Tome,  Chap.

  1    I,       3|        Gardez ce tapis pour vous, ma sœur, vous êtes plus délicate
  2    I,       3|          armée ; la fille, ma pauvre sœur, fut abandonnée, la veille
  3    I,       6|         Bonsoir, madame ; bonsoir ma sœur ; vous n’êtes pas seule.~ ~ ~–
  4    I,       6|            est-ce que contre moi, ma sœur, que le roi a dirigé cette
  5    I,       6|         allez !~ ~ ~– Impossible, ma sœur, le roi a trop d’estime…~ ~ ~–
  6    I,       6|           ennemi près du roi, petite sœur ; c’est possible. Eh bien,
  7    I,       6|          loup. Venez avec moi, chère sœur.~ ~ ~– Où cela ?~ ~ ~– Vous
  8    I,       6|               Donnez-moi le bras, ma sœur ; prenez mon autre bras,
  9    I,       6| permettez-moi de vous le dire, chère sœur, le roi ne songeait pas
 10    I,       6|                Vous déplaît-elle, ma sœur ?~ ~ ~– Oh ! je ne dis pas
 11    I,       6|              ils me voient.~ ~ ~– Ma sœur, entrez toujours, et je
 12    I,       6|       crainte.~ ~ ~– Entrez donc, ma sœur, je vous en conjure, dit
 13    I,       6|       sonnette, soyez tranquille, ma sœur, personne ne viendra.~ ~ ~ ~
 14    I,       6|                    Maintenant, chère sœur, continua le prince, vous
 15    I,       6|            confiance.~ ~ ~– Rien, ma sœur, n’est plus simple que ce
 16    I,       6|              le poussait à mettre sa sœur dans une confidence indigne
 17    I,       6|        aurait pu prononcer.~ ~ ~– Ma sœur, ajouta alors le comte d’
 18    I,       6|          Sans doute, mais avouez, ma sœur, que si Mme la comtesse
 19    I,       6|           les autres nuits…~ ~ ~– Ma sœur, quiconque a tort une fois
 20    I,       6|            en rien besoin de moi, ma sœur ; une fois installée, disposez
 21    I,       6|             vous trouverez, vous, ma sœur, une collection de ces fruits
 22    I,       6|            le même toit que vous, ma sœur.~ ~ ~– Mais encore il vous
 23    I,       6|             frère.~ ~ ~– Bonsoir, ma sœur.~ ~ ~ ~Le prince salua,
 24    I,       8|            une main dans celle de sa sœur, l’autre arrondie autour
 25    I,       8|                  Philippe regarda sa sœur :~ ~ ~– Monseigneur, dit-il,
 26    I,       8|         dit-il, j’ai l’intérêt de ma sœur qui domine le mien ; ce
 27    I,       8|         liens très étroits, vous, ma sœur ? Oh ! contez-moi cela,
 28    I,       8|           regards que le frère et la sœur avaient échangés ; mais
 29    I,       8|              de ce genre, faite à la sœur par le frère. Elle sourit
 30    I,       8|        sourit au frère et caressa la sœur de ses plus aimables regards ;
 31    I,       8|           dans les antichambres ; ma sœur l’avait fait prévenir.~ ~ ~–
 32    I,       8|          façon, j’ai pu embrasser ma sœur.~ ~ ~– Il fait un temps
 33    I,       9|          Pour autre chose encore, ma sœur.~ ~ ~– Pourquoi donc ?~ ~ ~–
 34    I,       9|            de Suffren.~ ~ ~– Oh ! ma sœur, est-il bien possible que
 35    I,       9|           vouloir ; vous de même, ma sœur. Tout au contraire, pendant
 36    I,       9|           utile, et à vous aussi, ma sœur.~ ~ ~– Merci de votre alliance,
 37    I,       9|             Eh ! mon Dieu ! ma chère sœur, vous avez connu assez de
 38    I,       9|                Vous comprenez, chère sœur, voilà un homme qui me sera
 39    I,       9|         votre belle action.~ ~ ~– Ma sœur, dit le comte d’Artois d’
 40    I,       9|          réclamer ma promesse, chère sœur.~ ~ ~– Pourquoi cela ?~ ~ ~–
 41    I,       9|              secret d’État.~ ~ ~– Ma sœur, vous prenez froid, dit
 42    I,       9|          avez plus besoin de moi, ma sœur ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~– En ce
