Tome,  Chap.

 1    I,    Pro2|    est-ce tout le contraire, et est-il trop vieux, lui ?~ ~ ~ ~
 2    I,    Pro2|         des moines d’Heidelberg est-il toujours clair, vif et savoureux,
 3    I,    Pro2|         un habile géographe ; n’est-il pas vrai, monsieur de Condorcet ?~ ~ ~–
 4    I,    Pro2|       votre avis sur ce point n’est-il point celui de M. de Cagliostro.~ ~ ~ ~
 5    I,       2|     rare cette année ? Toujours est-il que les quatre étages ne
 6    I,       3|         l’aînée des deux dames, est-il vrai, comme on le dit, que
 7    I,       5|       fiacre s’arrête.~ ~ ~– Qu’est-il arrivé ?~ ~ ~– Je vais y
 8    I,       6|       mon ennemi ?~ ~ ~– Eh ! n’est-il pas l’ennemi de tout ce
 9    I,       8|         pour lui.~ ~ ~– Comment est-il ?~ ~ ~– Toujours beau et
10    I,       9|    Suffren.~ ~ ~– Oh ! ma sœur, est-il bien possible que vous,
11    I,      12|       détail. Qu’on le cherche. Est-il toujours ici ?~ ~ ~ ~Un
12    I,      17|        se condensait ? Toujours est-il qu’il se trouvasubitement,
13    I,      17|         Encore, ce danger, quel est-il ?~ ~ ~– J’aurai l’honneur
14    I,      18|       bonsoir, mère ; le souper est-il prêt ?~ ~ ~– Oui, et même
15    I,      18|        même il refroidit.~ ~ ~– Est-il là, lui ?~ ~ ~– Non, pas
16    I,      21|         de l’amitié pour moi, n’est-il pas vrai ?~ ~ ~– Plus.~ ~ ~–
17    I,      23|    masque.~ ~ ~– Maintenant, qu’est-il devenu ?~ ~ ~– Mais je crois
18    I,      34| Philippe, fit-il en rentrant, n’est-il pas le frère de sa sœur !
19    I,      37|     suitePhilippe de Taverney est-il là ?~ ~ ~– Mon frère ! dit
20    I,      37|   continua le comte d’Artois. N’est-il pas vrai, monsieur Philippe,
21    I,      39|   pourquoi monsieur de Charny s’est-il battu ?~ ~ ~ ~Pendant ce
22    I,      39| répondit-elle.~ ~ ~– Pourquoi s’est-il battu ?~ ~ ~– Nous aurions
23    I,      47|           Et pourquoi cela vous est-il indifférent ?~ ~ ~– Mais
24    I,      47|      voulez faire ma fortune. N’est-il pas sûr qu’une fois ma fortune
25   II,      48|     Majesté :~ ~ « “Comment ! s’est-il écrié, la reine de France
26   II,      49|         reine, moi !… Comtesse, est-il possible ?~ ~ ~– C’est plus
27   II,      54|       pouvait se relever.~ ~ ~– Est-il possible, continua la reine
28   II,      54|       respect et de ce silence, est-il possible qu’un gentilhomme,
29   II,      57|       suis guère changé ?~ ~ ~– Est-il possiblemurmura monsieur
30   II,      62|         comte ; que fait-il, où est-il, ce cher ami ?~ ~ ~ ~Alors
31   II,      68|     désespoir.~ ~ ~– Bon Dieu ! est-il possible ! s’écria monsieur
32   II,      69|           madame !… vous-même ! est-il possible ? répliqua Charny
33   II,      72|      crime aurais-je commis ? N’est-il pas permis à une femme de
34   II,      72|       Oliva.~ ~ ~– Mais comment est-il entré ici ? s’écria Jeanne,
35   II,      77|      Dieu ! suis-je une folle ? Est-il un scélérat ?~ ~ ~– Est-ce
36   II,      79|       moi. Combien de fois ne m’est-il pas arrivé de la défendre,
37   II,      81|       reine ; eh bien ! en quoi est-il donc impossible de marier
38   II,      83|         avances.~ ~ ~– Toujours est-il, dit-elle, qu’en venant
39   II,      83|    plaisir, elle a fui ! Tout n’est-il pas une ombre pour moi !
40   II,      89|          répliqua la reine ; où est-il votre carrosse ?~ ~ ~– Dans
41   II,      95|  intercepte le jour et l’air. N’est-il pas possible de faire respirer
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