Tome,  Chap.

 1    I,    Pro2   |     monsieur avait voulu donner sa fille, Mlle Andrée, au roi Louis
 2    I,       1   |        pair, un gentilhomme et une fille d’Opéra, au grand trot ;
 3    I,       3   |           disant cela, je parle en fille pieuse. Car mon père, en
 4    I,       3   |        avait encore un fils et une fille. Le fils, malheureux comme
 5    I,       3   |     derniers rangs de l’armée ; la fille, ma pauvre sœur, fut abandonnée,
 6    I,       3   |         tous mes malheurs de jeune fille, comme c’est à ma mère que
 7    I,       7   |           de la première venue, la fille de Marie-Thérèse, votre
 8    I,       8   |          vous êtes heureuse d’être fille, Andrée, et surtout de vous
 9    I,       8   |    épidémique des Français pour la fille de Marie-Thérèse ?~ ~ ~ ~
10    I,       8   |           de cette beauté de jeune fille devenue femme et reine.~ ~ ~ ~
11    I,      15   | solliciteuse, et la reine amène la fille chez elle. En vérité, il
12    I,      16   |         oculiste Wenzel, une jeune fille de dix-sept ans atteinte
13    I,      16   |         les nerfs ? à quelle jeune fille avait-il fait prévoir l’
14    I,      19   |            Vous êtes une charmante fille ; au revoir.~ ~ ~– Au revoir !
15    I,      21   |           Qu’entre les mains d’une fille…~ ~ ~– La reine ! s’écria
16    I,      21   |             je ne suis ni fils, ni fille, ni même parent de Marie-Thérèse,
17    I,      21   |            ni une grisette, ni une fille d’Opéra ; c’est-à-dire que
18    I,      23   |           porté un nom étant jeune fille, c’est toujours celui-là
19    I,      23   |          ce temps-là, dit la jeune fille en soupirant.~ ~ ~– La conversation
20    I,      23   |         Gilbert ! s’écria la jeune fille avec passion.~ ~ ~– Oui.~ ~ ~–
21    I,      34   |          sans fortune ; mais si ma fille est restée inutile à notre
22    I,      37   |            ou ce qu’on appelle une fille du monde, et non pas la
23    I,      38   |       cette souffrance de la jeune fille : elle sentait que Philippe
24    I,      38   |           l’œil subtil de la jeune fille. Elle, dont le cœur avait
25    I,      39   |          mon père, nous avions une fille de service qui, par une
26    I,      39   |          méprendre.~ ~ ~– Et cette fille, qu’est-elle devenue ?~ ~ ~–
27    I,      39   |       Trianon, nous cachions cette fille aux yeux de toute la cour.~ ~ ~–
28    I,      39   |            Eh bien ! madame, cette fille qui était un esprit remuant,
29    I,      39   |            est battu, dit la jeune fille en laissant tomber une à
30    I,      44   |          tout temps un prélat, une fille de joie et un cheval blanc,
31    I,      45   |         pendant ce temps la pauvre fille.~ ~ ~– Je vous le promets,
32   II,      53   |    réussisse alors ! fit la pauvre fille.~ ~ ~ ~
33   II,      55   |          vous me prissiez pour une fille sans entrailles ; vous savez
34   II,      55   |           être une bonne et pieuse fille, il ne me manque qu’un père.
35   II,      62   |            si méchante opinion, ma fille. Vous couriez un danger,
36   II,      63   |       roman, se figurant, la naïve fille, qu’on ne pouvait être jolie,
37   II,      64   |            s’était donnée pour une fille de qualité, vivant avec
38   II,      72   |          descendre.~ ~ ~« Elle est fille de précaution », se dit
39   II,      74   |         que la reine n’est pas une fille de la maison d’Autriche ?
40   II,      83   |        reine en regardant la jeune fille avec étonnement.~ ~ ~– Le
41   II,      83   |            et, tandis que la jeune fille s’apprêtait au départ :~ ~ ~«
42   II,      83(4)|            Louise-Marie de France, fille de Louis XV (voir Joseph
43   II,      85   |          Andrée de Taverney, votre fille.~ ~ ~ ~Le baron fit un soubresaut
44   II,      85   |          comte de Charny.~ ~ ~– Ma fille !… murmura-t-il, vous me
45   II,      85   |      complet, je ferai prévenir ma fille.~ ~ ~– Monsieur, interrompit
46   II,      85   |      réponse de mademoiselle votre fille m’a été favorable.~ ~ ~–
47   II,      85   |             Vous n’épousez pas une fille riche, monsieur le comte,
48   II,      85   |         toucher, cette belle jeune fille froide et inanimée.~ ~ ~ ~
49   II,      89   |          pas que j’ai trouvé cette fille, et accuse monsieur de Cagliostro
50   II,      90   |        apprendre. Figurez-vous une fille très jolie, une taille…
51   II,      90   |                    Eh bien ! cette fille vivait mal, cela me faisait
52   II,      90   |           battu et plus volé cette fille que de coutume, elle vint
53   II,      90   |           voulait s’attacher cette fille ?~ ~ ~– Que penser autrement ?~ ~ ~–
54   II,      93   |          je vous prie.~ ~ ~– D’une fille ?~ ~ ~– Non, monsieur, d’
55   II,      94   |            parut Oliva ; la pauvre fille retrouva la sellette. Bien
56   II,      96   |            fraîche et appétissante fille. Voilà l’encens grossier,