Tome,  Chap.

  1    I,    Pro1|            bouteille de vin de deux mille livres.~ ~ ~– J’avais tort,
  2    I,    Pro2|          habile, trente ou quarante mille francs.~ ~ ~ ~Le diamant
  3    I,    Pro2|              âgé de trois ou quatre mille ans, comme vous l’êtes,
  4    I,    Pro2|       millions cent cinquante-trois mille six gouttes, si l’on veut
  5    I,    Pro2|          aux accidents depuis trois mille cinq cents ans, alors ?~ ~ ~–
  6    I,    Pro2|            d’une existence de trois mille années, et cela parce que
  7    I,    Pro2|             sert d’avoir vécu trois mille ans.~ ~ ~– Alors, dit en
  8    I,    Pro2|             point une mort, ce sont mille morts qu’il eût alors souffertes ;
  9    I,    Pro2|     souffertes ; car c’est souffrir mille morts que de marcher dans
 10    I,       1|            mois d’avril, trois cent mille malheureux, mourant de froid
 11    I,       1|       confié à ses soins, deux cent mille cordes de bois disponibles
 12    I,       1|     affecter une somme de deux cent mille livres à la location de
 13    I,       1|           Paris, au contraire, cent mille pas à l’heure déflorent
 14    I,       1|            dents de trois ou quatre mille mendiants suspects, changés
 15    I,       3|      Cinquante doubles louis ! deux mille quatre cents livres !~ ~ ~ ~
 16    I,       4|          étonnement.~ ~ ~ ~Aussitôt mille voix de répéter :~ ~ ~–
 17    I,       4|        monde parce qu’elles ont dix mille livres par mois pour payer
 18    I,       7|       estime ce collier quinze cent mille livres, n’est-ce pas ?~ ~ ~–
 19    I,       7|            jour qu’avec quinze cent mille livres on pouvait avoir
 20    I,       7|               voilà mes seize cents mille livres écornées.~ ~ ~– Seize
 21    I,       7|         écornées.~ ~ ~– Seize cents mille livres ? Voyez-vous ! Eh
 22    I,       7|             fantaisie de seize cent mille livres ; je puis bien vous
 23    I,      12|       croire pauvre avec seize cent mille livres de revenu.~ ~ ~ ~
 24    I,      14|       livres par mois valent quatre mille huit cents livres par an,
 25    I,      14|         grand aumônier, qu’il avait mille affaires inquiétantes et,
 26    I,      16|          une rente viagère de vingt mille livres et un traitement
 27    I,      16|             et un traitement de dix mille livres pour former trois
 28    I,      16|        refusé de vendre pour trente mille livres par an ; Deslon ouvrit
 29    I,      16|      capital de trois cent quarante mille livres, à la condition qu’
 30    I,      18|       petits pamphlets ?~ ~ ~– Deux mille.~ ~ ~– Rendez-moi donc un
 31    I,      18|         louis et faites tirer à six mille.~ ~ ~– Comment ! monsieur ;
 32    I,      18|            les habitants des trente mille maisons de Paris qui n’étaient
 33    I,      22|        veulent bien vous donner dix mille livres de rente et se faire
 34    I,      22|      spectacle gratuit ; et si deux mille cinq cents personnes entassées,
 35    I,      22|           une moyenne de trois cent mille livres, ne vous suffisent
 36    I,      22|             quatre pouces. Vos deux mille cinq cents braves pèseront
 37    I,      22|         braves pèseront quinze cent mille si vous les faites danser ;
 38    I,      22|            de Ponthieu devant trois mille plébéiens, qui applaudirent
 39    I,      23|     vient-on à l’Opéra ?~ ~ ~– Pour mille motifs.~ ~ ~– Oh ! oui,
 40    I,      23|           cadeau d’une part de cent mille livres au moins ; car si
 41    I,      25|       patience qui avait coûté cent mille livres à la manufacture
 42    I,      26|             pas plus de quinze cent mille livres.~ ~ ~– Ah ! s’il
 43    I,      26|            collier, les quinze cent mille livres, un ambassadeur…
 44    I,      26|       diamants qui vaut quinze cent mille livres. La reine a refusé.
 45    I,      26|           un collier de quinze cent mille livres, dit le banquier.
 46    I,      27|           de l’ex-ambassadeur, cent mille livres arrivaient ici.~ ~ ~–
 47    I,      27|          arrivaient ici.~ ~ ~– Cent mille livres ! s’écrièrent à la
