi, n’est-ce pas, monsieur Bœhmer ?~ ~ ~–
158    I,      40|         on ne pourrait le dire, n’est-ce pas, Bœhmer ?~ ~ ~– Madame.~ ~ ~–
159    I,      42|               Vieille ou neuve, n’est-ce pas un véritable désespoir
160    I,      42|    Comment, après ?~ ~ ~– Oui, qu’est-ce que cela prouve ?~ ~ ~–
161    I,      42|           cherchait ; Bossange, n’est-ce pas son associé ?~ ~ ~–
162    I,      42|   échéances complétant une année. Est-ce dit ?~ ~ ~– Monseigneur,
163    I,      42|          monsieur le chancelier ? est-ce qu’avec un certain nombre
164    I,      43|     propriété de l’association, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Qui en doute ?~ ~ ~–
165    I,      43|           rassurés. C’est tout, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Et d’abord,
166    I,      43|     agissez pas en bon confrère ; est-ce que le seigneur don Manoël
167    I,      43|        répliqua Beausire.~ ~ ~– N’est-ce pas ? Tandis que là, dans
168    I,      45|    quelque chose, dites-le moi. N’est-ce pas à Beausire qu’on en
169    I,      47|       ainsi d’un air tout effaré, est-ce que vous n’avez point hier
170    I,      47|         sera d’assurer la vôtre ? Est-ce bien cela, et me suis-je
171   II,      48|                  Eh bien ! quoi ? Est-ce que je le calomnie ? N’est-ce
172   II,      48|     Est-ce que je le calomnie ? N’est-ce pas là sa réputation ? Ne
173   II,      48|            Oui-da ! pensa Jeanne, est-ce que les choses iraient mieux
174   II,      48|         que nous ne le croyions ? Est-ce que le dépit serait notre
175   II,      49|          air !…~ ~– Attristant, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Tuant.~ ~ ~–
176   II,      49|       plus que si vous donniez, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Mille fois.~ ~ ~–
177   II,      49|     million et demi à la reine, n’est-ce pas cela qu’il vous fallait ?~ ~ ~ ~
178   II,      50|       ouater leurs paroles.~ ~ ~– Est-ce bien dangereux, docteur ?
179   II,      51|               Comme Petit-Jean, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, mon cher
180   II,      51|       amour au lieu d’un fardeau, est-ce que tu n’emporterais pas
181   II,      52|      a-t-il ? s’écria le docteur, est-ce qu’elle s’est trouvée mal ?~ ~ ~–
182   II,      52|        une femme avant moi ici, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Et Andrée prononça
183   II,      52|    regarda avec inquiétude.~ ~ ~– Est-ce qu’elle s’est trouvée plus
184   II,      52|         je l’aime, c’est assez, n’est-ce pas ? Maintenant, me le
185   II,      53|    voulais vous leurrer.~ ~ ~– Qu’est-ce à dire, répliqua la reine
186   II,      53|      aurai perdu ce jeune homme ! Est-ce que je suis cause, moi,
187   II,      53|       Tuerguérirgrands mots ! Est-ce qu’on tue un homme avec
188   II,      53|           homme avec une dureté ? Est-ce qu’on guérit un pauvre fou
189   II,      53|          sûr de tuer le malade, n’est-ce pas ? fit la reine en frissonnant.~ ~ ~–
190   II,      55|          retournant tout à fait ; est-ce qu’il t’arrive malheur ?~ ~ ~–
191   II,      56|           abus soient réformés, n’est-ce pas s’exposer à l’opposition
192   II,      57|           s’écria le cardinal, qu’est-ce que je vois ?~ ~ ~– N’est-ce
193   II,      57|      est-ce que je vois ?~ ~ ~– N’est-ce pas, monseigneur, dit Cagliostro
194   II,      57|           un tel service…~ ~ ~– N’est-ce pas, monseigneur, interrompit
195   II,      58|       indiquais dans ma lettre, n’est-ce pas ? Votre éminence a hâte
196   II,      58|            c’était un prétexte, n’est-ce pas, à ce que je présume,
197   II,      58|      exigez, car vous l’exigez, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Hélas ! monseigneur.~ ~ ~–
