Tome,  Chap.

 1    I,       2|         celui qui regardait, que voyez-vous donc dans la maison de M.
 2    I,       2|          de la serrure.~ ~ ~– Le voyez-vous ? disait le voisin dépossédé
 3    I,       5| confiance. Ce n’est pas le tout, voyez-vous, mon officier, d’aller à
 4    I,       7|       Seize cents mille livres ? Voyez-vous ! Eh quoi, c’était si cher ?~ ~ ~–
 5    I,       8|          sinon… je suis égoïste, voyez-vous.~ ~ ~ ~Là-dessus, le prince
 6    I,       9|          baisant la main :~ ~ ~– Voyez-vous, lui dit-il à l’oreille,
 7    I,      11|  dit-elle, je regarde.~ ~ ~– Que voyez-vous ?~ ~ ~ ~La reine promena
 8    I,      18|         ma maîtresse…~ ~ ~– Ah ! voyez-vous. On n’a jamais besoin de
 9    I,      21|    traite comme un triomphateur. Voyez-vous encore une humiliation dans
10    I,      23|       plus de Beausire au monde, voyez-vous.~ ~ ~– Je vous ai dit, ma
11    I,      26|         fait une infidélité : ne voyez-vous pas qu’il a été au bal de
12    I,      31|         très bien ! dit Charny ; voyez-vous que mieux vaut être deux
13    I,      33|          cette gazette ; en quoi voyez-vous que j’aie insulté quelqu’
14    I,      36|        le sais.~ ~ ~– C’est que, voyez-vous, cousine, il faut que je
15    I,      42|   joaillier.~ ~ ~– Eh bien ! que voyez-vous d’étonnant à cela ?~ ~ ~–
16    I,      42|      ambassade.~ ~ ~– Les Souza, voyez-vous, disait Beausire, ne sont
17    I,      42|      pavillon de l’hôtel. Tenez, voyez-vous dans la rue cet homme en
18   II,      48|          sorte de gloire ? Ne le voyez-vous pas, aux jours de cérémonie,
19   II,      54|      prendre par l’amour-propre, voyez-vous, c’est me dompter comme
20   II,      56|       paradis.~ ~ ~ ~–C’est que, voyez-vous, monsieur de Calonne, ce
21   II,      60|              pensa Jeanne.~ ~ ~– Voyez-vous, comtesse, c’est une leçon
22   II,      61|      elle signe ! Dès à présent, voyez-vous, monseigneur, c’est pour
23   II,      62|          service ; parce qu’ici, voyez-vous, enfermée, étouffée, je
24   II,      68|      feront. Je la sais capable, voyez-vous, de tout avouer au roi dans
25   II,      71|         jamais.~ ~ ~– C’est que, voyez-vous, comtesse, je me défie de
26   II,      71|        démon ! Je suis possédée, voyez-vous. Après ce malheur, j’en
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