Tome,  Chap.

  1    I,    Pro1|              ans, je crois, que vous êtes à mon service ?~ ~ ~– Vingt-et-un
  2    I,    Pro1|       demande pardon, monsieur, vous êtes le roi des maîtres d’hôtel !~ ~ ~–
  3    I,    Pro1|           prince de Rohan que vous l’êtes à moi-même ?~ ~ ~– Eh bien !
  4    I,    Pro1|                  Savez-vous que vous êtes tout à fait lettré, monsieur ?~ ~ ~–
  5    I,    Pro1|       première ! Mon Dieu ! que vous êtes toujours belle et fraîche !~ ~ ~–
  6    I,    Pro2|              vois bien, dit-il, vous êtes incrédules : incrédulité
  7    I,    Pro2|             comte, pour le coup vous êtes sorcier.~ ~ ~– Eh ! non,
  8    I,    Pro2|              mille ans, comme vous l’êtes, vous paraissez quarante
  9    I,    Pro2|              Troie, c’est que vous n’êtes jamais mort.~ ~ ~– C’est
 10    I,    Pro2|               Mais cependant, vous n’êtes pas invulnérable comme Achille,
 11    I,    Pro2|           tourmentait. Si fait, vous êtes un seigneur puissant dans
 12    I,    Pro2|      supplice.~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Vous êtes étranger, monsieur, et,
 13    I,    Pro2|             qu’eux.~ ~ ~– Alors vous êtes plus raisonnable qu’eux,
 14    I,    Pro2|              rassurez-vous, car vous êtes le seul de nous tous qui
 15    I,       3|              la plus jeune, car vous êtes mariée, je crois ?~ ~ ~–
 16    I,       3|             pour vous, ma sœur, vous êtes plus délicate que moi.~ ~ ~–
 17    I,       3|         semble que, pour moi, vous n’êtes pas la première venue.~ ~ ~ ~
 18    I,       4|           plaît pas.~ ~ ~– Oh ! vous êtes défiante, vous, Andrée,
 19    I,       4|             complètement.~ ~ ~– Vous êtes étrangère, madame ? demanda
 20    I,       5|              un fiacre surtout. Vous êtes assez homme du monde pour
 21    I,       5|           acceptez mon bras ; vous n’êtes pas chez vous, et la place
 22    I,       5|          fond du cœur, et comme vous êtes un galant et loyal cavalier,
 23    I,       6|             bonsoir ma sœur ; vous n’êtes pas seule.~ ~ ~– Non, je
 24    I,       6|            porte fermée. Or, si vous êtes officier, comme vous le
 25    I,       6|                     On sait que vous êtes sortie ? demanda-t-il.~ ~ ~–
 26    I,       6|             rire.~ ~ ~– Allons, vous êtes un homme de précaution,
 27    I,       6|              dans le boudoir où vous êtes un sofa et une bergère sur
 28    I,       7|           sept heures.~ ~ ~– Et vous êtes sûre que la reine est dans
 29    I,       7|              est dans son lit ? Vous êtes sûre qu’elle dort ?~ ~ ~–
 30    I,       7|             écria la reine, que vous êtes bruyante, voilà que vous
 31    I,       7|             deux lignes :~ ~ ~« Vous êtes revenue hier de Paris et
 32    I,       7|              prétendez que vous vous êtes couchée.~ ~ ~– Sans doute,
 33    I,       7|          philosophe surtout. Et vous êtes philosophe, vous sire !
 34    I,       7|          amer, je sais bien que vous êtes un roi moral, sire ! Mais
 35    I,       7|        fiacre ! s’écria le roi. Vous êtes revenue en fiacre ?~ ~ ~–
 36    I,       7|               Vous, dit-elle, vous n’êtes pas bon pour moi. Je vous
 37    I,       7|               réellement, alors vous êtes bien aimable ; mais je ne
 38    I,       7|            pareil.~ ~ ~– Alors, vous êtes contente ? dit le roi.~ ~ ~–
 39    I,       7|            merci !… Antoinette, vous êtes une bonne femme.~ ~ ~ ~Et
 40    I,       8|              la divine Minerve, vous êtes trop sage.~ ~ ~– Moi, madame,
 41    I,       8|             Oh ! mon Dieu ! que vous êtes heureuse d’être fille, Andrée,
 42    I,       8|              de Taverney, que vous y êtes resté alors que tout le
 43    I,       8|            mal.~ ~ ~– D’accord. Vous êtes partisan des idées nouvelles,