198   II,      59|       fait une bonne promenade, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Excellente,
199   II,      59|          grand-faim. Je rentre. N’est-ce pas que j’ai bien gagné
200   II,      60|          C’est à ne pas croire, n’est-ce pas, comtesse ? Refuser,
201   II,      60|          Je suis bien éveillée, n’est-ce pas ? dit-elle. C’est bien
202   II,      62|            Jeune et joli.~ ~ ~– N’est-ce pas ?~ ~ ~– Plein d’imagination.~ ~ ~–
203   II,      62|     résisté si bien.~ ~ ~– Oh ! n’est-ce pas ? s’écria Oliva, enchantée
204   II,      62|           tout bien tout honneur, est-ce que ce n’était point un
205   II,      62|         Mais sans doute, ce soir. Est-ce que cela vous gêne ?~ ~ ~ ~
206   II,      64|        maison est impénétrable, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Impénétrable,
207   II,      64|         qui vient vous visiter, n’est-ce pas ? Cette clef, la garde-t-il
208   II,      67|         Jeanne tressaillit.~ ~ ~– Est-ce que vous n’avez pas quelque
209   II,      67|               Au fait, dit-il, qu’est-ce qu’une reine ? Une femme.
210   II,      67|            je vous ai vueTenezest-ce que je ne vous vois pas ?~ ~ ~ ~
211   II,      67|         reine, je sais, je sais ! Est-ce que déjà cette atroce calomnie
212   II,      67|         pas été jetée à la face ? Est-ce qu’on ne m’a pas vue au
213   II,      67|            scandalisant la cour ? Est-ce qu’on ne m’a pas vue chez
214   II,      68|    malheur ; il n’y en a point… n’est-ce pas ?~ ~ ~– J’appellerai
215   II,      68|         se promener dans un parc. Est-ce que cela n’est pas permis ?~ ~ ~–
216   II,      69|          en se prosternant.~ ~ ~– Est-ce ainsi que vous attendiez ?~ ~ ~–
217   II,      69|          de la rue, madame.~ ~ ~– Est-ce que je pouvais venir parla
218   II,      69|         reines. Oh ! monsieur, qu’est-ce qu’une reine, quand elle
219   II,      69|      régner même sur un cœur ? Qu’est-ce qu’une reine quand elle
220   II,      69|           vous me pardonneriez, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Vous ! s’écria
221   II,      69|      entendu… C’était bien moi, n’est-ce pas ? dit-elle d’une voix
222   II,      69|       fait tout cela à l’autre, n’est-ce pas ? moi qui ai dit la
223   II,      69|           même chose à l’autre, n’est-ce pas ? Si je vous dis : Monsieur
224   II,      71|    monseigneur ! des preuves ! Qu’est-ce que ce mot ? Des preuves !…
225   II,      71|           aime, comtesse.~ ~ ~– N’est-ce pas, fit-elle avec son fin
226   II,      71|           et dit à Jeanne :~ ~ ~– Est-ce bien ainsi ?~ ~ ~– Si elle
227   II,      71|        charmant cavalier.~ ~ ~– N’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! oui.~ ~ ~–
228   II,      71|       balbutia Nicole. En quoi… n’est-ce pas tout ?~ ~ ~– Il y a
229   II,      71|         abord parce qu’il ment, n’est-ce pas ? dit Jeanne.~ ~ ~–
230   II,      71|           aussi ?~ ~ ~– Parbleu ! Est-ce qu’il ne me dénoncera pas
231   II,      72|            Oliva ! dit cet homme, est-ce que ce n’est pas vous ?~ ~ ~ ~
232   II,      72|          bien lui qui a ouvert, n’est-ce pas, madame ?~ ~ ~– Je crois
233   II,      72|   impassible interlocuteur.~ ~ ~– Est-ce qu’on n’entre pas avec votre
234   II,      73|           de Sa Majesté.~ ~ ~– Qu’est-ce encore, Bœhmer, dit la reine
235   II,      73|           loin qu’elle l’aperçut, est-ce que vous voulez me parler
236   II,      73|           de soleil d’Espagne. Qu’est-ce que Votre Majesté me fait
237   II,      73|          dit sévèrement la reine. Est-ce que ce maudit collier est
238   II,      73|        Mais, s’écria la reine, qu’est-ce que ce chiffon ? Je n’ai
239   II,      73|          jamais écrit cela, moi ! Est-ce que c’est là mon écriture ?~ ~ ~–
