Tome,  Chap.

  1    I,      Av|                Meure la royauté, mais Dieu sauve le roi !~ ~ ~ ~Cette
  2    I,    Pro1|                    Il arrivera ce que Dieu voudra, dit-il ; mais monseigneur
  3    I,    Pro1|              de Rohan.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! à Strasbourg ?~ ~ ~– À
  4    I,    Pro1|                monseigneur.~ ~ ~– Bon Dieu ! monsieur, et si votre
  5    I,    Pro1|                vous la première ! Mon Dieu ! que vous êtes toujours
  6    I,    Pro2|             Condorcet.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! oui. C’est un calcul facile
  7    I,    Pro2|           était perdu.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! monsieur, dit La Pérouse,
  8    I,    Pro2|              monsieur le comte.~ ~ ~– Dieu m’en garde !~ ~ ~– Ainsi,
  9    I,    Pro2|              ce monde.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! monsieur de Cagliostro,
 10    I,    Pro2|            forcé tous ces soldats que Dieu a donnés à la nature humaine
 11    I,    Pro2|             est le seul bien réel que Dieu ait fait à l’homme sur la
 12    I,    Pro2|             attribué à l’influence du dieu qui le tourmentait. Si fait,
 13    I,    Pro2|               respectons le secret de Dieu.~ ~ ~– Oh ! oh ! monsieur
 14    I,    Pro2|           est-ce pas ?~ ~ ~– Eh ! mon Dieu, oui, dit Cagliostro, plaisanterie
 15    I,       1|           machiniste que l’on appelle Dieu.~ ~ ~ ~En effet, qui a chaud
 16    I,       1|             Pont-aux-Choux ? Ah ! mon Dieu ! mais nous sommes perdues !
 17    I,       3|               heure que je remerciais Dieu d’avoir appelé à lui mon
 18    I,       3|              mon père, je me plains à Dieu d’avoir laissé vivre ma
 19    I,       3|               arriva-t-il ?~ ~ ~– Mon Dieu ! madame, ce qu’espérait
 20    I,       3|            des deux visiteuses.~ ~ ~– Dieu eut pitié de moi. Un mois
 21    I,       3|             la mesure de nos besoins. Dieu commande à ses créatures
 22    I,       4|             allemand :~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! monsieur, j’ignorais cette
