Tome,  Chap.

  1    I,    Pro2|          et qui lui venait de son frère Ptolémée ; elle le portait
  2    I,       3|        Henri III, c’est-à-dire du frère de mon aïeul, car je suis
  3    I,       3|      amant, nous abandonnant, mon frère et moi.~ ~ ~– Vous restâtes
  4    I,       3|             elle nous adopta, mon frère et moi, plaça mon frère
  5    I,       3|           frère et moi, plaça mon frère dans un régiment, et me
  6    I,       6|               Laurent !~ ~ ~– Mon frère ! dit l’aînée des deux femmes
  7    I,       6|               Chut ! Bonsoir, mon frère.~ ~ ~– Bonsoir, madame ;
  8    I,       6|     a-t-il ordonné de chasser son frère comme un mendiant ou un
  9    I,       6|                Oh ! non, non, mon frère ; je vous remercie de tout
 10    I,       6|         peut pas, lui !~ ~ ~– Mon frère, vous savez quelque chose
 11    I,       6|     Provence, mon cher et indigne frère ! Donnez-moi le bras, ma
 12    I,       6|       croyais à Paris, ajouta mon frère.~ ~ ~– Non, elle est chez
 13    I,       6|    froncer. Il nous congédia, mon frère et moi, et sans doute, nous
 14    I,       6|           Je vous en supplie, mon frère, prenez garde.~ ~ ~ ~Le
 15    I,       6|          occuper d’une chose, mon frère ?~ ~ ~– De laquelle ?~ ~ ~–
 16    I,       6|       vous éloignez vos gens, mon frère ? demanda la reine ; j’eusse
 17    I,       6|         vous chassons, mon pauvre frère ?~ ~ ~– Il ne serait pas
 18    I,       6|               Merci. Bonsoir, mon frère.~ ~ ~– Bonsoir, ma sœur.~ ~ ~ ~
 19    I,       7|                  Reçu qui ? votre frère, M. de Provence ? fit la
 20    I,       7|                Justement oui, mon frère ; il a voulu vous saluer,
 21    I,       8|                   Oui, votre cher frère ; comment l’appelez-vous ?
 22    I,       8|       souriait au sien.~ ~ ~– Mon frère d’Artois, dit la reine,
 23    I,       8|              Très mal, merci, mon frère.~ ~ ~– Et la matinée ?~ ~ ~–
 24    I,       8|           avec respect, voici mon frère.~ ~ ~ ~Philippe salua gravement
 25    I,       8|                Regardez donc, mon frère, la belle mine et l’air
 26    I,       8|         sous la protection de son frère, et son frère sous la vôtre,
 27    I,       8|   protection de son frère, et son frère sous la vôtre, monsieur
 28    I,       8|          un de ces regards que le frère et la sœur avaient échangés ;
 29    I,       8|            faite à la sœur par le frère. Elle sourit au frère et
 30    I,       8|          le frère. Elle sourit au frère et caressa la sœur de ses
 31    I,       9|          à l’oreille, comme notre frère M. de Provence vous évite ?~ ~ ~ ~
 32    I,       9|           les paroles de son beau frère.~ ~ ~– Monsieur de Taverney,
 33    I,       9|          plus à l’aise.~ ~ ~– Mon frère, dit alors la reine, expliquez-moi,
 34    I,       9|          je vous prie, ce que mon frère gagne à ne point me faire
 35    I,       9|         beau projet de notre cher frère et beau frère ?~ ~ ~– Comment
 36    I,       9|          notre cher frère et beau frère ?~ ~ ~– Comment je le sais ?
 37    I,       9|      Merci de votre alliance, mon frère, mais le roi ?~ ~ ~– Eh
 38    I,       9|         toucherai.~ ~ ~– Oh ! mon frère ! s’écria Marie-Antoinette,
 39    I,      11|      parmi lesquels Andrée et son frère :~ ~ ~– Mais, dit-elle,
 40    I,      11|           pourquoi vous riez, mon frère.~ ~ ~– Vous ne voyez pas
 41    I,      12|     conversation.~ ~ ~– Soit, mon frère, continua la reine ; mais
 42    I,      12|         tout ce que souffrait son frère.~ ~ ~ ~La voix de M. le
 43    I,      12|       observateur.~ ~ ~– Ah ! mon frère de Provence, dit-il tout
 44    I,      12|  avez-vous manqué cela, vous, mon frère, l’homme exact par excellence ?~ ~ ~ ~
 45    I,      15|           le porte et que j’ai un frère baron de Valois.~ ~ ~– Reconnu ?~ ~ ~–
