Tome,  Chap.

 1    I,       1|    prolongeaient la misère, la douleur et la faim, dans la population
 2    I,       3|        et ne voyant dans cette douleur, si simple et si naturelle
 3    I,       3|  éprouve donc, au milieu de la douleur que me cause sa perte, une
 4    I,       3|      causes. Je connaissais la douleur, voilà tout.~ ~ ~« Mon père
 5    I,       5|       rencontrait, il avait la douleur de voir fuir ce qu’il rencontrait
 6    I,       6|        que je viens d’avoir la douleur de vous répondre.~ ~ ~ ~
 7    I,      10|     homme fronça le sourcil de douleur.~ ~ ~– Écoutez, monsieur
 8    I,      10|   hélas !~ ~ ~ ~Il comprima sa douleur, passa son manchon caressant
 9    I,      12|      lèvres, Philippe, pâle de douleur, s’ensevelissait dans les
10    I,      23|    Beausire, mais je vois avec douleur que vous n’êtes qu’un sot ;
11    I,      31|    tira un cri équivalent à la douleur qu’il produisit, suivirent
12    I,      32|      votre chute vous sera une douleur inutile.~ ~ ~– L’épée n’
13    I,      33|    yeux pleins d’une éloquente douleur ; ah ! que ne sont-ils tous
14    I,      35|    deux témoins de sa profonde douleur un regard presque menaçant.~ ~ ~ ~
15    I,      36|        il se sentit pénétré de douleur.~ ~ ~« Hélas ! pensa-t-il,
16    I,      38|    assistants ; les uns par la douleur de leur amour ou de leur
17    I,      38|    refouler l’expression de sa douleur insensée.~ ~ ~ ~Il sortit.~ ~ ~ ~
18   II,      52|     laissée abattre, ni par la douleur physique, ni par la douleur
19   II,      52|    douleur physique, ni par la douleur morale, tendit ses ressorts
20   II,      52|  chairs, pour éteindre dans la douleur physique un peu de cette
21   II,      53|   regard plein de colère et de douleur, dont l’expression ressemblait
22   II,      54|        tellement écrasé par la douleur physique et la douleur morale,
23   II,      54|      la douleur physique et la douleur morale, que, courbé ainsi
24   II,      55|    aperçut ce visage frappé de douleur et de rigidité.~ ~ ~– Mon
25   II,      58|      le cardinal dévoré par la douleur de perdre en une minute
26   II,      59|  Conseil, malade et pénétré de douleur. »~ ~– Lisez, fit-elle en
27   II,      65|       quel mal, bon Dieu ! une douleur aiguë, incessante, impitoyable,
28   II,      65|    incessante, impitoyable, la douleur d’un souvenir qui brûlait,
29   II,      65|       souvenir qui brûlait, la douleur d’un regret qui déchirait.~ ~ ~ ~
30   II,      66|  enchaîné la prostration d’une douleur indicible, Charny perçut
31   II,      67| impression vivace de sa propre douleur.~ ~ ~ ~Il se releva en trébuchant,
32   II,      67|        bien vous ! Je meurs de douleur et de honte en vous disant :
33   II,      70|   ordonnais ?…~ ~– J’aurais la douleur de répondre par un refus
34   II,      78|    fort agité.~ ~ ~– C’est une douleur injuste que vous faites
35   II,      81|     obligée de mentir, avec la douleur de ne rien trouver qui fût
36   II,      81|     reine sentit une poignante douleur. Elle allait entendre un
37   II,      81|     seuil, et voir l’ineffable douleur de cet adieu éternel que
38   II,      82|       côté venait la plus vive douleur.~ ~ ~ ~Après être demeurée
39   II,      82|       buvait à longs traits la douleur irrémédiable de l’absence
40   II,      83|        Son cœur s’emplit d’une douleur inexprimable. Elle échouait,
41   II,      95|        une transition entre la douleur et le sourire.~ ~ ~ ~C’est
42   II,      97|        ne craignit plus que la douleur.~ ~ ~– Grâce ! grâce ! cria-t-elle
43   II,      97|    inouïe, cette femme, que la douleur physique eût terrassée,
44   II,      97|      Jeanne s’affaissa sous la douleur, sous la honte. Elle était