Tome,  Chap.

 1    I,    Pro2|           Qu’est-ce que vous ne croyez pas, monsieur de Cagliostro ?
 2    I,    Pro2|      reprit Cagliostro. Mais ne croyez pas, si pressé qu’il vous
 3    I,    Pro2|         reprit Cagliostro, vous croyez, vous croyez, parce qu’il
 4    I,    Pro2|   Cagliostro, vous croyez, vous croyez, parce qu’il s’agit de La
 5    I,       2|         a engraissé.~ ~ ~– Vous croyez ?~ ~ ~– Oui, j’en suis sûr.~ ~ ~–
 6    I,      15|   vérité ! s’écria Jeanne. Vous croyez, monseigneur ?~ ~ ~ ~Le
 7    I,      21| Versailles ?~ ~ ~– Oh ! vous me croyez homme de goût, n’est-ce
 8    I,      21|         vais au bal de l’Opéra, croyez bien une chose…~ ~ ~– Laquelle,
 9    I,      23|           Oui.~ ~ ~– Vous ne me croyez donc pas heureuse ?~ ~ ~–
10    I,      24|         suis pas celui que vous croyez.~ ~ ~– Oh ! que si fait,
11    I,      27|      pour vous demander si vous croyez que M. de Souza ne m’en
12    I,      33|       menaçant.~ ~ ~– Ah ! vous croyez, dit le comte, aussi flegmatique
13    I,      33|    flegmatique que Nestor, vous croyez que moi, un devin, comme
14    I,      39|       spectacle partout où vous croyez me voir, vous, monsieur,
15    I,      42|       peu d’amis.~ ~ ~– Vous la croyez donc riche ? demanda madame
16    I,      42|      cardinal, voilà comme vous croyez aux vertus royales, vous ?
17    I,      42| idées-là, ma chère, et d’abord, croyez bien à une chose, c’est
18    I,      42|       est aussi fâchée que vous croyez de cette violence.~ ~ ~ ~
19    I,      42| cardinal reprit :~ ~ ~– Et vous croyez que c’est Bœhmer qui est
20    I,      42|    notre collier.~ ~ ~– Vous le croyez ?~ ~ ~– Nous en sommes sûrs.~ ~ ~–
21   II,      52| personne ne nous entendra, vous croyez, docteur ? demanda Andrée
22   II,      53|         affaire !~ ~ ~– Et vous croyez qu’on guérit comme cela
23   II,      53|         plus triste que vous ne croyez d’aller ainsi chercher la
24   II,      55|        s’écria-t-il ; vous vous croyez forcée de faire des vœux !
25   II,      55|        plein de fierté. Vous ne croyez pas, mon frère, que mademoiselle
26   II,      57|         joué de moi.~ ~ ~– Vous croyez ?~ ~ ~– Je ne sais pourquoi,
27   II,      58|   marque de défiance, monsieur, croyez bien que je n’eusse pas
28   II,      58|    monseigneur, dit Cagliostro, croyez bien que je ne vous eusse
29   II,      58|        et la susceptibilité, ne croyez pas au moins que je veuille
30   II,      61|        comtesse n’a pas paru ?… Croyez bien qu’elle est pour quelque
31   II,      62|        ma dépendance. Vous vous croyez engagée ; je vous croirais
32   II,      69|        vous m’aimez, et vous me croyez infâme !…~ ~– Oh !… madame.~ ~ ~–
33   II,      76|       Marie-Antoinette, si vous croyez quand je ne suis plus là,
34   II,      76|         inexprimable angoisse ; croyez la haine, voyez des ombres,
35   II,      76|        haine, voyez des ombres, croyez l’impossible ; mais, au
36   II,      76|       ce que je vous ai dit, ne croyez pas que je sois coupable…
37   II,      80|     Monsieur de Charny, vous me croyez coupable.~ ~ ~– Madame !…~ ~–
38   II,      84|         départ ?~ ~ ~– Vous n’y croyez pas ?~ ~ ~– Champagne n’
39   II,      85|         le comte ? en tout cas, croyez qu’elle me comble de joie.~ ~ ~–
40   II,      89|       entre vos mains.~ ~ ~– Et croyez, madame, qu’il est bien
41   II,      90|   monsieur, et plus que vous ne croyez ; car cette Oliva que vous
42   II,      96|          voilà tout.~ ~ ~– Vous croyez qu’il sera acquitté ? s’