 46    I,      15|        reconnu, monseigneur ; mon frère peut être riche ou pauvre,
 47    I,      33|        partit.~ ~ ~– Je devais au frère, dit Cagliostro en le voyant
 48    I,      34|         rentrant, n’est-il pas le frère de sa sœur ! Et moi qui
 49    I,      35|             Puis-je pénétrer, mon frère, dit-elle.~ ~ ~« M. le comte
 50    I,      35|          trop respectueux pour un frère, trop familier pour un sujet.~ ~ ~–
 51    I,      35|           ne m’attendiez pas, mon frère ? dit-il.~ ~ ~– Non, ma
 52    I,      35|                 Ma foi ! oui, mon frère.~ ~ ~– Qui vous a diverti ?~ ~ ~–
 53    I,      35|         donne en mille…~ ~ ~– Mon frère, depuis que mon précepteur
 54    I,      35|         fait.~ ~ ~– Eh bien ! mon frère, dit le comte de Provence
 55    I,      35|           vrai, n’est-ce pas, mon frère ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~– Il n’
 56    I,      35|          bien ! figurez-vous, mon frère, que le bruit prétend…~ ~ ~–
 57    I,      35|       Voilà un trait profond, mon frère, très profond. En effet,
 58    I,      35|                Si fait, bien, mon frère ; j’en ai entendu parler,
 59    I,      35|           La peine du talion, mon frère. Au lieu de faire votre
 60    I,      35|         plus élégamment, vous mon frère, mais je crois que c’est
 61    I,      35|       donnée en père plutôt qu’en frère, attendit que le coupable
 62    I,      35|          pardon.~ ~ ~– Dites, mon frère.~ ~ ~– Vous m’accusez de
 63    I,      35|           grand et supérieur, mon frère.~ ~ ~– Eh bien ! sire, comment
 64    I,      35|                Permettez-moi, mon frère, dit le comte de Provence
 65    I,      35|          Je vous dois à vous, mon frère, dit Louis XVI en passant
 66    I,      35|                  Précisément, mon frère, c’est Mme la princesse
 67    I,      36|          monsieur de Crosne ? Mon frère, qu’en dites-vous ?~ ~ ~–
 68    I,      36|            oui, pardon.~ ~ ~– Mon frère veut vous dire, interrompit
 69    I,      36|           roi tourna le dos à son frère, vint baiser la main de
 70    I,      36|          en chuchotant.~ ~ ~– Mon frère, dit alors Louis XVI au
 71    I,      37|          en donnant la main à son frère, d’après la mode anglaise,
 72    I,      37|      pourraient vous le dire. Mon frère de Provence, par exemple.~ ~ ~–
 73    I,      37|           secret ! En vérité, mon frère, on voit que vous parlez
 74    I,      37|             non, crions cela, mon frère… Moi, dites-vous, j’étais
 75    I,      37|          m’avez pas comprise, mon frère, répéta la reine avec véhémence.
 76    I,      37|         Oh ! j’ai une preuve, mon frère. Samedi, j’étais couchée
 77    I,      37|    Taverney est-il là ?~ ~ ~– Mon frère ! dit Andrée.~ ~ ~– Il y
 78    I,      37|           fit la reine.~ ~ ~– Mon frère appelé en témoignage.~ ~ ~–
 79    I,      37|      ménagez rien, monsieur ; mon frère, que voilà, dit bien m’avoir
 80    I,      38|      beaucoup de monde.~ ~ ~– Mon frère, j’interrogerai le monde
 81    I,      38|               Ces messieurs ; mon frère, pardon ! monsieur le comte
 82    I,      38|         la nuit dehors.~ ~ ~– Mon frère !~ ~ ~– Sire, je vous baise
 83    I,      38|          Andrée, placée entre son frère et la reine, entre son amitié
 84    I,      38|           l’injure adressée à son frère, bien que ce frère fût pour
 85    I,      38|          à son frère, bien que ce frère fût pour elle une idolâtrie,
 86    I,      38|            après le renvoi de son frère.~ ~ ~ ~Elle s’assit au coin
 87    I,      38|      mordit les lèvres.~ ~ ~– Mon frère n’est point si incrédule
 88    I,      39|          dans les yeux.~ ~ ~– Mon frère ! murmura Andrée, qui se
 89    I,      39|           deviez savoir que votre frère s’est battu.~ ~ ~– Je l’
 90    I,      39|         de Taverney.~ ~ ~– Si mon frère s’est battu, dit la jeune
