Tome,  Chap.

 1    I,    Pro1|          pour un malheureux coup d’épée que M. Vatel se donna au
 2    I,    Pro1|            fois pires qu’un coup d’épée, et qui cependant ne sont
 3    I,    Pro2|         corde tant que j’aurai une épée.~ ~ ~– Je ne vous parle
 4    I,       5|        jeune homme en rangeant son épée dans le fiacre, de manière
 5    I,       6|     vacarme avec la poignée de son épée que le Suisse furieux lui
 6    I,      10|          frapper trois fois de mon épée, c’est moi, je vous le jure,
 7    I,      19|          comédie, et, pour tirer l’épée, décrivit avec ses bras
 8    I,      19|       sortir du fourreau la petite épée qu’il avait mise en verrou,
 9    I,      19|       tranquille qui avait enfin l’épée au poing sans s’être levé
10    I,      19|    Saint-Georges lui-même.~ ~ ~ ~L’épée de Beausire n’avait pu,
11    I,      19|         réfléchissait que si cette épée complaisante voulait s’allonger,
12    I,      19|        plus que sur le faible de l’épée de l’adversaire. Celui-ci
13    I,      19|            en tierce, lui enleva l’épée de la main, et la fit voler
14    I,      19|           comme une plume.~ ~ ~ ~L’épée fila par la chambre, traversa
15    I,      19|        prenez donc garde, si votre épée tombe par la pointe, et
16    I,      19|        attendait Oliva. Il avait l’épée au fourreau, il ruminait
17    I,      20|       légère que l’était naguère l’épée de l’inconnu.~ ~ ~ ~Cette
18    I,      20|          sinon je vous passe votre épée au travers du corps.~ ~ ~–
19    I,      20|          basque, derrière lequel l’épée se balançait insolemment,
20    I,      22|       toute la jeune robe, toute l’épée et toute la finance désorientées
21    I,      23|       dirait que vous cherchez une épée à votre côté.~ ~ ~– Certainement
22    I,      23|             vous avez laissé votre épée chez vous, et vous avez
23    I,      26|            autre sur la garde de l’épée. Il avait l’habitude, au
24    I,      26|           un domino, à défaut de l’épée, il se composa une mine
25    I,      26|            chercha la poignée de l’épée, mais ne trouva que son
26    I,      31|        gauche sur le pommeau d’une épée, et la main droite sur la
27    I,      31|      sentinelle, armée aussi d’une épée et d’une canne, il n’avait
28    I,      31|           Monsieur, si j’avais une épée, hurla le gazetier.~ ~ ~ ~
29    I,      31|     Philippe, dit-il, prêtez votre épée à ce coquin, je vous prie.~ ~ ~–
30    I,      31|        cela, je ne prête point une épée honnête à ce drôle ; voici
31    I,      31|            Alors, prêtez-moi votre épée, à moi, dit Charny en jetant
32    I,      31|     objection à faire. Il tira son épée du fourreau et la passa
33    I,      31|            Eh bien ! ramasse cette épée et prouve que tu es gentilhomme.~ ~ ~ ~
34    I,      31|           il avait aussi peur de l’épée qui était à ses pieds que
35    I,      31|         coups de canne aux coups d’épée, soit, il sera servi à sa
36    I,      31|         maintenant, rendez-moi mon épée qui vous a été inutile,
37    I,      31|          tout de suite d’un coup d’épée, et que ce soit fini.~ ~ ~–
38    I,      32|     laissez-moi donner les coups d’épée.~ ~ ~– Monsieur, répondit
39    I,      32|        Monsieur, dit Charny dont l’épée était encore au fourreau,
40    I,      32|           Le comte salua et tira l’épée à son tour.~ ~ ~– Monsieur,
41    I,      32|           armes, et, au lieu d’une épée, eût tenu un fleuret à la
42    I,      32|          Mais Philippe enveloppa l’épée de son adversaire dans un
43    I,      32|           de Taverney eût écarté l’épée de Charny de la ligne, Taverney
44    I,      32|             monsieur ; vous avez l’épée à la main, servez-vous de
45    I,      32|         main, servez-vous de votre épée pour autre chose que pour
46    I,      32|      rapide et se fendait.~ ~ ~ ~L’épée glissa le long des côtes
47    I,      32|     arrivant à la parade, il lia l’épée, et d’un vigoureux coup
48    I,      32|         Aussitôt il s’élança sur l’épée qu’il brisa d’un coup de
49    I,      32|           douleur inutile.~ ~ ~– L’épée n’a traversé que les chairs,
50    I,      33|        somme de me rendre raison l’épée à la main.~ ~ ~– Raison
51    I,      33|          me refusez satisfaction l’épée à la main ?~ ~ ~– Je ne
52    I,      33|           droit de vous dire : « L’épée à la main, comte, ou je
53    I,      33|           ne bougea point.~ ~ ~– L’épée à la main, vous dis-je,
54    I,      33|        fusil, cette fois, mais une épée.~ ~ ~– Monsieur, s’écria
55    I,      33|      facile de vous faire tomber l’épée des mains.~ ~ ~– Avec votre
56    I,      33|            mains.~ ~ ~– Avec votre épée ?~ ~ ~– Oui, d’abord avec
57    I,      33|              Oui, d’abord avec mon épée, si je voulais.~ ~ ~– Mais
58    I,      33|            moyen plus sûr.~ ~ ~– L’épée à la main ! pour la dernière
59    I,      33|            fois par la pointe de l’épée distante de trois pouces
60    I,      33|      chancela, laissa échapper son épée, tourna sur lui-même et,
61    I,      33|          le soutint, lui remit son épée au fourreau, l’assit sur
62    I,      33| gentilhomme, voyons ? Est-ce votre épée, qui vous a si mal servi
63    I,      33|     connaissez si bien, avec cette épée impuissante contre vous,
64    I,      34|             Et Philippe montra son épée à son père.~ ~ ~– Hein !
65    I,      35|          le bâton de Charny, que l’épée de Philippe, que le brasier
66    I,      38|   douloureuse que la blessure de l’épée.~ ~ ~ ~La reine se rapprocha
67    I,      39|       monsieur de Charny le coup d’épée qui l’a fait se trouver
68    I,      43|          est juste.~ ~ ~ ~Avec son épée, il fit sauter le verrou.~ ~ ~ ~
69   II,      51|            Mon ennemi a trempé son épée dans mon sang ; mais s’il
70   II,      61|        contre la reine ; c’est une épée à double tranchant qui blesse
71   II,      66|           Que fût-il devenu, si, l’épée à la main, contre cet homme,
72   II,      66|            explosible, il jeta son épée derrière une touffe de mauves
73   II,      66|           dans sa course aveugle l’épée qu’il avait jetée pour n’
74   II,      66|     dignité. Un homme qui sent une épée dans sa main ne peut plus,
75   II,      66|             que se percer de cette épée ou en percer qui l’offense ;
76   II,      69|            clair ; avez-vous votre épée ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Bien !…
77   II,      70|         main sur la poignée de son épée.~ ~ ~ ~Depuis les visites
78   II,      97|     attitude, par leurs crêpes à l’épée, par leurs pleureuses, je