Tome,  Chap.

 1    I,    Pro1|          vieillard, en pinçant ses lèvres minces et en fronçant son
 2    I,    Pro2|           Le maréchal allongea les lèvres.~ ~ ~– Heu ! dit-il, c’est
 3    I,    Pro2|          moment de le porter à ses lèvres, il hésita.~ ~ ~ ~Chacun,
 4    I,    Pro2|         Cagliostro approcha de ses lèvres le verre d’eau dans lequel
 5    I,       1|      majestueuse, appuyait sur ses lèvres un mouchoir de fine batiste
 6    I,       4|            sourcils froncés et les lèvres serrées.~ ~ ~– Oh ! madame,
 7    I,       7|       mouvement, l’approcha de ses lèvres.~ ~ ~ ~Puis, tout à coup,
 8    I,       8|           son front. Il mordit ses lèvres pour rester impassible.~ ~ ~ ~
 9    I,       8|          le frappa aux yeux et aux lèvres, il se fût certainement
10    I,      12|        pâle de joie, y collait ses lèvres, Philippe, pâle de douleur,
11    I,      12|                 Monsieur pinça ses lèvres, salua distraitement la
12    I,      15|                Petite, quoique les lèvres un peu épaisses, la lèvre
13    I,      15|         les doigts de Jeanne à ses lèvres, il y imprima un assez long
14    I,      17|            aise ce front pâle, ces lèvres convulsives, et ce beau
15    I,      17|            la salle et échappé aux lèvres de la convulsionnaire, entraîna
16    I,      21|         colère derrière ces belles lèvres qui montrent les dents.~ ~ ~–
17    I,      21|            croire que je place mes lèvres sur une griffe ou ma main
18    I,      25| frémissements inconnus, appuya ses lèvres sur sa chair palpitante,
19    I,      26|          passant sa langue sur ses lèvres.~ ~ ~– Maintenant, avisons
20    I,      32|           venaient d’échanger, les lèvres seules avaient été en jeu.~ ~ ~ ~
21    I,      32|          paroles moururent sur ses lèvres ; il chancela, et Philippe
22    I,      33|         que son cœur montait à ses lèvres ; il courut à l’armoire,
23    I,      35|        énorme soupir lui ferma les lèvres après lui avoir déchiré
24    I,      36|          son nez droit et pur, ses lèvres chastes et voluptueuses
25    I,      36|          de Provence se mordit les lèvres.~ ~ ~ ~Le roi se frotta
26    I,      38|               Andrée se mordit les lèvres.~ ~ ~– Mon frère n’est point
27    I,      39|   paisiblement, le sourire sur les lèvres.~ ~ ~ ~La reine, elle, ne
28    I,      40|                  Jeanne appuya ses lèvres sur sa main, comme si elle
29    I,      41|      épanoui et le sourire sur les lèvres que Jeanne rentra chez elle.
30    I,      41|        léger sourire passa sur les lèvres de la comtesse. Au bout
31    I,      46|         épingle, l’approcha de ses lèvres, et, bien sûr qu’on ne pouvait
32    I,      47|        plissa son front, pinça ses lèvres fines, et adressa au cardinal
33   II,      50|       plaît à dire, monsieur ; les lèvres sont trop fraîches, le sang
34   II,      50|       autre l’eût été cueillir aux lèvres du médecin qui l’offrait
35   II,      54|            colorait l’écume de ses lèvres, une goutte rose et tiède
36   II,      56|        arrivait le sourire sur les lèvres. Tant d’autres fussent venus
37   II,      59|         Toute sa gaieté revint aux lèvres de Marie-Antoinette. Elle
38   II,      59|           de Calonne se mordit les lèvres ; Louis, content de ce sacrifice
39   II,      62|            Un mot naissait sur ses lèvres ; Cagliostro l’arrêta par
40   II,      64|          appliqua un doigt sur ses lèvres.~ ~ ~ ~Jeanne, à son tour,
41   II,      64|         Jeanne se trouvait sur les lèvres d’Oliva bien plus souvent
42   II,      66|       insuffisante faveur pour les lèvres ardentes qui ont commencé
43   II,      69|           haleine avait dévoré ses lèvres.~ ~ ~– Laissez-moi remercier
44   II,      75|            à laisser tomber de mes lèvres un mot compromettant pour
45   II,      76|         qui expira bientôt sur ses lèvres.~ ~ ~ ~Louis de Rohan était
46   II,      77|           dit-elle en essuyant ses lèvres, que je la prie de me faire
47   II,      78|       Rohan laissa glisser sur ses lèvres un sourire de mépris.~ ~ ~–
48   II,      81|           attendait, suspendue aux lèvres du roi, la question qui
49   II,      83|        appuya sur Andrée, dont les lèvres brûlantes cherchaient ses
50   II,      86|            ses femmes, œil baissé, lèvres closes, révérence lente
51   II,      97|            Elle était vaincue. Ses lèvres ne laissèrent plus échapper
52   II,      98|      ardents que le souffle de ses lèvres dévora la trace de ses larmes.~ ~ ~ ~