 91    I,      39|       parle à la reine que de mon frère, et non d’un autre.~ ~ ~ ~
 92   II,      52|          cette blessure c’est mon frère qui la lui a faite.~ ~ ~–
 93   II,      52|          lui a faite.~ ~ ~– Votre frère ! s’écria le docteur Louis ;
 94   II,      52|         je comprends, c’est votre frère qui vous a envoyée pour
 95   II,      52|     blessé.~ ~ ~– Oui ! c’est mon frère ! oui, docteur, s’écria
 96   II,      52|    connaître. Reportez-la à votre frère, et qu’il prenne ses arrangements
 97   II,      52|           conseillez à votre cher frère de se mettre à couvert pour
 98   II,      52|        femme spartiate.~ ~ ~– Mon frère, dit-elle, ne fuira pas ;
 99   II,      52|    Majesté défendra elle-même mon frère, si on l’accusait.~ ~ ~ ~
100   II,      55|          n’aviez vous pas hier un frère, un père, comme aujourd’
101   II,      55|     trouva Philippe au jardin. Le frère rêvait ; la sœur agissait.~ ~ ~ ~
102   II,      55| confidences. Je suis frappée, mon frère. Je crois que ma raison
103   II,      55|           ce sujet, mon bien-aimé frère. Je suis venue vous prier
104   II,      55|      heureuse. À la solitude, mon frère, à la solitude, ce vestibule
105   II,      55|           Vous ne croyez pas, mon frère, que mademoiselle de Taverney
106   II,      55|          répondit Philippe, et le frère et la sœur n’auront pas
107   II,      59|          et consternée.~ ~ ~– Mon frère, faites-moi chercher monsieur
108   II,      59|      murmura la reine. Adieu, mon frère.~ ~ ~– Recevez mes compliments
109   II,      75|         demandé de l’argent à son frère, à sa famille. Il y a de
110   II,      76|           madame, voyez en moi un frère… Vous avez besoin… d’argent
111   II,      79|           Breteuil ? dit-il à son frère.~ ~ ~– Oh ! sire…~ ~ ~–
112   II,      79|        vous de ne pas parler, mon frère, dit le roi d’un air piqué.~ ~ ~–
113   II,      79|          quoi cette nouvelle, mon frère, peut-elle causer chez vous
114   II,      79|               Tort ? non pas, mon frère. Vous n’avez pas tort. Ce
115   II,      79|       viens de voir la reine, mon frère, un mot d’elle a suffi…~ ~ ~–
116   II,      79|       vous ?~ ~ ~– En vérité, mon frère, on l’accuse donc bien souvent ?~ ~ ~–
117   II,      79|      collier.~ ~ ~– Pardieu ! mon frère, dit-il, rien de plus clair.
118   II,      79|           puis, vous ignorez, mon frère, que jamais une calomnie
119   II,      79|    déshonore.~ ~ ~– Oh ! oui, mon frère, oui, je le répète, vous
120   II,      79|           commencez toujours, mon frère, par des circuits dans lesquels
121   II,      79|       Cicéron m’a gâté.~ ~ ~– Mon frère, Cicéron n’est jamais louche
122   II,      79|         la nuit ?~ ~ ~– Mais, mon frère, vous dites là des choses
123   II,      79|         le lut et le rendit à son frère.~ ~ ~– Vous en verrez, sire,
124   II,      83|       avoir été froide pour votre frère, et lui-même m’accuse peut-être
125   II,      83|          caprice même ?~ ~ ~– Mon frère est un trop respectable
126   II,      85|       triste amant, ce malheureux frère.~ ~ ~– Bonté du ciel ! que
127   II,      85|             de bien heureux ! mon frère.~ ~ ~– Et tu reviens pour
128   II,      85|     redoublant ses caresses à son frère. Oh ! je sais bien ce qu’
129   II,      87|         qu’un prétendant comme le frère du roi, ou des rivaux d’
130   II,      98|            salua profondément son frère et rentra dans ses appartements.~ ~ ~ ~
131   II,      98|         Philippe de Taverney, son frère, qui lui donnait la main.~ ~ ~ ~
132   II,      98|    entendait pas ; la main de son frère lui donnait la force, le
133   II,      98|      au-devant d’Andrée et de son frère, les salua et se confondit
134   II,      98|       ouverte, alla retrouver son frère dans le salon voisin.~ ~ ~ ~
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