 44    I,       8|         monsieur de Taverney, vous n’êtes pas un de ceux que la trompette
 45    I,       8|           service, mais vous ne vous êtes pas coulé sans cesse dans
 46    I,       8|             avez-vous, Andrée ? vous êtes rouge ; qu’avez vous, monsieur
 47    I,       8|             monsieur Philippe ? vous êtes pâle.~ ~ ~ ~La physionomie
 48    I,       8|              tasse de Philippe, vous êtes un soldat, avez-vous dit,
 49    I,       9|         depuis quatorze ans que vous êtes ou dauphine ou reine de
 50    I,      10|               La mienne est que vous êtes un niais, mon fils, et cela
 51    I,      10|         gaillard taillé comme vous l’êtes ; voyez, mais voyez donc
 52    I,      12|             monsieur de Charny, vous êtes un honnête homme, c’est
 53    I,      14|        chariot, tandis que vous, qui êtes soigneux, vous aurez la
 54    I,      15|           vous, madame, dit-il, vous êtes née Valois ?~ ~ ~– Valois,
 55    I,      15|             princesse.~ ~ ~– Et vous êtes princesse, dit-il avec une
 56    I,      15|           des passants.~ ~ ~– Vous n’êtes pas à bout de ressources,
 57    I,      15|            confiance, parce que vous êtes capable de comprendre un
 58    I,      15|              monseigneur.~ ~ ~– Vous êtes adorable. Eh bien ! il ne
 59    I,      18|            râpé.~ ~ ~– Pour vous qui êtes journaliste, dit-il, le
 60    I,      18|           avez d’esprit !~ ~ ~– Vous êtes bien bon. À propos, datez
 61    I,      18|          questionnant moi-même. Vous êtes Mlle Oliva ?~ ~ ~– Oui,
 62    I,      18|         continua l’inconnu, que vous êtes habituée à vous entendre
 63    I,      18|          vous entendre dire que vous êtes belle ; moi, je le pense ;
 64    I,      18|           moins possible.~ ~ ~– Vous êtes paresseuse.~ ~ ~– Oh !~ ~ ~–
 65    I,      18|              le Beausire.~ ~ ~– Vous êtes commode, monsieur.~ ~ ~–
 66    I,      19|                  Oh ! monsieur, vous êtes très brave ; mais M. Beausire
 67    I,      19|         occuper le temps.~ ~ ~– Vous êtes une charmante fille ; au
 68    I,      20|            avait laissée.~ ~ ~– Vous êtes, dit-il, une méchante créature ;
 69    I,      20|            vous, avec la vôtre, vous êtes forcée de pleurer quand
 70    I,      20|             Parce qu’à présent, vous êtes une vraie ménagère, vous
 71    I,      20|                 Je vous dis que vous êtes un misérable.~ ~ ~– Ma petite
 72    I,      20|             Laquelle ?~ ~ ~– Si vous êtes obéissant.~ ~ ~– Oh ! toujours,
 73    I,      20|         cours.~ ~ ~– Comment, vous n’êtes pas encore parti ?~ ~ ~–
 74    I,      21|     avez-vous, madame ?~ ~ ~– Vous n’êtes pas accoutumé, n’est-ce
 75    I,      21|              je me fâche ? Ah ! vous êtes d’humeur difficile, monseigneur,
 76    I,      21|              paraît.~ ~ ~– Oh ! vous êtes charmante quand vous riez,
 77    I,      21|            dit le cardinal, car vous êtes chez vous ; car vous êtes
 78    I,      21|            êtes chez vous ; car vous êtes au milieu de vos gens ;
 79    I,      21|        ingrate pour oublier que vous êtes ici chez vous, monseigneur.~ ~ ~–
 80    I,      21|           assure, comtesse, que vous êtes pour moi une énigme vivante.~ ~ ~–
 81    I,      21|       marchons.~ ~ ~– Comtesse, vous êtes une femme que j’adorerais…~ ~ ~ ~
 82    I,      21|              regarde, comtesse, vous êtes libre comme l’air, et je
 83    I,      21|               Oh ! monseigneur, vous êtes pour moi d’une bonté qui
 84    I,      23|              monsieur Beausire, vous êtes trop curieux : peut-être
 85    I,      23|         cette pauvre dame, vous vous êtes arrêté devant le son d’une
 86    I,      23|            vrais associés, dont vous êtes un, monsieur de Beausire.~ ~ ~–
 87    I,      23|         Beausire.~ ~ ~– Et dont vous êtes un autre, si toutefois…~ ~ ~–
