Tome,  Chap.

 1    I,    Pro2|       aux plus beaux jours de sa jeunesse, se dressèrent en même temps
 2    I,    Pro2|               Eh bien ? adieu la jeunesse.~ ~ ~ ~Et il poussa un profond
 3    I,    Pro2|         ensuite par ce retour de jeunesse, un soupir pareil à celui
 4    I,    Pro2|     scène.~ ~ ~ ~À mesure que la jeunesse et la vie gonflaient les
 5    I,    Pro2|     artères la progression de la jeunesse et de la vie. Elle riait,
 6    I,    Pro2|          que, pour se donner une jeunesse de deux ans, il faudrait
 7    I,    Pro2|     homme, pleins de jours et de jeunesse encore, n’ont besoin que
 8    I,    Pro2|      enchaînera éternellement la jeunesse et la vie au même degré
 9    I,    Pro2|  seulement la perpétuation de la jeunesse, mais la conservation de
10    I,    Pro2| cherchaient sous le nom d’eau de jeunesse, ce que les Modernes ont
11    I,    Pro2|          constamment conservé ma jeunesse ; par conséquent, ma santé ;
12    I,       3|   mouvement qui est le cri de la jeunesse. Une fois hors de la chambre,
13    I,       8|   cerveau tous les parfums de la jeunesse ; ce jour me trouve heureuse,
14    I,      23|         est que d’avoir passé sa jeunesse avec des gens silencieux.~ ~ ~–
15    I,      23|               Vous connaissez ma jeunesse ?~ ~ ~– Parfaitement.~ ~ ~–
16    I,      23|      allons donc causer de votre jeunesse, mademoiselle Nicole.~ ~ ~–
17    I,      23|         bien de remonter vers ma jeunesse. Il en est de la vie comme
18    I,      23|    défauts et les qualités de la jeunesse. Aujourdhui…~ ~ ~– Gilbert
19    I,      23|        Oh ! s’écria l’inconnu, ô jeunesse ! ô courage ! ô beauté !
20    I,      23|         véritablement la vie. La jeunesse c’est le paradis, c’est
21    I,      23|        triste compensation de la jeunesse. Plus il donne aux hommes,
22    I,      23|          aux hommes, une fois la jeunesse perdue, plus il a cru devoir
23    I,      23|            les trésors que cette jeunesse prodiguait à l’homme.~ ~ ~–
24    I,      38|        avait réveillé en elle la jeunesse et avait galvanisé la mort ;
25   II,      57|       que j’ai choisi un état de jeunesse dans lequel la belle santé,
26   II,      57|         que la science. Et cette jeunesse au sang impérieux, ces passions,
27   II,      57|   rappelez les vieux rêves de ma jeunesse. Il y a dix ans, savez–vous,
28   II,      97|        toujours le bonheur et la jeunesse !~ ~ ~« Et, ajoutait Jeanne,
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