 48    I,      27|         caisse renferme…~ ~ ~– Cent mille trois cent vingt-huit livres,
 49    I,      28|            intacte la somme de cent mille livres, pivot fondamental
 50    I,      29|            petite somme.~ ~ ~– Cent mille livres ! fit Ducorneau.
 51    I,      29|            riche. Il n’y a pas cent mille livres dans toutes les caisses
 52    I,      29|        Vérification faite, les cent mille livres apparurent en belles
 53    I,      29|            Beausire.~ ~ ~– Les cent mille livres ?~ ~ ~– Liquides,
 54    I,      29|          Souza et qu’on a neuf cent mille livres de revenu, mon cher
 55    I,      29|            cerises qui coûtait cent mille écus, mille livres la cerise ;
 56    I,      29|            coûtait cent mille écus, mille livres la cerise ; c’est
 57    I,      30|          collier ?~ ~ ~– Seize cent mille livres, dit Bœhmer.~ ~ ~ ~
 58    I,      30|       ambassadeur.~ ~ ~– C’est cent mille livres trop cher, répliqua
 59    I,      30|   connaissait comme moi.~ ~ ~– Cent mille livres trop cher, repartit
 60    I,      30|            avoir offert quinze cent mille livres du collier.~ ~ ~–
 61    I,      30|            à présent de quinze cent mille livres.~ ~ ~– Soit.~ ~ ~–
 62    I,      30|            à M. Bœhmer ?~ ~ ~– Cent mille livres, dit le Portugais.~ ~ ~–
 63    I,      30|            le Portugais.~ ~ ~– Cent mille livres, dit Beausire à Bœhmer,
 64    I,      30|            bonne pour quatorze cent mille livres.~ ~ ~– Monsieur…
 65    I,      30|         Bœhmer, chacun de cinq cent mille livres, et ce serait pour
 66    I,      30|             Vous recevriez vos cent mille livres comptant, vous signeriez
 67    I,      30|            côté, dit Beausire, cent mille livres comptant, trois traites
 68    I,      30|          trois traites de cinq cent mille livres mises dans vos mains.
 69    I,      30|           ambassadeur, une bague de mille pistoles pour mon secrétaire,
 70    I,      30|             qui possède quinze cent mille livres se croit au-dessus
 71    I,      30|        homme qui troque quinze cent mille livres contre des morceaux
 72    I,      30|             avis que vous avez cent mille fois raison.~ ~ ~– Dites
 73    I,      30|      garderait-elle pas quinze cent mille livres de diamants, elle
 74    I,      31|       enluminée, triomphante.~ ~ ~– Mille exemplaires, disait-elle,
 75    I,      31|           exemplaires, disait-elle, mille d’un coup ; voilà une commande.~ ~ ~–
 76    I,      31|            de ficeler et de charger mille numéros.~ ~ ~– Cours vite,
 77    I,      31|             feuilles imprimées. Les mille exemplaires furent chargés
 78    I,      31|            qui voulait bien prendre mille numéros d’un pamphlet prétendu
 79    I,      31|          dans la cour.~ ~ ~– Encore mille exemplaires, fit Aldegonde
 80    I,      31|            viens, dit-il, payer les mille exemplaires de la Gazette
 81    I,      31|        cents livres du monsieur aux mille exemplaires.~ ~ ~– Recevons-les
 82    I,      31|             qui vous a fait acheter mille exemplaires de cette diatribe,
 83    I,      31|         doit être entière, sauf les mille vendus à M. de Cagliostro.~ ~ ~–
 84    I,      32|             à quelque chose ?~ ~ ~– Mille grâces, monsieur, j’allais
 85    I,      32|       brûler à M. de Cagliostro les mille exemplaires qu’il a achetés
 86    I,      33|            Vous en avez même acheté mille exemplaires.~ ~ ~– Je ne
 87    I,      33|            ne le nie pas.~ ~ ~– Ces mille exemplaires, fort heureusement,
 88    I,      33|          singulière bibliomanie ces mille exemplaires, moi je détruisais
 89    I,      33|        Ainsi, vous êtes sûr que les mille exemplaires qui m’étaient
 90    I,      33|             chevalier pâlissant les mille exemplaires de la brochure
 91    I,      33|            me souvenir plus tard de mille choses que j’oublierais
 92    I,      33|             silence, comptez si les mille exemplaires sont bien là,
 93    I,      35|           cent, je vous le donne en mille…~ ~ ~– Mon frère, depuis