 88    I,      23|                  Si toutefois vous n’êtes pas un mouchard.~ ~ ~– En
 89    I,      23|              avec douleur que vous n’êtes qu’un sot ; si j’étais de
 90    I,      23|       interrompit Nicole ; oh ! vous êtes bien instruit, monsieur,
 91    I,      23|       importe ! du moment que vous n’êtes pas lui.~ ~ ~– Et si c’eût
 92    I,      23|          aimée, toute belle que vous êtes.~ ~ ~– Voulez-vous dire
 93    I,      23|     Croyez-vous ?~ ~ ~– Oui, si vous êtes bien décidée à tout faire
 94    I,      23|            avec Beausire, que vous y êtes restée deux ans, que, de
 95    I,      23|           deux ans, que, de là, vous êtes passée dans l’Inde, sans
 96    I,      23|                     Soit ; mais vous êtes un homme singulier.~ ~ ~–
 97    I,      24|              Nous feindrons que vous êtes une Allemande ; vous n’ouvrirez
 98    I,      24|              à votre accent que vous êtes une Parisienne pure.~ ~ ~–
 99    I,      24|         Monseigneur, est-ce que vous êtes amoureux de la femme qui
100    I,      25|              ne craignez rien : vous êtes partie de votre maison,
101    I,      26|           mon idée, c’est bien. Vous êtes homme d’esprit, vous pouvez
102    I,      26|        devant l’intérêt public. Vous êtes le père de l’idée, je le
103    I,      27|            pour moi.~ ~ ~– Oui, vous êtes bien noté là-bas ; si bien
104    I,      27|              ma toilette.~ ~ ~– Vous êtes superbe, dit Beausire.~ ~ ~–
105    I,      27|                  Demeurez comme vous êtes, monsieur le chancelier,
106    I,      29|            sais, je sais.~ ~ ~– Vous êtes un homme précieux ; vous
107    I,      29|      embrasser.~ ~ ~– Ah ! ah ! vous êtes bien aimable, dit Ducorneau,
108    I,      29|                     Oh ! merci. Vous êtes donc attaché à l’ambassade ?~ ~ ~–
109    I,      29|           bien dit, Bœhmer, que vous êtes trop raide en affaires.~ ~ ~–
110    I,      29|      ambassadeur, bourgeois que vous êtes ? Non. Eh bien ! je vais
111    I,      29|            cela, dit Beausire ; vous êtes un marchand défiant ; vous
112    I,      30|            répliqua Beausire. Vous n’êtes pas encore tout à fait M.
113    I,      30|      portugais… Je vous dis que vous êtes fou.~ ~ ~– Point du tout.
114    I,      31|            que cela.~ ~ ~– Ah ! vous êtes bien patient, monsieur,
115    I,      31|            dit Charny, mais, vous en êtes convenu, cet homme est à
116    I,      31|  informations moins complètes ; vous êtes entré par la porte de tout
117    I,      32|           affaire pour laquelle vous êtes venu se termine selon vos
118    I,      32|       décidément, dit Philippe, vous êtes tout à fait fou, monsieur ;
119    I,      32|            pas à me prouver que vous êtes brave : vous me détestez
120    I,      32|  rencontrerez, chancelant comme vous êtes, vous tomberez et votre
121    I,      33|    charlatanisme, monsieur ; si vous êtes devin, je ne suis pas venu
122    I,      33|        science divinatoire ; si vous êtes devin, tant mieux pour vous,
123    I,      33|                Devinez, puisque vous êtes devin.~ ~ ~– Soit. Pour
124    I,      33|            sourire, que vous vous en êtes déjà occupé.~ ~ ~– C’est
125    I,      33|           édition.~ ~ ~– Ainsi, vous êtes sûr que les mille exemplaires
126    I,      33|             changer de posture, vous êtes, en vérité, dans une erreur
127    I,      33|             mon visage, puisque vous êtes gentilhomme, puisque vous
128    I,      33|           voix sinistre :~ ~ ~– Vous êtes en effet fort comme quatre
129    I,      33|           main, vous dis-je, ou vous êtes mort, continua Philippe.~ ~ ~–
130    I,      33|      continua Philippe.~ ~ ~– Vous n’êtes pas encore assez près de
131    I,      33|            la dernière fois, ou vous êtes mort, s’écria Philippe en
