Tome,  Chap.

 1    I,       3|          à vous offrir ce léger secours, en attendant mieux.~ ~ ~ ~
 2    I,       5| adresserions-nous pour demander secours ?~ ~ ~– Oh ! nous avons
 3    I,       5|     dame, qui vint bravement au secours de sa compagne interdite.
 4    I,       5|          Grâce à votre généreux secours.~ ~ ~– Quelle peine nous
 5    I,       7|        est forcé de mesurer ses secours et de dire aux pauvres : «
 6    I,      15|     femme pauvre en lui portant secours et cette dame, que des avis
 7    I,      15|         ont fondé une maison de secours…~ ~ ~– À Versailles ?~ ~ ~–
 8    I,      15|        qui n’a jamais refusé un secours mérité, à la reine.~ ~ ~–
 9    I,      28|       passeports, indemnités et secours, avec attention toutefois
10    I,      37|     dame allemande du bureau de secours, venait d’appeler à son
11    I,      38|         et les gardes portaient secours.~ ~ ~ ~La reine, voyant
12    I,      38|     venu par amour-propre à mon secours. Oh ! il ne croit pas !
13    I,      39|          Jeanne voulut venir au secours de la favorite, dont il
14    I,      43|     rossé, commandeur.~ ~ ~– Au secours ! cria celui-ci, déjà saisi
15   II,      50|        et l’on était venu à son secours.~ ~ ~ ~C’était alors que
16   II,      50|         corps qui lui portaient secours, et qui n’avaient pas l’
17   II,      54|     près un moment d’appeler au secours.~ ~ ~ ~Mais elle réfléchit
18   II,      81|    Encore cette idée, encore ce secours, mon Dieu ! »~ ~ ~Tout à
19   II,      81|       Dieu lui-même m’envoie ce secours, murmura-t-elle. Celles
20   II,      82|         elle aurait besoin d’un secours ?~ ~ ~ ~Il ne restait rien
21   II,      92|       cardinal et moi, demander secours.~ ~ ~ ~L’aumônier refusa.~ ~ ~–
22   II,      95|         m’attend pour me prêter secours. Oui, mais si c’était un
23   II,      97|         mille bouches.~ ~ ~– Au secours ! au secours ! dit Jeanne
24   II,      97|  bouches.~ ~ ~– Au secours ! au secours ! dit Jeanne éperdue, en
25   II,      98|      semblait prêt à lui porter secours d’un mot, d’un geste de