240   II,      73|           France… Vous êtes fou ! Est-ce que je suis de France, moi ?
241   II,      73|          je suis de France, moi ? Est-ce que je ne suis pas archiduchesse
242   II,      73|        archiduchesse d’Autriche ? Est-ce qu’il n’est pas absurde
243   II,      74|       pour vous, cela me regarde. Est-ce que vous n’avez pas vu…
244   II,      74|        cardinal en les voyant, qu’est-ce que cette brutalité, messieurs
245   II,      74|         messieurs les joailliers, est-ce qu’on vous doit quelque
246   II,      74|          les deux associés.~ ~ ~– Est-ce que les scènes de là-bas
247   II,      74|           sommes volés !~ ~ ~– Qu’est-ce que cela me fait à moi,
248   II,      74|         la tête, messieurs.~ ~ ~– Est-ce vrai ? dit Bœhmer à Bossange,
249   II,      74|          signature de la reine, n’est-ce pas, monseigneur ?~ ~ ~–
250   II,      74|       Marie-Antoinette de FranceEst-ce que la reine n’est pas une
251   II,      74|       faits par quelqu’un ?~ ~ ~– Est-ce par moi ? dit monsieur de
252   II,      74|          donc, balbutia Bœhmer, n’est-ce pas, monseigneur ?~ ~ ~–
253   II,      75|              À qui ? à un juif, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Non, sire, pas
254   II,      75|         sire.~ ~ ~– Mon Dieu ! qu’est-ce qui passe là-bas dans la
255   II,      75|          là-bas dans la galerie ? Est-ce que ce n’est pas monsieur
256   II,      76|           je ne comprends jamais. Est-ce que vous l’avez compris,
257   II,      77|     colère et ne se présente pas. Est-ce cela ? Ai-je reconstruit
258   II,      77|        Est-il un scélérat ?~ ~ ~– Est-ce moi qui aurais jamais osé
259   II,      77|     soupir dans le boudoir.~ ~ ~– Est-ce moi, poursuivit monsieur
260   II,      77|                  Mon Dieu !~ ~ ~– Est-ce moi qui aurais osé voler
261   II,      77|                  Mon Dieu !~ ~ ~– Est-ce moi qui aurais osé vous
262   II,      77|                  Mon Dieu !~ ~ ~– Est-ce moi qui vous ai forcée de
263   II,      77|             assez ! assez !~ ~ ~– Est-ce moi, enfin, qui, dans mon
264   II,      78|           d’un certain collier, n’est-ce pas, monsieur, dit-il, vous
265   II,      78|           tête et pâlit.~ ~ ~– Qu’est-ce à dire ? fit le roi inquiet.~ ~ ~–
266   II,      78|         inquiéter bien du monde ; est-ce que je ne puis annoncer
267   II,      79|       chez vous cette agitation ? Est-ce que monsieur de Rohan ne
268   II,      79|        vous paraît pas coupable ? Est-ce que j’ai tort de frapper
269   II,      79|         mais, dit le roi surpris, est-ce qu’il y a encore une autre
270   II,      79|          roi.~ ~ ~– Sans doute !… Est-ce que tous les yeux ne s’attachent
271   II,      79|           ce que fait une reine ? Est-ce que ces yeux, que jamais
272   II,      80|         pas vous en préoccuper, n’est-ce pas ?… Le roi ! qu’est-ce
273   II,      80|         est-ce pas ?… Le roi ! qu’est-ce cela… un époux !~ ~ ~ ~Et
274   II,      80|          vous ne m’avez pas vu, n’est-ce pas, lorsque durant huit
275   II,      80|     ailleurs, que vous importe !… Est-ce que vous songerez à moi ?~ ~ ~ ~
276   II,      80|          l’ai bien laissé voir, n’est-ce pas ? Ce n’est plus de même
277   II,      81|       marier monsieur de Charny ? Est-ce qu’il n’est pas d’une bonne
278   II,      81|        pas d’une bonne noblesse ? Est-ce qu’il n’a pas une belle
279   II,      81|           pas une belle fortune ? Est-ce qu’il n’est pas brave et
280   II,      82|        monastère de Saint-Denis ? Est-ce de l’orgueil que je ressens ?
281   II,      82|           n’est pas ici pour moi. Est-ce du bonheur ? je n’aime plus
282   II,      83|          que nous donne la tombe. Est-ce que vous n’êtes pas de mon