132    I,      33|             un mouvement ; vous vous êtes rendu maître de mes muscles,
133    I,      33|            le bien pour le mal. Vous êtes chrétien, monsieur de Taverney ?~ ~ ~–
134    I,      33|             sont-ils tous comme vous êtes, je serais à eux, et ils
135    I,      35|             eh bien ! monsieur, vous êtes de la famille, vous pouvez
136    I,      35|               c’est naturel ; vous n’êtes pas le roi, l’époux, l’ami
137    I,      36|             aisé de voir que vous en êtes aussi réjoui que moi, et
138    I,      37|         provinciale.~ ~ ~– Ah ! vous êtes la protégée de M. le prince
139    I,      37|            la comtesse. Puisque vous êtes si zélée pour lui… puisque
140    I,      37|         zélée pour lui… puisque vous êtes son amie…~ ~ ~– Oh ! madame,
141    I,      37|       superflu.~ ~ ~– Eh bien ! vous êtes injuste d’accuser la fortune,
142    I,      37|           nous a séparés.~ ~ ~– Vous êtes fou !~ ~ ~– J’étais sûr
143    I,      37|    Décidément, je suis folle ou vous êtes fou.~ ~ ~– Je vous répète
144    I,      38|            qui me dise que vous vous êtes trompé.~ ~ ~ ~Pendant ce
145    I,      38|            courtoisement.~ ~ ~– Vous êtes un bourreau de votre santé,
146    I,      38|              le comte d’Artois, vous êtes entourée d’amis dévoués ;
147    I,      38|           bien ! regardez-vous, vous êtes sain, vous êtes jeune, vous
148    I,      38|  regardez-vous, vous êtes sain, vous êtes jeune, vous êtes honoré.~ ~ ~–
149    I,      38|          sain, vous êtes jeune, vous êtes honoré.~ ~ ~– Madame !~ ~ ~–
150    I,      38|          vous importe, à vous ? Vous êtes sauf, vous êtes fort ; et
151    I,      38|          vous ? Vous êtes sauf, vous êtes fort ; et à cause de cette
152    I,      38|              répondre la reine, vous êtes je le sais, revenu sain
153    I,      38|          sauf de la tempête, vous en êtes sorti triomphant et aimé ;
154    I,      38|        légèrement piqué :~ ~ ~– Vous êtes libre, monsieur, dit-elle.~ ~ ~ ~
155    I,      39|          graves désordres, et vous n’êtes pas le premier instruit
156    I,      39|           madame de Lamballe, vous y êtes bien allée, je crois ; ma
157    I,      39|             vous ont vue. Quand vous êtes allée à l’Opéra…~ ~ ~ ~La
158    I,      40|         Voyez, voyez, comtesse, vous êtes femme, cela vous amusera,
159    I,      40|           pourquoi payer tard ? Vous êtes pressés. On vous paie sans
160    I,      41|           dit-il, c’est vous. Vous m’êtes devenue, en vérité, si nécessaire,
161    I,      41|            il se contint.~ ~ ~– Vous êtes réellement, dit-il, une
162    I,      41|              Non, en vérité, et vous êtes restée, dites-vous, trois
163    I,      41|    monseigneur, tout prince que vous êtes.~ ~ ~ ~Le prince se laissa
164    I,      41|            la comtesse, puisque vous êtes au port.~ ~
165    I,      42|   merveilleux.~ ~ ~– Alors, vous qui êtes vraiment femme, vous comprenez
166    I,      42|                   Vrai, dit-il, vous êtes sûre de ne pas vous tromper ;
167    I,      42|             ma faiblesse.~ ~ ~– Vous êtes une adorable femme, comtesse ;
168    I,      42|             force de l’esprit : vous êtes si peu femme en de certains
169    I,      42|              je m’en effraie. Vous l’êtes si adorablement dans d’autres,
170    I,      42|   monseigneur.~ ~ ~– Et puisque vous êtes un homme de secret, monsieur
171    I,      43|             un flegme étonnant, vous êtes un coquin à qui je couperais
172    I,      43|         cette démarche.~ ~ ~– Vous n’êtes pas un ambassadeur pour
173    I,      43|              d’argent ?~ ~ ~– Vous n’êtes pas sans comprendre qu’à
174    I,      43|         Allons, don Manoël, vous qui êtes robuste, saisissez-moi ce
175    I,      44|              qu’elle me dise : "Vous êtes une brute ; il fallait m’