 94    I,      40|             de diamants quinze cent mille livres.~ ~ ~– Quinze cent
 95    I,      40|           livres.~ ~ ~– Quinze cent mille livres ! répéta comme un
 96    I,      40|     enthousiaste.~ ~ ~– Quinze cent mille livres qui tiendraient dans
 97    I,      40|         valent toujours quinze cent mille livres, malheureusement.~ ~ ~ ~
 98    I,      40|          ajouta :~ ~ ~– Quinze cent mille livres, madame, qui, à votre
 99    I,      40|              Donnez-moi quinze cent mille livres, comtesse, répliqua
100    I,      41|           ce chiffre de quinze cent mille livres, épanoui en diamants
101    I,      41|         Bossange.~ ~ ~ ~Quinze cent mille livres ! n’était-ce pas,
102    I,      41|           son ambition.~ ~ ~ ~Aussi mille idées vagues, ces fantômes
103    I,      41|           leurs moments de passion, mille envies, mille rages de posséder
104    I,      41|           de passion, mille envies, mille rages de posséder prirent
105    I,      42|         collier ?~ ~ ~– Quinze cent mille livres.~ ~ ~– Comment organisez-vous
106    I,      42|             raisonnable.~ ~ ~– Cent mille livres.~ ~ ~– On peut les
107    I,      42|             intérêts de quinze cent mille livres font, au denier cinq,
108    I,      42|        denier cinq, soixante-quinze mille livres, et le denier cinq
109    I,      42|            Ce serait cent cinquante mille livres, à votre compte ?~ ~ ~–
110    I,      42|        vendez le collier seize cent mille livres, monsieur Bœhmer,
111    I,      42|             paiement de quinze cent mille livres qui resteront en
112    I,      42|              nous perdons cinquante mille livres à ce marché.~ ~ ~–
113    I,      42|          toucher demain quinze cent mille livres, vous seriez embarrassé :
114    I,      42|           aise de toucher cinq cent mille livres chaque tiers d’année,
115    I,      42|      est-à-dire deux cent cinquante mille livres chacun.~ ~ ~– Monseigneur
116    I,      42|         nous perdons déjà deux cent mille livres d’intérêt. Jugez
117    I,      42|          Dès demain.~ ~ ~– Les cent mille livres ?~ ~ ~– Je les apporterai
118    I,      42|           là. Il y a donc cent huit mille livres dans la caisse, dites-vous ?~ ~ ~–
119    I,      42|            le secrétaire, cent huit mille livres.~ ~ ~– Et pas de
120    I,      43|           doit lui compter les cent mille livres.~ ~ ~– Je le sais
121    I,      43|         sais encore.~ ~ ~– Ces cent mille livres sont la propriété
122    I,      43|          dit Beausire, que les cent mille livres sont aux associés.~ ~ ~–
123    I,      43|           de conteste avec les cent mille livres, puisque les cent
124    I,      43|            livres, puisque les cent mille livres vont disparaître
125    I,      43|       Faut-il vous offrir cinquante mille livres ?~ ~ ~ ~Bœhmer fit
126    I,      43|           signe négatif.~ ~ ~– Cent mille, cent cinquante mille livres,
127    I,      43|          Cent mille, cent cinquante mille livres, continua Beausire,
128    I,      43|             sa part des quinze cent mille livres.~ ~ ~ ~Les joailliers,
129    I,      43|            Beausire.~ ~ ~– Sur cent mille livres, vol médiocre, nous
130    I,      43|            caisse, il y a cent huit mille livres.~ ~ ~– Cinquante-quatre
131    I,      43|                    Cinquante-quatre mille chacun.~ ~ ~– Eh bien !
132    I,      43|            nous avons les cent huit mille livres, puisque tous croient
133    I,      43|            vrai.~ ~ ~– Trente-trois mille trois cent trente-trois
134    I,      43|            y a une fraction de huit mille livres.~ ~ ~– C’est vrai,
135    I,      43|             y prendre les cent huit mille livres en billets, pour
136    I,      44|        front, s’assura que les cent mille livres étaient encore dans
137    I,      44|      ordinaires, s’il n’eût eu cent mille livres dans sa poche, il
138    I,      44|        gens-là palperaient les cent mille livres, en feraient des
139    I,      44|            Je fais prendre les cent mille livres. Je ne sers pas Oliva140    I,      44|             un propriétaire de cent mille livres ne s’arrête pas aux