 23    I,       5|              sa poche.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! dit-elle tout bas à sa
 24    I,       5|               et que dira-t-on, grand Dieu !~ ~ ~ ~L’aînée des deux
 25    I,       6|              Saint-Louis.~ ~ ~– O mon Dieu ! onze heures trois quarts,
 26    I,       6|              C’est celle de…~ ~ ~ ~Ce dieu, par un beau stratagème,~ ~
 27    I,       6|            Artois, dit le lieutenant, Dieu m’est témoin que je donnerais
 28    I,       6|        veulent dire : « À la grâce de Dieu ! »~ ~ ~La porte se referma
 29    I,       7|               Mlle de Taverney, dont, Dieu merci ! la réputation est
 30    I,       7|                Une pension honorable, Dieu merci ! Comme vous y allez,
 31    I,       7|             Oh ! que c’est beau ! mon Dieu ! que c’est beau !~ ~ ~ ~
 32    I,       7|            premier sur vous ?~ ~ ~– À Dieu ne plaise que je vous refusasse
 33    I,       7|                Je n’ai plus d’argent, Dieu vous assiste ! »~ ~– Comment,
 34    I,       8|       étourneaux de la cour. Oh ! mon Dieu ! que vous êtes heureuse
 35    I,       9|               France ?~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! ma chère sœur, vous avez
 36    I,       9|    Marie-Antoinette, gardez, gardez ; Dieu merci ! je n’ai besoin de
 37    I,      10|               brusquement :~ ~ ~– Mon Dieu ! que c’est un grand malheur,
 38    I,      10|                  Faut-il en remercier Dieu ? dit-il.~ ~ ~– Monsieur,
 39    I,      10|           comme vous parleriez devant Dieu ?~ ~ ~– En vérité.~ ~ ~–
 40    I,      10|               En vérité.~ ~ ~– Devant Dieu de qui vous vous rapprochez
 41    I,      12|               signifiait : « Oh ! mon Dieu ! oui, madame ; c’est lui,
 42    I,      15|              esprit :~ ~ ~– Mais, mon Dieu ! s’écria-t-il, nous oublions…~ ~ ~–
 43    I,      15|             de femmes.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! qu’allez-vous me dire,
 44    I,      15|             votre protection.~ ~ ~– À Dieu ne plaise que je prononce
 45    I,      16|        Rousseau voulait bien soutenir Dieu ; mais depuis que Rousseau
 46    I,      16|            rêvant l’anéantissement de Dieu et l’anéantissement de la
 47    I,      17|             cette preuve évidente que Dieu fait les hommes sains ou
 48    I,      18|          ressemblance est effrayante. Dieu, qui l’a faite, avait ses
 49    I,      18|            vers la fenêtre.~ ~ ~– Bon Dieu ! s’écria-t-elle, sauvez-vous
 50    I,      19|              il me tuera.~ ~ ~– Grand Dieu ! c’est vrai ; nous aurions
 51    I,      21|         daignerait se souvenir que si Dieu m’a faite pauvre, il m’a
 52    I,      21|            elle, monsieur ?~ ~ ~– Mon Dieu ! non, dit le cardinal d’
 53    I,      21|         troisième.~ ~ ~– Lequel ? bon Dieu !~ ~ ~– Celui de mes caprices.~ ~ ~–
 54    I,      23|               prendre deux.~ ~ ~– Mon Dieu ! monsieur.~ ~ ~– Allons,
 55    I,      23|              surprise.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! qu’est-ce que ce nom-là ?
 56    I,      23|               vous vous aperçûtes que Dieu avait mis en vous un cœur
 57    I,      23|               comment savez-vous, mon Dieu ?~ ~ ~ ~Et elle s’arrêta
 58    I,      23|                      Pourquoi ? grand Dieu !~ ~ ~– Parce que, s’il
 59    I,      23|               et qu’il a disparu. Mon Dieu ! il se passe tant de choses
 60    I,      23|            mains crispées :~ ~ ~– Mon Dieu ! dit-elle, mon Dieu !~ ~ ~–
 61    I,      23|              Mon Dieu ! dit-elle, mon Dieu !~ ~ ~– Eh bien ! quoi ?~ ~ ~ ~
 62    I,      23|              ciel, c’est tout. Ce que Dieu nous donne ensuite, ce n’
 63    I,      23|               rien ne remplace, grand Dieu ! les trésors que cette
 64    I,      23|             pareil ridicule. Oh ! mon Dieu ! s’il est question de fidélité
 65    I,      23|               qui êtes-vous donc, mon Dieu ! pour savoir toutes ces
 66    I,      23|              ce que vous voudrez, mon Dieu ! Dites-moi les choses les
 67    I,      25|          maison ? dit-elle.~ ~ ~– Mon Dieu ! non, madame, il ne restera
 68    I,      26|                 mais, pour l’amour de Dieu ! soyez clair.~ ~ ~– À la
 69    I,      27|               garant solidaire.~ ~ ~– Dieu merci ! monseigneur n’en
 70    I,      29|           sont donc susceptibles, mon Dieu ! murmura Bœhmer, qui était
 71    I,      31|               reine.~ ~ ~– La reine ! Dieu soit loué, murmura la vieille ;
 72    I,      33|       apprendre le proverbe français, Dieu m’a fait homme et m’a dit
 73    I,      33|              la république ! Eh ! mon Dieu ! soyez donc franc, ou ce
