Tome,  Chap.

 1    I,       3|             on le dit, que Mme votre mère ait été concierge d’une
 2    I,       3| répliqua-t-elle sans se troubler, ma mère était la concierge d’une
 3    I,       3|               comme Marie Jossel, ma mère, était d’une rare beauté,
 4    I,       3|         mienne.~ ~ ~– Mais Mme votre mère ?~ ~ ~– Eh bien ! avec la
 5    I,       3|              d’avoir laissé vivre ma mère.~ ~ ~ ~Les deux femmes se
 6    I,       3|              malheureuse d’avoir une mère.~ ~ ~– Oui, je conçois,
 7    I,       3|              bien ! Marie Jossel, ma mère, au lieu d’être à jamais
 8    I,       3|           misère. En son absence, ma mère, à qui il fallait une victime,
 9    I,       3|             ne manquèrent point à ma mère : à la moindre faute, faute
10    I,       3|           eût fait sourire une autre mère, la mienne me battait ;
11    I,       3|             de me défendre contre ma mère, mais il ne s’aperçut point
12    I,       3|      appartins comme auparavant à ma mère. Elle m’apprit une phrase
13    I,       3|               celui de désobéir à ma mère. Je n’avais qu’une crainte,
14    I,       3|            madame, ce qu’espérait ma mère ; je rapportais un peu d’
15    I,       3|          rentrai les mains vides. Ma mère me battit tant que le lendemain
16    I,       3|          mort de mon pauvre père, ma mère partit avec un soldat, son
17    I,       3|              tant que nous eûmes une mère. La charité publique nous
18    I,       3|              fille, comme c’est à ma mère que je dois tous mes malheurs
19    I,       3|           que c’était un portrait de mère ou d’aïeule, et son premier
20    I,       7|       Marie-Thérèse, votre femme, la mère de vos enfants ? Non, c’
21    I,       7|         trône et de votre qualité de mère. Est-ce d’une épouse, est-ce
22    I,       7|              une reine, est-ce d’une mère ce que vous avez fait là ?~ ~ ~–
23    I,      18|          ouvrit.~ ~ ~– Oh ! bonsoir, mère ; le souper est-il prêt ?~ ~ ~–
24    I,      18|         deuxième étage.~ ~ ~– Allez, mère, allez ouvrir, dit Oliva
25    I,      21|     ordinaire de voir un portrait de mère – car, remarquez bien que
26    I,      21|             portrait est portrait de mère et non d’impératrice – en
27    I,      37|             dont la nature, en bonne mère, l’avait douée si largement.~ ~ ~ ~
28   II,      51|               puisque tu emportes la mère, elle, plus légère qu’une
29   II,      55|      embarras, et ne suis-je plus la mère de famille qui rend une
30   II,      78|            Non ! sur l’honneur de ma mère, sur la vie de mon fils !
31   II,      85|              titres de fortune de sa mère. Vous n’épousez pas une
32   II,      93|             ami !~ ~ ~– Plus bas. La mère et l’enfant se portent bien.~ ~ ~–
33   II,      93|           écria-t-il, comme il a une mère ! Il a un tendre père qui
34   II,      93|           prétendait que toute bonne mère doit nourrir son enfant,
35   II,      93|              être au moins une bonne mère, ce sera toujours cela.~ ~ ~ ~
36   II,      94|      douloureusement en faveur de sa mère.~ ~ ~ ~Après Oliva parut
37   II,      98|              pars pour le pays où ma mère est morte, monsieur le comte.
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