Tome,  Chap.

 1    I,    Pro2|        assidue de la vie, que ma pensée, mes gestes, mes nerfs,
 2    I,       5|     étrange envahissait toute sa pensée, tout son être.~ ~ ~ ~Il
 3    I,       5|     homme et lui épanouissait la pensée en lui dilatant le cœur.~ ~ ~ ~
 4    I,      11|   ballotté ces deux noms dans sa pensée, il regardait à l’extrémité
 5    I,      11|         à elle, saisit au vol la pensée du roi.~ ~ ~– Oui, oui,
 6    I,      11|         avait si bien compris sa pensée, et emmena le bailli chez
 7    I,      15| expliquer, c’était le fond de la pensée du prince, pensée visiblement
 8    I,      15|          de la pensée du prince, pensée visiblement désavantageuse
 9    I,      15|       soudain, et comme si cette pensée se présentait seulement
10    I,      17|          les fils ; aussi chaque pensée de cette âme reconnaissante
11    I,      18|       achevait de formuler cette pensée menaçante, la jeune femme
12    I,      21|        le cardinal, comme si une pensée bien éloignée de son esprit
13    I,      21|         moins la direction de sa pensée intérieure que le charme
14    I,      24|         Madame : « Celui dont la pensée ne veille pas toujours,
15    I,      30|   Excellence ne comprenne pas ma pensée.~ ~ ~– Que de détours !
16    I,      31|          je dis n’exprime pas ma pensée. Si j’exprimais ma pensée,
17    I,      31|        pensée. Si j’exprimais ma pensée, je dirais : « Celui qui
18    I,      32|          la peine de cacher leur pensée.~ ~ ~ ~Chacun d’eux avait
19    I,      32|          eu, cette fois, la même pensée ; c’était de venir demander
20    I,      32|       vous allez au-devant de ma pensée ; oui, voilà en effet qui
21    I,      33|     maître de mes muscles, de ma pensée, et puis vous venez me demander
22    I,      38|        en même temps à sa propre pensée et à celle des autres :~ ~ ~–
23    I,      46|    étaient ouvertes, laissant la pensée pénétrer librement avec
24   II,      49|      vous place toujours dans ma pensée au premier rang.~ ~ ~ ~–
25   II,      51|           il n’était plus qu’une pensée, qu’un sentiment, qu’un
26   II,      52| poussières fécondantes ; oui, la pensée a des communications invisibles,
27   II,      52|        voyons, dites toute votre pensée.~ ~ ~– Mais, je l’ai dite.
28   II,      54|        baissée, l’œil fixe et la pensée absente.~ ~ ~ ~Elle n’avait
29   II,      58|         fût, comprit cette bonne pensée de Cagliostro. Un moment
30   II,      60|            ajouta-t-elle dans sa pensée ; jamais il n’aura quatorze
31   II,      60|          arrêté sur une image de pensée uniforme ; elle ne s’aperçut
32   II,      61|          jusqu’au mal. Une seule pensée la préoccupa dès ce moment,
33   II,      61|       compromis ? »~ ~ ~Et cette pensée la jetait dans une perplexité
34   II,      63|          grâce à la fixité de la pensée, roulant seul dans son orbite.
35   II,      63|       fut cette profondeur de la pensée toujours tendue vers un
36   II,      63|          but invisible et vague, pensée tellement impérieuse, qu’
37   II,      67|        dit-elle, envoyez-moi une pensée qui me sauve. Je ne veux
38   II,      68|        la verrai ; elle saura ma pensée entière, et ce qu’elle aura
39   II,      69|       pour aller au-devant de la pensée de Charny, que je ne me
40   II,      71|           Jeanne, qui suivait sa pensée jusqu’à sa signature, se
41   II,      76|         me pardonner cette seule pensée que j’appelais un crime !
42   II,      78|          termina sa phrase et sa pensée.~ ~ ~ ~La reine frissonna.
43   II,      80|         cacher plus longtemps sa pensée ; ce que l’on sait bien,
44   II,      90|   longtemps cette voiture, et ma pensée, je l’avoue, était que madame
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