Tome,  Chap.

 1    I,       4|         humilité.~ ~ ~– C’est une fortune pour elle, madame, que d’
 2    I,      13|     prendre pour confidente de sa fortune.~ ~ ~ ~Alors elle appela
 3    I,      17|         eût donné la moitié de sa fortune.~ ~ ~ ~Ces aveux avaient
 4    I,      21|       vous, c’est-à-dire en bonne fortune.~ ~ ~ ~Et il se mit encore
 5    I,      21|           un grand pas pour votre fortune.~ ~ ~– Je le crois, monseigneur.~ ~ ~–
 6    I,      21|     permettrai peut-être quand la fortune m’aura souri assez longtemps
 7    I,      25|          supériorité calme que la fortune ne donne pas à tous les
 8    I,      26|           être acheté que par une fortune royale ; eh bien ! j’ai
 9    I,      34|       beaucoup pour un homme sans fortune ; mais si ma fille est restée
10    I,      34|       étonné tout le monde par sa fortune. Il a vu que Catherine aimait
11    I,      37|         êtes injuste d’accuser la fortune, dit le comte en pirouettant
12    I,      41|       était-ce pas, en effet, une fortune de prince, et surtout pour
13    I,      41|         du chemin qui menait à la fortune.~ ~ ~ ~Et cette fortune
14    I,      41|           fortune.~ ~ ~ ~Et cette fortune que Jeanne convoitait, ce
15    I,      41|            ce collier, c’était la fortune visible ; aussi était-il
16    I,      41|       hasards heureux qui font la fortune des courtisans, elle était
17    I,      43|     laquelle il sentait toute une fortune, il feignit de consulter
18    I,      44|        mon rêve réalisé, j’ai une fortune. » Et il respira encore.~ ~ ~ ~«
19    I,      47|       doigt. Vous voulez faire ma fortune. N’est-il pas sûr qu’une
20    I,      47|     est-il pas sûr qu’une fois ma fortune faite, mon premier soin
21   II,      48|          grappe savoureuse que la fortune suspendait au-dessus de
22   II,      48|      audience ; mais sa foi en sa fortune était devenue telle que
23   II,      49|           de la reine~ ~ ~ ~Cette fortune, au propre et au figuré,
24   II,      55|           de sa renommée ou de sa fortune, que là où cent autres ont
25   II,      57|       devenait l’instrument d’une fortune que désormais rien ne pourrait
26   II,      60|           amoindrissement pour la fortune que monsieur de Rohan rêvait
27   II,      60|             Quelle somme ! quelle fortune ! quelle radieuse vie, et
28   II,      61|        mot ruinait chez Jeanne la fortune de l’avenir, échafaudée
29   II,      61|        vous perds. Laissez-moi la fortune, je vous laisserai l’honneur.~ ~ ~«
30   II,      68|           culminant d’une roue de fortune ; à côté de l’apogée, il
31   II,      70|      grade a été confirmé ; votre fortune est en bon train ; je vous
32   II,      76|       donne à mes sujets amour ou fortune, je n’accepte jamais.~ ~ ~–
33   II,      81|           qu’il n’a pas une belle fortune ? Est-ce qu’il n’est pas
34   II,      83|           contes qui engloutit la fortune et le bonheur des simples
35   II,      84|          c’est notre vie et notre fortune à tous. N’aie donc pas peur
36   II,      85|          ai là-haut les titres de fortune de sa mère. Vous n’épousez
37   II,      88| quarante-huit mille livres, votre fortune à tous les deux, mais laissez-lui
38   II,      96|          amis ? Hélas ! jamais la fortune, jamais le crédit ne demeurent
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