176    I,      45|        allons chez vous ?~ ~ ~– Vous êtes folle, répliqua-t-il ; on
177    I,      45|             préférez l’hôpital, vous êtes libre.~ ~ ~– Allons, répliqua-t-elle
178    I,      47|           certaine chose ; vous vous êtes mis en mesure de satisfaire
179    I,      47|             Comtesse, en vérité vous êtes une énigme, un sphinx. Ah !
180    I,      47|            maîtresse charmante, vous êtes mieux que cela. Écoutez.~ ~ ~ ~
181    I,      47|          trompé ?~ ~ ~– Vous ne vous êtes pas trompé, monseigneur,
182    I,      47|             été agréable.~ ~ ~– Vous êtes une aimable femme, comtesse,
183   II,      48|           autre femme.~ ~ ~– Et vous êtes sûre que ce n’est pas pour
184   II,      49|          fournirez l’occasion ; vous êtes pour elle un caissier discret,
185   II,      49|           entraîné par sa joie, vous êtes l’amie la plus précieuse,
186   II,      50|     messieurs les gardes.~ ~ ~– Vous êtes une poule mouillée, si vous
187   II,      50|              lourd, c’est que vous n’êtes pas fort comme je l’avais
188   II,      51|       effrayez. Vous qui d’ordinaire êtes si rassurant, je ne sais
189   II,      52|             de ses nouvelles si vous êtes venue de sa part, et retournons
190   II,      52|         brûlantes, mon Dieu ! vous n’êtes pas injuste, vous n’êtes
191   II,      52|             êtes pas injuste, vous n’êtes pas insensé ; vous n’êtes
192   II,      52|            êtes pas insensé ; vous n’êtes pas cruel, mon Dieu ! Vous
193   II,      52|              vos forces, et que vous êtes un dieu de sombres colères,
194   II,      52|                Pardon, pardon ! vous êtes bien le Dieu de la clémence
195   II,      53|             En vérité, docteur, vous êtes surprenant avec vos façons.
196   II,      53|          docteur.~ ~ ~– Si vous n’en êtes pas cause en ce moment,
197   II,      53|         sourire ?~ ~ ~– Ah ! si vous êtes incrédule, vous aussi, dit
198   II,      53|             malade ?~ ~ ~–Vous, vous êtes bien sûr de tuer le malade,
199   II,      54|        voulez-vous choisir ? Ou vous êtes un insensé, et je vais vous
200   II,      54|            de faire le mal ; ou vous êtes un traître, et je vais vous
201   II,      54|              et de colère, si vous n’êtes pas le dernier des hommes,
202   II,      55|      Maintenant, Andrée, allez, vous êtes libre.~ ~ ~ ~Andrée fit
203   II,      55|             c’est trop encore ! Vous êtes assez coupable envers moi ;
204   II,      56|        argent ; comme financier vous êtes incomparable.~ ~ ~– Quelle
205   II,      57|        confesse, monsieur, mais vous êtes au-dessus de l’humanité,
206   II,      57| indispensable recette, vous qui vous êtes gardé vivant et jeune depuis
207   II,      57|              un savant. Vous, vous n’êtes plus un beau jeune homme,
208   II,      58|      quelquefois bien pis, vous n’en êtes probablement pas à apprendre
209   II,      59|           Vraiment, dit le roi, vous êtes plus intéressé pour nous
210   II,      61|                c’est différent, vous êtes très heureux, vous messieurs
211   II,      61|    sévèrement le prélat. Enfin, vous êtes bien garantis ?~ ~ ~– Autant
212   II,      62|         calmé un épagneul, si vous n’êtes pas bien chez moi, ne m’
213   II,      62|               mademoiselle, que vous êtes injuste, répondit Cagliostro
214   II,      62|            répondit Cagliostro, vous êtes d’une pénétration à laquelle
215   II,      62|            pas, ma bonne amie ; vous êtes déjà toute pâle, et vous
216   II,      62|          écria Oliva, voici que vous êtes dépité contre moi, et que
217   II,      62|         peut-être ?~ ~ ~– Moi ? vous êtes folle ? Pourquoi me gêneriez-vous ?
218   II,      62|       seigneur aussi beau que vous l’êtes, a le droit de s’irriter,
