Tome,  Chap.

 1    I,    Pro2|              vers l’épiderme tout le sang vieux et lent qui dormait
 2    I,    Pro2|            frais a remplacé dans mon sang, dans ma chair, dans mes
 3    I,    Pro2|        tranchant de l’acier, que son sang coule. La vie s’éteint,
 4    I,       1|           les chevaux : un prince du sang se menait à toute bride
 5    I,       3|           suis bien véritablement du sang des Valois, comme on vous
 6    I,       6|           infâme ! Tenez, Andrée, le sang me monte au visage et me
 7    I,       6|            que je donnerais tout mon sang pour Votre Altesse Royale ;
 8    I,       7|       accompagner d’une princesse du sang.~ ~ ~ ~La reine réfléchit.~ ~ ~–
 9    I,      10|            homme-là n’est pas de mon sang, cet homme-là n’est pas
10    I,      10|              Je ne suis pas de votre sang, murmura Philippe.~ ~ ~ ~
11    I,      11|          reine, que des princes d’un sang royal mettaient à jouir
12    I,      11|               tout ce qu’il avait de sang français en lui se révolta.
13    I,      17|             le reflux plus rapide du sang.~ ~ ~ ~Alors, parmi les
14    I,      18|                Qui pleurera jusqu’au sang, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh !
15    I,      21|             transmise par la voie du sang, et multipliée par une étude
16    I,      31|             doute par l’agitation du sang, lui parut un Hercule, et
17    I,      32|              en sentant bouillir son sang, du calme de son adversaire ;
18    I,      32|                 Mais Charny avait le sang trop enflammé pour comprendre
19    I,      32|            mouchoir pour étancher le sang.~ ~ ~– Volontiers.~ ~ ~ ~
20    I,      34|        Vaudreuil et autres.~ ~ ~ ~Le sang monta violemment aux tempes
21    I,      34|               vois-tu, c’est dans le sang des Taverney. Continue,
22    I,      36|           ambition, c’est la voix du sang. Si vous n’avez que cela
23    I,      38|              se redressa soudain. Le sang afflua à ses tempes et à
24    I,      46|              tiré tant de gouttes de sang du cœur des autres, Cagliostro
25   II,      50|        lèvres sont trop fraîches, le sang est trop vermeil : cette
26   II,      50|         blessure m’a fait voir votre sang, sang précieux d’un brave
27   II,      50|              a fait voir votre sang, sang précieux d’un brave gentilhomme.~ ~ ~–
28   II,      50|           Monsieur de Suffren vit du sang.~ ~ ~– C’est bon, c’est
29   II,      50|        éternelle qui fleurit dans le sang de l’homme, et servant les
30   II,      50|            un cercle terrible que le sang furieux vient jeter comme
31   II,      51|             le secret de ma vie. Mon sang a beau couler, Marie, de
32   II,      51|             trempé son épée dans mon sang ; mais s’il a un peu de
33   II,      53|              se rouvrit, et avec son sang sa raison se mit à s’enfuir.
34   II,      54|               de vouloir retenir son sang, pour que le sang ne coulât
35   II,      54|        retenir son sang, pour que le sang ne coulât pas et ne réjouît
36   II,      57|        science. Et cette jeunesse au sang impérieux, ces passions,
37   II,      65|        présence de quelque prince du sang, et s’appuya contre l’arbre
38   II,      66|         coulent de mes yeux, mais le sang qui coule à flots de mon
39   II,      67|             l’étouffer peut-être, le sang afflua comme un torrent
40   II,      67|            sur vos joues, tout votre sang afflue au cœur Vous souffrez,
41   II,      69|              a dans le cœur, avec le sang des impératrices, le feu
42   II,      76|              la guerre, je suis d’un sang qui ne s’effraie pas, moi !
43   II,      78|               ce qui fit bouillir le sang de la fière princesse. Il
44   II,      80|        fondre sur vous pour boire le sang comme font les mouches sur
45   II,      80|             et qui lui offre tout le sang de son cœur en échange d’
46   II,      81|            il faut être princesse du sang ou mariée ; je ne vois que
47   II,      83|           elles possèdent l’or et le sang de leurs peuples ; mais
48   II,      86|          coupable, après laquelle le sang aurait pris l’habitude de
49   II,      86|           blessée, mais retenant son sang comme les chats-tigres piqués
50   II,      89| Marie-Antoinette elle-même, moins le sang des Césars, que remplaçait
51   II,      91|             tomber dans la fange, le sang et l’horreur.~ ~ ~ ~Quand
52   II,      91|              et eût répandu tout son sang aux pieds de Marie-Antoinette,
53   II,      93|             qui ne reniera point son sang. Écrivez, je vous prie,
54   II,      93|            mais je l’écrirais de mon sang !~ ~ ~ ~Et il saisit la
55   II,      94|          allécha plusieurs, comme le sang que l’on fait goûter au
56   II,      95|              cette furie ; on vit le sang couler sur son front par
57   II,      97|          certains endroits, taché de sang et d’huile à d’autres.~ ~ ~ ~
58   II,      97|            Savez-vous que je suis du sang de vos rois ? Savez-vous
59   II,      98|            Charny parlait, eût vu le sang se retirer, comme un niveau
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