 74    I,      33|              je vous dis : « Rendez à Dieu ce qui appartient à Dieu. »
 75    I,      33|              Dieu ce qui appartient à Dieu. » Républicain de l’Amérique !
 76    I,      34|               n’ai pas à me plaindre. Dieu m’avait donné deux enfants.
 77    I,      34|           embroché ! Oui.~ ~ ~– Grand Dieu !~ ~ ~– Voilà ma façon de
 78    I,      35|          méchanceté contre moi.~ ~ ~– Dieu m’est témoin que je ne rirais
 79    I,      35|             qui se fût communiquée au dieu Momus en personne.~ ~ ~ ~
 80    I,      36|          femme qui me fait l’effet du dieu des dénouements. »~ ~– Ma
 81    I,      37| Marie-Antoinette voyait un cœur là où Dieu n’avait placé qu’une éponge
 82    I,      37|                Le cavalier ! Oh ! mon Dieu ! mais vous me rendez folle.~ ~ ~–
 83    I,      37|              viens de dire.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! À quelle heure
 84    I,      37|            dire.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! À quelle heure m’avez-vous
 85    I,      37|         demande instamment.~ ~ ~– Mon Dieu ! murmura Andrée.~ ~ ~–
 86    I,      37|              que vous m’ayez vue. Par Dieu ! si j’ai des amis qui me
 87    I,      38|             des lunettes ; mais, vive Dieu ! je ne donnerais pas cette
 88    I,      38|         mortelle.~ ~ ~ ~«Et moi ! mon Dieu ! Et moi !»~ ~ ~Lorsqu’elle
 89    I,      38|            que de la mort !~ ~ ~– Mon Dieu ! madame, répliqua Charny,
 90    I,      39|            hauteur des fonctions d’un Dieu ; mais Votre Majesté, qui
 91    I,      39|            gentilhomme qui… Mais, mon Dieu ! madame, c’est bien inutile
 92    I,      40|          refroidis comme le soleil de Dieu, il n’est plus de souverain
 93    I,      42|          chère Jeanne.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu, je vous dirai ce que j’
 94    I,      46|            but de servir ma cause. Si Dieu y perd, Satan ne fera qu’
 95    I,      47|             sera jamais partagé. Oh ! Dieu me garde de le croire !~ ~ ~–
 96   II,      49|         devise de la reine.~ ~ ~– Mon Dieu !~ ~ ~ ~Jeanne fouilla tranquillement
 97   II,      50|               servant les desseins de Dieu, c’est-à-dire de l’humanité,
 98   II,      52|               docteur.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! qu’y a-t-il ? s’écria
 99   II,      52|        joignit les mains.~ ~ ~– Ô mon Dieu ! il est donc bien mal ?
100   II,      52|             défendant ; s’il l’a tué, Dieu le jugera.~ ~ ~– Elle n’
101   II,      52|          tapis de son lit :~ ~ ~– Mon Dieu ! s’écria-t-elle avec une
102   II,      52|              de larmes brûlantes, mon Dieu ! vous n’êtes pas injuste,
103   II,      52|            vous n’êtes pas cruel, mon Dieu ! Vous pouvez tout, vous
104   II,      52|             est aimé en ce monde. Mon Dieu ! nous autres, pauvres humains,
105   II,      52|               vous me refusiez, ô mon Dieu ! je dirais que vous avez
106   II,      52|           forces, et que vous êtes un dieu de sombres colères, de vengeances
107   II,      52|            pardon ! vous êtes bien le Dieu de la clémence et de la
108   II,      52|               et douleurs :~ ~ ~– Mon Dieu ! murmura-t-elle avec un
109   II,      53|         Chapitre LIII~ ~ Délire~ ~ ~ ~Dieu avait sans doute entendu
110   II,      53|              Réussir, et à quoi ? mon Dieu ! dit Andrée.~ ~ ~– À faire
111   II,      54|            envers… le roi ?~ ~ ~– Mon Dieu ! murmura l’infortuné.~ ~ ~–
112   II,      54|              le respect que j’ai pour Dieu, moins grand que le respect
113   II,      54|              reine, il lui sembla que Dieu avait trop donné à cette
114   II,      55|             et de rigidité.~ ~ ~– Mon Dieu ! qu’y a-t-il, Andrée ?
115   II,      55|    sympathique qui lui correspondait. Dieu m’avait donné en naissant,
116   II,      55|               à moi ; je les aimais ; Dieu nous a dit de nous aimer
117   II,      55|        éternelle !… Dans la solitude, Dieu parle au cœur de l’homme ;
118   II,      55|              l’homme parle au cœur de Dieu.~ ~ ~ ~Philippe arrêta Andrée
119   II,      55|           vous dites désespoir ! Ah ! Dieu merci ! je ne pars point
120   II,      56|             consoler, monsieur.~ ~ ~– Dieu soit loué ! madame ; n’ayons
121   II,      57|             honneur ! c’est trop peu. Dieu m’est témoin que j’eusse
122   II,      57|           mois, que d’événements, bon Dieu !~ ~ ~– C’est vrai ; mais
123   II,      57|             derrière lui.~ ~ ~– Grand Dieu ! s’écria le cardinal, qu’
124   II,      59|           vous verrez.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! sire, murmura le ministre,