141    I,      44|        était sûr enfin que les cent mille livres lui serviraient même
142   II,      48|           des Valois, riche de cent mille livres de rente, avoir un
143   II,      48|          quelques jours avant ; que mille fois, au moins, cela était
144   II,      48|         diamants.~ ~ ~– Quinze cent mille livres ?~ ~ ~– Seize cent
145   II,      48|           livres ?~ ~ ~– Seize cent mille livres.~ ~ ~– Et quelle
146   II,      48|                  Combien, deux cent mille livres ?~ ~ ~– Deux cent
147   II,      48|                 Deux cent cinquante mille livres.~ ~ ~– C’est le trimestre
148   II,      48|        renferme deux cent cinquante mille livres. Comptez-les.~ ~ ~ ~
149   II,      49|       donniez, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Mille fois.~ ~ ~– Je le pensais
150   II,      49|           le duché, la pairie, cent mille livres de rente, j’irai
151   II,      49|          avancé deux cent cinquante mille livres…~ ~ ~– Vous le lui
152   II,      49|            pour deux cent cinquante mille livres.~ ~ ~– Mais…~ ~ ~–
153   II,      49|         pour cent. Il me donna cent mille livres.~ ~ ~– Belle spéculation.~ ~ ~–
154   II,      49|       paquet de deux cent cinquante mille livres données par la reine,
155   II,      49|         reine, il glissa vingt-cinq mille livres dans la main de Jeanne.~ ~ ~–
156   II,      49|      faisait une somme de cinq cent mille livres.~ ~ ~ ~
157   II,      55|             désespoir ! Non ! non ! mille fois non !~ ~ ~ ~Et d’un
158   II,      56|        ministre et parla d’abord de mille choses qui n’étaient rien.~ ~ ~–
159   II,      56|           la reine.~ ~ ~– Cinq cent mille livres, dit-elle.~ ~ ~–
160   II,      57| réconciliation au prix de cinq cent mille livres.~ ~ ~– Soyez tranquille,
161   II,      57|             Vous avez les cinq cent mille livres, alors ?~ ~ ~– Je
162   II,      57|             à entamer les cinq cent mille livres.~ ~ ~– Oh ! ne craignez
163   II,      58|           qu’il s’agit de cinq cent mille livres, et que cinq cent
164   II,      58|            livres, et que cinq cent mille livres c’est une somme.~ ~ ~–
165   II,      58|           et heureuse des cinq cent mille livres, répondit à son tour
166   II,      58|         aviez.~ ~ ~– J’ai cinq cent mille livres, moi ! s’écria le
167   II,      58|           le cardinal.~ ~ ~– Trente mille livres en or, dix mille
168   II,      58|             mille livres en or, dix mille en argent, et le reste en
169   II,      58|           allez avoir vos cinq cent mille livres.~ ~ ~ ~Cagliostro
170   II,      58|         dit-il, voici vos cinq cent mille livres ; seulement, je vous
171   II,      58|          deux cent cinquante autres mille livres pour les intérêts,
172   II,      58|    Cagliostro, j’ai prêté cinq cent mille livres à monsieur de Rohan.
173   II,      58|             Rohan me doit cinq cent mille livres, et pas autre chose.
174   II,      58|             un arriéré de cinq cent mille livres.~ ~ ~ ~
175   II,      59|        total.~ ~ ~– Un million cent mille livres pour si peu ! Comment
176   II,      59|    remarquer que, sur les onze cent mille livres, un seul article
177   II,      59|       article est porté à cinq cent mille livres.~ ~ ~– Quel article,
178   II,      59|          écria Louis XVI… Cinq cent mille livres à la reine ! Eh !
179   II,      59|          est exact.~ ~ ~– Cinq cent mille livres à la reine ! répéta
180   II,      59|             gagné ce soir cinq cent mille livres : une jolie journée
181   II,      59|             vous ai gagné cinq cent mille livres.~ ~ ~« Calonne a
182   II,      59|           ai biffé. Voilà cinq cent mille livres de gagnées d’un revers
183   II,      60|          roi a refusé les cinq cent mille livres.~ ~ ~– À monsieur
184   II,      60|             j’accepte ses cinq cent mille livres jusqu’au prochain
185   II,      60|             a payé.~ ~ ~– Cinq cent mille livres ?~ ~ ~– Oui, madame.~ ~ ~–