219   II,      62|             avez cru intéressé, vous êtes tombée en ma dépendance.
220   II,      64|             sur vous des vues ; vous êtes donc découverte ? Prenez
221   II,      64|            Ainsi, chère enfant, vous êtes prévenue, arrangez vos affaires
222   II,      64|            rien qu’à vous voir. Vous êtes donc prisonnière ? Savez-vous
223   II,      64|           tout ce qu’on veut. Vous n’êtes pas gardée à vue, puisque
224   II,      67|           être chassé, pourquoi vous êtes une reine indigne et une
225   II,      67|            lui prenant la main, vous êtes dans un état qui me fait
226   II,      67|            vue quand, avec lui, vous êtes entrée dans les bains d’
227   II,      67|            savez bien, vous qui vous êtes battu pour moi !~ ~ ~– Madame,
228   II,      68|       Savez-vous, dit-elle, que vous êtes un délicat amant, monseigneur,
229   II,      68|            le cardinal.~ ~ ~– Vous n’êtes pas un homme heureux, fit
230   II,      68|           heureux, fit Jeanne ; vous êtes un dieu triomphant.~ ~ ~–
231   II,      68|     amputation d’un membre ; si vous êtes au désespoir, monsieur de
232   II,      69|       soupçons.~ ~ ~– Au moins, vous êtes un honnête homme, vous,
233   II,      70|      Taverney désire me parler. Vous êtes de mauvais augure dans votre
234   II,      70|             Votre sœur et vous, vous êtes deux terribles gens, des
235   II,      70|            pas pour voyager, vous en êtes las, mais pour me quitter.
236   II,      70|              reine avec colère, vous êtes, vous, un quaker, elle,
237   II,      70|              vous déplaît ici ? Vous êtes ombrageux, dit-elle en attachant
238   II,      71|            Vous avez raison, et vous êtes une vraie femme, cœur et
239   II,      71|             compagne ; que vous, qui êtes courtisée par monsieur le
240   II,      71|          arrivera d’abord que vous n’êtes pas la reine, pas que je
241   II,      71|         désespoir, non, puisque vous êtes perdue vous-même.~ ~ ~–
242   II,      71|              dirais tout haut : Vous êtes un insensé d’avancer de
243   II,      71|             bas je lui dirais : Vous êtes un lâche !~ ~ ~– Je partirai
244   II,      72|                     J’oubliais… vous êtes armé, mon cher Réteau ?~ ~ ~–
245   II,      72|              déjà trouvé. »~ ~– Vous êtes un ami de Son Éminence monseigneur
246   II,      72|             intelligence.~ ~ ~« Vous êtes entrée avec une clef que
247   II,      73|      rafraîchir la mémoire, car vous êtes un homme bien oublieux,
248   II,      73|     Marie-Antoinette de France… Vous êtes fou ! Est-ce que je suis
249   II,      74|                 Messieurs, ou vous n’êtes pas fous, et alors on vous
250   II,      74|             dit le cardinal, ou vous êtes fous, et alors on vous mettra
251   II,      74|             Assurément, puisque vous êtes venu pour nous confirmer
252   II,      74|            mais ! s’écria-t-il, vous êtes des enfantsMarie-Antoinette
253   II,      74|             maison d’Autriche ? Vous êtes volés : l’écriture et la
254   II,      75|            Un vol ! fit le roi. Vous êtes garde des Sceaux, et les
255   II,      75|            garde des Sceaux ; vous l’êtes, parlez.~ ~ ~– Eh bien,
256   II,      76|         Calonne ; qu’alors vous vous êtes adressée à quelqu’un pour
257   II,      76|            se plaint pas.~ ~ ~– Vous êtes fou ! dit Marie-Antoinette
258   II,      76|           pas fou, madame, mais vous êtes malheureuse, vous êtes perdue.
259   II,      76|          vous êtes malheureuse, vous êtes perdue. Je vous ai vue,
260   II,      76|           dépouillez pour moi ! Vous êtes un bon et noble cœur, et
261   II,      76|                    Il pense que vous êtes sa maîtresse.~ ~ ~– Vous
262   II,      76|             sa maîtresse.~ ~ ~– Vous êtes dur, Olivier…~ ~ ~– Je parle