125   II,      60|          arrivent qu’à moi.~ ~ ~– Mon Dieu ! murmura la comtesse.~ ~ ~–
126   II,      61|             soleil, et en présence de Dieu, avec le flambeau de Dieu,
127   II,      61|             Dieu, avec le flambeau de Dieu, elle chercha.~ ~ ~ ~
128   II,      62|            agents de police, était un dieu sauveur. C’était aussi un
129   II,      62|          écria Oliva épouvantée ; mon Dieu !~ ~ ~– Un joli vol, par
130   II,      65|              tête, mais quel mal, bon Dieu ! une douleur aiguë, incessante,
131   II,      67|              Très bien, madame, mais, Dieu merci ! moins bien que Votre
132   II,      67|             sur mon honneur ! sur mon Dieu ! c’était vous, madame ;
133   II,      67|           aussi par mon fils, par mon Dieu !… J’ai un Dieu comme vous,
134   II,      67|               par mon Dieu !… J’ai un Dieu comme vous, moi !… Non,
135   II,      67|              sur son sein !~ ~ ~– Mon Dieu ! dit-elle, envoyez-moi
136   II,      67|            celui-là me méprise, ô mon Dieu !~ ~ ~ ~Charny se sentit
137   II,      68|             fit Jeanne ; vous êtes un dieu triomphant.~ ~ ~– Je l’avoue,
138   II,      68|           viens dire de ne pas tenter Dieu encore une fois.~ ~ ~– Plaît-il ?
139   II,      68|               de désespoir.~ ~ ~– Bon Dieu ! est-il possible ! s’écria
140   II,      68|               m’abandonneriez ! Ô mon Dieu ! mais avec qui parlerai-je
141   II,      69|             gazon et des murs. Ce que Dieu donne aux uns, il le refuse
142   II,      69|               n’est pas pour rien que Dieu fait des heureux et des
143   II,      69|              vous m’aviez calomniée : Dieu ne le veut pas, je m’incline.~ ~ ~–
144   II,      69|           monde… et c’est vous !… Mon Dieu ! mon Dieu ! cela suffira-t-il
145   II,      69|            est vous !… Mon Dieu ! mon Dieu ! cela suffira-t-il pour
146   II,      69|                 Laissez-moi remercier Dieu, murmura-t-il. Oh ! si je
147   II,      69|               Oh ! si je ne pensais à Dieu, je penserais trop à vous.~ ~ ~ ~
148   II,      69|             homme le plus heureux que Dieu eût jamais béni, elle traversa
149   II,      70|              mettre son âme auprès de Dieu.~ ~ ~ ~Elle entendit la
150   II,      70|               Majesté.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! répliqua-t-elle en reprenant
151   II,      70|              partir, elle est partie. Dieu la fasse heureuse ! Vous !
152   II,      71|              preuves !~ ~ ~– Ah ! bon Dieu ! s’écria Jeanne, que dites-vous
153   II,      71|            fou, décidément.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! murmura Oliva.~ ~ ~–
154   II,      71|      décidément.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon Dieu ! murmura Oliva.~ ~ ~– Il
155   II,      71|             il soupçonnera.~ ~ ~– Mon Dieu ! vous avez raison.~ ~ ~–
156   II,      72|                   Que fait-elle ! mon Dieu ! que fait-elle, la petite
157   II,      74|                      À qui donc ? mon Dieu !~ ~ ~– La reine nie l’avoir
158   II,      75|           rare et merveilleuse.~ ~ ~« Dieu merci ! la reine peut dépenser
159   II,      75|                 qu’y a-t-il donc, mon Dieu ! s’écria le roi, trahissant
160   II,      75|               à un juif.~ ~ ~– Eh mon Dieu ! vous me dites cela d’un
161   II,      75|           Absolument, sire.~ ~ ~– Mon Dieu ! qu’est-ce qui passe là-bas
162   II,      76|               pensé à vous sans prier Dieu de me pardonner cette seule
163   II,      77|              de dire cela ?~ ~ ~– Mon Dieu ! madame, je me suis peut-être
164   II,      77|          offensez pas.~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! s’écria la reine en pâlissant,
165   II,      77|          reine en pâlissant, ah ! mon Dieu !… que dit cet homme ?~ ~ ~–
166   II,      77|                  Des espérances ! Mon Dieu ! suis-je une folle ? Est-il
167   II,      77|               de La Motte ?~ ~ ~– Mon Dieu !~ ~ ~– Est-ce moi qui aurais
168   II,      77|             la louveterie ?~ ~ ~– Mon Dieu !~ ~ ~– Est-ce moi qui aurais
169   II,      77|           sous mes baisers !…~ ~– Mon Dieu !~ ~ ~– Est-ce moi qui vous
170   II,      77|           vous blasphémez !~ ~ ~– Mon Dieu ! répliqua le cardinal en
171   II,      77|            vous récusez la justice de Dieu.~ ~ ~ ~Le cardinal s’inclina