186   II,      60|         réparable que les cinq cent mille livres étaient ce qu’on
187   II,      60|           donné deux cent cinquante mille livres d’arrhes.~ ~ ~– C’
188   II,      60|          encore deux cent cinquante mille livres que je gagne, comtesse ;
189   II,      60|        affaire. Deux cent cinquante mille livres de pot-de-vin, c’
190   II,      60|             mes deux cent cinquante mille livres ; et mes ennemis,
191   II,      60|       cardinal.~ ~ ~« Quatorze cent mille livres ! ajouta-t-elle dans
192   II,      60|             il n’aura quatorze cent mille livres ! »~ ~ ~Puis, tout
193   II,      60|        disant :~ ~ ~– Quatorze cent mille livres qui tiennent là-dedans,
194   II,      60|          collier vaut quatorze cent mille livres argent réel, et les
195   II,      60|             est vrai, quatorze cent mille livres, une somme qui ne
196   II,      61|             une somme de seize cent mille livres, les diamants n’ayant
197   II,      61|        somme de deux cent cinquante mille livres, versée en nos mains.~ ~ ~«
198   II,      61|        ordonnancement des cinq cent mille livres ; nous autres nous
199   II,      61|          Pour treize cent cinquante mille livres, monseigneur, dit
200   II,      61|           Dans trois mois cinq cent mille livres ; le reste dans le
201   II,      61|     pierreries, de vendre pour cent mille écus de diamants, et de
202   II,      61|         bonheurs à cinq ou six cent mille livres, après lesquelles
203   II,      61|           mon plan sept à huit cent mille livres », se dit la comtesse.~ ~ ~ ~
204   II,      65|       pensait à tout cela en rêvant mille folles tendresses, les deux
205   II,      68|           on puisse se voir, il y a mille endroits plus sûrs. La reine
206   II,      72|       premier paiement de cinq cent mille livres, Jeanne s’arrangeait
207   II,      73|       attendirent que les cinq cent mille livres leur arrivassent.~ ~ ~ ~
208   II,      73|            une rentrée de cinq cent mille livres, les associés préparèrent
209   II,      73|       échanger contre les cinq cent mille livres.~ ~ ~ ~La nuit se
210   II,      73|             vous laissant deux cent mille livres de pot-de-vin, cela
211   II,      74|            payé deux cent cinquante mille livres.~ ~ ~– C’est vrai,
212   II,      75|            y a deux mois, cinq cent mille livres par monsieur de Calonne,
213   II,      76|             collier vaut seize cent mille livres, vous en avez payé
214   II,      76|            payé deux cent cinquante mille. Voici un million et demi,
215   II,      77|       écoute ?~ ~ ~– Non, monsieur, mille fois non, il n’y a personne,
216   II,      81|          lui donnerai les cinq cent mille livres que je dus refuser
217   II,      86|             un acompte de deux cent mille livres, ajouta Jeanne.~ ~ ~–
218   II,      88|           notre ami. Une dizaine de mille livres, je crois.~ ~ ~–
219   II,      88|             demande, on n’a pas dix mille livres chez soi, à la campagne.~ ~ ~–
220   II,      88|        centsdit-il, quatre centsmille louis ! mais vous la laisserez
221   II,      88|             juste. Je donnerai deux mille louis, quarante-huit mille
222   II,      88|          mille louis, quarante-huit mille livres, votre fortune à
223   II,      88|          Beausire :~ ~ ~– Pour cent mille écus, dit l’un d’eux, nous
224   II,      88|            nous la paiera cinq cent mille livres, et la reine un million.~ ~ ~ ~
225   II,      88|  apercevrons que lorsque vous aurez mille pas d’avance. Est-ce un
226   II,      90|          des choses que je paierais mille livres le mot ! Quel bonheur
227   II,      90|             des rendez-vous ?~ ~ ~– Mille.~ ~ ~– Une seule, je vous
228   II,      96|           un dôme de feuillages que mille mains agitaient au-dessus
229   II,      97|      soudain avec les deux ou trois mille spectateurs que la curiosité
230   II,      97|            oui ! rugirent ces trois mille bouches.~ ~ ~– Au secours !
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