 43    I,       9|                     Au revoir, chère sœur.~ ~ ~– Quand ?~ ~ ~– Ce
 44    I,       9|             le jeune prince salua sa sœur avec cette charmante courtoisie
 45    I,      11|          reine et lui dit :~ ~ ~– Ma sœur, regardez bien autour de
 46    I,      11|      regardez pas qui nous avons, ma sœur, regardez qui nous manque.~ ~ ~–
 47    I,      11|                   Allons donc, chère sœur, répliqua le jeune prince
 48    I,      11|            moi. Faites votre jeu, ma sœur.~ ~ ~ ~Il y avait en ce
 49    I,      11|        partie et placé en face de sa sœur, absorbait par tous ses
 50    I,      15|            croire que Mme Elisabeth, sœur du roi, ait eu le cœur insensible.~ ~ ~–
 51    I,      33|  compensation pour ce qu’a enduré la sœur.~ ~ ~ ~Puis, haussant la
 52    I,      34|            est-il pas le frère de sa sœur ! Et moi qui le croyais
 53    I,      35|           sire, qu’on prétend que ma sœur a été au baquet de Mesmer.~ ~ ~–
 54    I,      36|     éclatante justification de votre sœur. Il est aisé de voir que
 55    I,      37|      reprenait faveur.~ ~ ~– Oui, ma sœur, et j’ai fait bonne chasse,
 56    I,      37|              a dit. En attendant, ma sœur, savez-vous que j’ai gagné
 57    I,      37|             de gazetier. Et vous, ma sœur ?~ ~ ~– Ah ! dit la reine,
 58    I,      37|                Du gazetier ! oui, ma sœur. Mais Votre Majesté en est
 59    I,      37|        affreux jeu de mots.~ ~ ~– Ma sœur, ne maltraitez pas un paladin
 60    I,      37|              de personne. Ah ! chère sœur, en avez-vous du vrai bonheur,
 61    I,      37|             fort bien, ma très chère sœur, 1° que Mme de Lamballe
 62    I,      37|         comtesse était là ?~ ~ ~– Ma sœur, quand M. le comte de Provence
 63    I,      37|      reconnue ; mais la violette, ma sœur, on en fait des bouquets
 64    I,      37|            dis le bal de l’Opéra, ma sœur.~ ~ ~– Je ne vous comprends
 65    I,      37|              implore votre pitié, ma sœur…~ ~ ~– J’insiste, comte,
 66    I,      37|             savoir.~ ~ ~– Et moi, ma sœur, pour me taire.~ ~ ~– Voulez-vous
 67    I,      37|              tout.~ ~ ~– Oh ! petite sœur, c’est vous qui m’intriguez…
 68    I,      37|   explication.~ ~ ~– Gare à vous, ma sœur !~ ~ ~– Je risque.~ ~ ~–
 69    I,      37|           cela si vous le voulez, ma sœur.~ ~ ~– Soyez sérieux, Charles.~ ~ ~–
 70    I,      37|                 Comme un poisson, ma sœur.~ ~ ~– Par grâce, dites-moi,
 71    I,      37|            Gobelins.~ ~ ~– Eh bien ! sœur, dit le prince à voix basse,
 72    I,      37|           est plus que téméraire, ma sœur » ; mais vous avez disparu,
 73    I,      37|            ai fondu ce canon, petite sœur, ne le tirez pas sur moi.~ ~ ~–
 74    I,      37|    voulez-vous qu’on l’interroge, ma sœur ?~ ~ ~– Je le demande instamment.~ ~ ~–
 75    I,      37|       Richelieu, en face de vous, ma sœur, au moment où votre masque
 76    I,      38|                     Prenez garde, ma sœur, dit le comte d’Artois bas
 77    I,      38|             femme si fière.~ ~ ~– Ma sœur ! ma sœur ! c’est trop,
 78    I,      38|            fière.~ ~ ~– Ma sœur ! ma sœur ! c’est trop, murmura le
 79    I,      38|             elle se releva.~ ~ ~– Ma sœur ! ma sœur ! pardonnez-moi,
 80    I,      38|           releva.~ ~ ~– Ma sœur ! ma sœur ! pardonnez-moi, dit tendrement
 81    I,      38|              n’en veux pas.~ ~ ~– Ma sœur !~ ~ ~– Pas de secret. Une