263   II,      76|       ménagez, je croirai que vous n’êtes pas un homme d’honneur.
264   II,      77|      comprendre, dit la reine ; vous êtes d’une obscurité impénétrable,
265   II,      77|              dit l’autre.~ ~ ~– Vous êtes un misérable, monsieur de
266   II,      77|              monsieur de Rohan, vous êtes un menteur !~ ~ ~– Moi !~ ~ ~–
267   II,      77|                     Moi !~ ~ ~– Vous êtes un lâche, vous calomniez
268   II,      77|                     Moi !~ ~ ~– Vous êtes un traître ; vous insultez
269   II,      77|           reine.~ ~ ~– Et vous, vous êtes une femme sans cœur, une
270   II,      77|            ces horreurs ; que vous n’êtes pas venu à Versailles la
271   II,      77|              le cardinal.~ ~ ~– Vous êtes mort si vous soutenez ce
272   II,      78|           payer vous avouez que vous êtes coupable.~ ~ ~– Qui le croira ?
273   II,      78|           reprit la reine, si vous n’êtes pas le dernier des hommes,
274   II,      78|               monsieur, puisque vous êtes innocent, dit la reine avec
275   II,      80|            Oh ! s’écria Charny, vous êtes la plus noble, la plus généreuse
276   II,      80|              suis une reine ; vous n’êtes pas un homme, mais un juge
277   II,      80|              à vous prouver que vous êtes un déloyal sujet pour le
278   II,      80|            Faible ! oh ! oui, vous l’êtes, et moi, hélas ! je ne suis
279   II,      80|          vous étiez autre que vous n’êtes.~ ~ ~– Quoi, dit-elle avec
280   II,      81|              dit-elle vivement, vous êtes, à ce qu’il me paraît, dans
281   II,      83|             tombe. Est-ce que vous n’êtes pas de mon avis, mademoiselle ?~ ~ ~–
282   II,      83|            la retraite que vous vous êtes choisie est un asile contre
283   II,      83|              en parlons pas, si vous êtes décidée comme vous venez
284   II,      83|                À quoi bon. Vous vous êtes retirée du monde, n’est-ce
285   II,      85|          bains d’Apollon, quand vous êtes sorti donnant le bras à
286   II,      86|             trouvée.~ ~ ~– Vous vous êtes enfuie, cependant ? Appelons
287   II,      86|             tremblante.~ ~ ~– Vous n’êtes pas au bout, dit brusquement
288   II,      88|      rafraîchit aussitôt.~ ~ ~– Vous êtes venus pour m’arrêter, moi ?
289   II,      89|            répliqua Cagliostro, vous êtes dans l’erreur, je n’ai jamais
290   II,      90|           Très bien ! monsieur, vous êtes encore plus devin que moi.
291   II,      90|           trop cher.~ ~ ~– Mais vous êtes l’ami de monsieur de Rohan ?~ ~ ~–
292   II,      92|              ce qu’il renferme. Vous êtes un homme obligé au secret
293   II,      92|            la tête du cardinal, vous êtes libre de dire : Soit ! Je
294   II,      93|             dans vos lits quand vous êtes irréprochables. »~ ~ ~Cagliostro
295   II,      93|            tout à l’heure, vous vous êtes écrié : Ils viendront ?
296   II,      96|              Madame…~ ~ ~– Si vous n’êtes pas un barbare, instruisez-moi,
297   II,      97|              de la salle.~ ~ ~– Vous êtes, madame, dit cet inconnu,
298   II,      97|          répliqua Jeanne.~ ~ ~– Vous êtes bien née à Fontette, le
299   II,      97|             les ténèbres.~ ~ ~– Vous êtes le greffier Breton, dit-elle
300   II,      97|           interlocuteurs.~ ~ ~– Vous êtes bien d’avis, n’est-ce pas,
301   II,      97|             paraît pas prouvée. Vous êtes plus médecin que moi et
302   II,      98|    gracieusement la main.~ ~ ~– Vous êtes belle aujourdhui, belle
303   II,      98|             pour m’annoncer que vous êtes mon ennemi ? dit alors Olivier
304   II,      98|           répliqua celui-ci ; vous n’êtes pas mon ennemi, puisque
305   II,      98|             mon ennemi, puisque vous êtes mon beau-frère.~ ~ ~ ~Olivier
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