283   II,      83|     bonheur des simples citoyens. Est-ce que je suis cette femme-là,
284   II,      83|          cette femme-là, Andrée ? Est-ce que sérieusement vous avez
285   II,      83|          pensa la reine inquiète, est-ce que j’échouerais ? »~ ~ ~
286   II,      83|          êtes retirée du monde, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, madame.~ ~ ~–
287   II,      83|             Eh bien ! mon Dieu !… Est-ce assez de souffrances pour
288   II,      84|           dit le jeune homme ; qu’est-ce qui est bien joué, je vous
289   II,      84|          De ton départ, pardieu ! Est-ce que tu te figures que j’
290   II,      84|       Taverney. Quelle demoiselle est-ce là ?~ ~ ~– C’est ma sœur !
291   II,      84|           le vieillardAndrée ?… est-ce possible ?~ ~ ~ ~Et Champagne
292   II,      85|           recula et rougit.~ ~ ~– Est-ce, continua Philippe, pour
293   II,      85|       cette femme qui vous aime ? Est-ce pour que vous voyant marié,
294   II,      85|        chancelant, atterré.~ ~ ~– Est-ce, ajouta Philippe, pour que,
295   II,      86|            vous aimez la reine, n’est-ce pas ?~ ~ ~– En doutez-vous,
296   II,      86|           ai-je à vous accorder ? Est-ce que vous occupez une charge
297   II,      86|        avez parlé d’un collier, n’est-ce pas ?~ ~ ~– D’un collier
298   II,      86|                 À moi ? Eh bien ! est-ce que ce n’est pas à moi que
299   II,      88|           bien bonne composition. Est-ce que par hasard ils auraient
300   II,      88|          votre femme ?~ ~ ~– Oui. Est-ce que nous ne sommes pas présentables ?
301   II,      88|          vaut deux cents louis, n’est-ce pas ? se hâta de dire Beausire.~ ~ ~ ~
302   II,      88|         aurez mille pas d’avance. Est-ce un bon procédé, hein ?~ ~ ~ ~
303   II,      89|      monsieur de Provence voie, n’est-ce pas, madame ?~ ~ ~– Oh !
304   II,      89|   fera-t-on à cette femme ?~ ~ ~– Est-ce bien à cette femme que l’
305   II,      89|        Elle m’en a bien payée ! n’est-ce pas ? Donc, elle habitait
306   II,      90|         Oliva ? demanda-t-il. Qui est-ce, Oliva ?~ ~ ~– Vous ne le
307   II,      90|           C’est étrange !~ ~ ~– N’est-ce pas ? Et je me fusse damné
308   II,      95|         devez déjà savoir cela, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Mais, oui, madame,
309   II,      95|           l’abbé ? reprit Jeanne. Est-ce que mon affaire ne se dessine
310   II,      95|       beaucoup à espérer.~ ~ ~– N’est-ce pas ? s’écria-t-elle.~ ~ ~–
311   II,      95|       réclusion dans l’in pace, n’est-ce pas ? Les tortures de la
312   II,      95|       rendu dans la nuit ? Non, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Je ne suppose
313   II,      96|         pour certains acteurs, qu’est-ce que les huées quand on pouvait
314   II,      96|       Patience, madame, patience. Est-ce là ce que vous avez promis ?~ ~ ~–
315   II,      97|          coupable que moi ?~ ~ ~« Est-ce à moi qu’on inflige la peine
316   II,      97|         défenseur lui-même.~ ~ ~– Est-ce que la reine aura intercédé
317   II,      97|          publication de l’arrêt ? Est-ce que ?…~ ~ ~Mais à quoi bon
318   II,      97|                 Et à la reine ! n’est-ce pas ? cria furieusement
319   II,      97|          dialogue suivant :~ ~ ~– Est-ce que c’est bien madame de
320   II,      97|          Vous êtes bien d’avis, n’est-ce pas, que ce n’est pas elle ?
321   II,      97|     courte et graisseuse ; non, n’est-ce pas, ce n’est point madame
322   II,      97|           le petit vilain homme ; est-ce que vous ne m’approuvez
323   II,      97|           dites.~ ~ ~– Alors, qui est-ce, voyons, quelle est la personne
324   II,      98|          le roi d’une voix forte, est-ce qu’on ne la marque pas aujourd
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