172   II,      78|           sueur, et sembla demander à Dieu comment il avait pu former
173   II,      78|           agis ; c’est pour vous, mon Dieu ! qui commandez le pardon
174   II,      79|             suffi…~ ~ ~– Oh ! sire, à Dieu ne plaise que j’accuse la
175   II,      79|          soyez clair, pour l’amour de Dieu !~ ~ ~– Me critiquer dans
176   II,      79|              dit la reine ?~ ~ ~– Mon Dieu ! sire, rien et tout. Précisons
177   II,      79|             personnes.~ ~ ~– Eh ! mon Dieu ! quoi encore ? dit le roi
178   II,      80|      déshonneur inévitable.~ ~ ~– Mon Dieu !~ ~ ~– Devant moi se lève
179   II,      80|           carrière se perde. Moi qui, Dieu merci ! ai l’innocence et
180   II,      81|                encore ce secours, mon Dieu ! »~ ~ ~Tout à coup une
181   II,      81|       traversa son esprit.~ ~ ~– Ah ! Dieu lui-même m’envoie ce secours,
182   II,      81|            Celles qui appartiennent à Dieu ne lui peuvent être prises,
183   II,      81|            bien difficile d’enlever à Dieu son bien pour le donner
184   II,      81|           comme une pâle statue à qui Dieu, par un miracle, aurait
185   II,      81|              dans lequel il suppliait Dieu de lui laisser exhaler son
186   II,      82|       passionnées, qu’elle envoyait à Dieu pour soulager son âme.~ ~ ~ ~
187   II,      82|     religieuse, qui n’appartient ni à Dieu ni au monde ; tâche, du
188   II,      83|          mauvaises passions du monde. Dieu nous y apprend la douceur,
189   II,      83|                       Rien.~ ~ ~« Mon Dieu ! pensa la reine inquiète,
190   II,      83|          superflu de me faire parler. Dieu m’est témoin cependant que
191   II,      83|              revenir à la cour ?… mon Dieu !… Non ! non ! madame, jamais !…
192   II,      83|              est pas même acceptée de Dieu qui la trouve encore trop
193   II,      83|          départ :~ ~ ~« Eh bien ! mon Dieu !… Est-ce assez de souffrances
194   II,      83|              remercie, cependant, mon Dieu ! ajouta-t-elle, car vous
195   II,      84|           jubilation :~ ~ ~– Ah ! mon Dieu ! il part, il part…~ ~ ~ ~
196   II,      84|              les bains d’Apollon, mon Dieu ! mais c’est notre vie et
197   II,      85|         genoux de la reine.~ ~ ~– Mon Dieu !~ ~ ~– Et que la reine,
198   II,      85|               dut émouvoir le cœur de Dieu sur son trône éternel.~ ~ ~–
199   II,      86|           pour dire :~ ~ ~– Mais, mon Dieu ! madame, comme Votre Majesté
200   II,      86|              mon habitude, je prierai Dieu pour qu’il conserve l’honneur
201   II,      90|               conjure.~ ~ ~– Oh ! mon Dieu ! j’ai fini. Je la logeai
202   II,      90|       Soupçonné ! de quoi ?~ ~ ~– Bon Dieu ! vous écoutez donc patiemment
203   II,      93|               une promenade publique. Dieu le veuille ! Vous avez tout
204   II,      93|                de l’enfant.~ ~ ~– Mon Dieu !~ ~ ~ ~Et Beausire fut
205   II,      93|              après celui qui vient de Dieu, le baptême des larmes paternelles.~ ~ ~ ~
206   II,      93|            écria le prêtre.~ ~ ~– Que Dieu lui rende la liberté, dit
207   II,      93|         Beausire fut reçue avec des : Dieu vous garde ! sans mesure,
208   II,      93|               il ne fallait tenter ni Dieu ni la police, et gagna un
209   II,      95|        intermédiaire entre l’homme et Dieu, a passé par-dessus, il
210   II,      95|              tant de précautions, mon Dieu ?~ ~ ~– C’est l’ordre !
211   II,      95|      véritablement voulu servir ? Mon Dieu ! qui sait si déjà la nouvelle
212   II,      96|           compagnons d’infortune. Mon Dieu ! qu’il soit absous, monsieur
213   II,      97|            conspirations de plume, et Dieu, qui fait à chacun sa part
214   II,      97|           hommes, et qu’un caprice de Dieu allait de nouveau lancer
215   II,      98|               rien aux hommes, rien à Dieu.~ ~ ~ ~Quand le prêtre parlait,
216   II,      98|              pitié, toi qu’on appelle Dieu souverain, arbitre de toutes
217   II,      98|              péché ! Toi qu’on dit le Dieu de paix et d’amour, et à
218   II,      98|               ce monde et les lois de Dieu ne me regardent pas ! Sans
219   II,      98|      autrefois, pour votre faute, mon Dieu ! Et cet homme que j’adorais
220   II,      98|             voix étouffée :~ ~ ~– Mon Dieu, dit-il, à ceux qui font
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