 82    I,      38|           est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, ma sœur.~ ~ ~– Eh bien ! qu’ai-je
 83    I,      39|             méprend aux traits de sa sœur, à plus forte raison se
 84   II,      55|         jardin. Le frère rêvait ; la sœur agissait.~ ~ ~ ~À l’aspect
 85   II,      55|              sombre mine, lui que sa sœur n’abordait jamais qu’avec
 86   II,      55|               dit-il, vous aussi, ma sœur ?~ ~ ~– Quoi ! moi aussi ?
 87   II,      55|              sont là.~ ~ ~– Cela, ma sœur, fit le jeune homme avec
 88   II,      55|                 Vous avez raison, ma sœur, et sans notre père…~ ~ ~–
 89   II,      55|            vous savez si je suis une sœur tendre ; mais ici-bas chacun
 90   II,      55|            et considéra longtemps sa sœur, sans autre expression que
 91   II,      55|             un incurable chagrin, ma sœur, dit Philippe avec la douce
 92   II,      55|          Philippe, et le frère et la sœur n’auront pas eu de dissemblance
 93   II,      59|          dilapidons les finances, ma sœur ! s’écria le prince. C’est
 94   II,      59|    compliments de condoléance, chère sœur ; me voilà averti, moi qui
 95   II,      63|                  Oliva crut voir une sœur de son âme dans la belle
 96   II,      70|         Philippe s’inclina.~ ~ ~– Ma sœur, madame, a déjà eu le regret
 97   II,      70|              que ces Taverney. Votre sœur et vous, vous êtes deux
 98   II,      70|          mais pour me quitter. Votre sœur était, disait-elle, appelée
 99   II,      79|           savez bien. Sa Majesté… ma sœur, n’a pas d’ami plus dévoué
100   II,      79|            respect pour la reine, ma sœur. Si vous procédez contre
101   II,      79|           une vérité qui justifie ma sœur. Pourquoi ne voudriez-vous
102   II,      80|        pensais. Votre âme n’est plus sœur de la mienne. Je vous le
103   II,      83|               en venant voir ici une sœur en Jésus-Christ, dois-je
104   II,      84|           est-ce là ?~ ~ ~– C’est ma sœur ! murmura Philippe, saisi
105   II,      84|      flambeau du suisse.~ ~ ~– Votre sœur ! répéta le vieillardAndrée ?…
106   II,      84|         Philippe, mademoiselle votre sœur est dans le boudoir auprès
107   II,      84|          vais au boudoir parier à ma sœur.~ ~ ~ ~Les deux hommes descendirent
108   II,      85|              boudoirattendait sa sœur. Il avait, une fois dans
109   II,      85|                     Plus bas, petite sœur, plus bas, dit Philippe ;
110   II,      85|              profiter en épousant sa sœur ? Ma foi ! c’est pas mal
111   II,      85|              osiez venir demander ma sœur en mariage ?~ ~ ~ ~Olivier
112   II,      85|           une raison de sacrifier ma sœur, monsieur, et je ne la laisserai
113   II,      85|            demander la main de votre sœur. Voilà pourquoi, monsieur,
114   II,      85|             si je n’épouse pas votre sœur, la reine est perdue. Comprenez-vous,
115   II,      85|              engagement au nom de ma sœur qui ne m’entend pas : elle
116   II,      98|               il serra la main de sa sœur, et celle-ci, comme une
117   II,      98|       Philippe, l’œil attaché sur sa sœur, qu’il voyait tressaillir
118   II,      98|             encore cette épreuve, ma sœur.~ ~ ~– Non, non, répondit
119   II,      98|       mourrez s’il le faut, ma chère sœur, dit le jeune homme, et
120   II,      98|          vous pouvez m’appeler votre sœur. Essayez, vous ne me verrez
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