Tome,  Chap.

 1    I,    Pro1|          vous avez à faire c’est de lire les ordres que je vous donne,
 2    I,       1|    trente-deux ans, essayez donc de lire à cet angle le nom de la
 3    I,      16|            une statue antique, pour lire sous cette rouille une inscription
 4    I,      23|        inconnu comme si elle eût pu lire à travers son masque.~ ~ ~–
 5    I,      31|                    Il s’empressa de lire ce numéro avec le soin qu’
 6    I,      33|          effrayé de voir Cagliostro lire ainsi dans le présent et
 7    I,      35|       rapidité d’un homme habitué à lire les passages intéressants
 8    I,      40|       feuilleta quelques pages sans lire.~ ~ ~ ~Les joailliers prirent
 9    I,      44|            on n’a pas l’habitude de lire sur les visages des gens
10   II,      52|            reine, et qui ne pouvait lire dans l’esprit du docteur
11   II,      55|            Elle venait seulement de lire un billet de madame de La
12   II,      58|             prince ; vous qui savez lire au fond des cœurs, et même
13   II,      64|           ces gens-là ne savent pas lire, et pour eux du plomb est
14   II,      64|          elle rentra chez elle pour lire.~ ~ ~ ~Une demi-heure après,
15   II,      72|             pour que je sache mieux lire dans les ténèbres de votre
16   II,      72|           ténèbres ; mais pour bien lire, j’ai besoin d’être aidé.
17   II,      74|    contradiction, il se délectait à lire, à relire ces froides duretés
18   II,      89| justification qui commence. Je vais lire mon triomphe sur tous les
19   II,      92|           innocence, c’est de faire lire les lettres qu’il écrivait
20   II,      96|       monsieur Frémyn viennent vous lire…~ ~ ~– L’arrêt… Non ! non !~ ~ ~ ~
21   II,      97|           par le concierge vînt lui lire l’arrêt rendu contre elle.~ ~ ~ ~
22   II,      97|        comtesse, où viendra-t-on me lire l’arrêt, et quand viendra-t-on ?~ ~ ~–
23   II,      97|       obligent-elles ?~ ~ ~– À vous lire, madame, l’arrêt qui a été
24   II,      97|              Je ne laisserai jamais lire une sentence qui me condamne
25   II,      98|          occupait, elle se mit à le lire.~ ~ ~ ~Le bras de Marie-Antoinette