Tome,  Chap.

 1    I,      38|         plus douloureuse que la blessure de l’épée.~ ~ ~ ~La reine
 2   II,      50|      cherchait point.~ ~ ~– Une blessure ! dit le roi redoublant
 3   II,      50|         des yeux affaiblis, une blessure ancienne qui s’est rouverte.
 4   II,      50|        est trop vermeil : cette blessure n’a pas vingt-quatre heures.~ ~ ~ ~
 5   II,      50|        quel moment j’ai reçu ma blessure, monsieur ; je vous dis
 6   II,      50|  balbutia Charny ; une ancienne blessure, sire, voilà tout.~ ~ ~–
 7   II,      50|     nouvelle, dit Louis XVI, la blessure m’a fait voir votre sang,
 8   II,      50|    comme un mât.~ ~ ~– C’est sa blessure, dit un des officiers présents.~ ~ ~–
 9   II,      50|      présents.~ ~ ~– Comment sa blessure ! s’écria l’amiral ; Olivier
10   II,      51|           enfin, égratignure ou blessure, tout ce que je sais, c’
11   II,      51|       beau couler, Marie, de ma blessure, le secret ne sortira pas
12   II,      52|         Charny est malade d’une blessure reçue dans un duel, et cette
13   II,      52|    reçue dans un duel, et cette blessure c’est mon frère qui la lui
14   II,      53| congédier les valets, reprit la blessure en sous-œuvre, et décidé
15   II,      53|       Charny est tout moral. La blessure n’est qu’un accessoire dans
16   II,      53|         guérit comme cela d’une blessure, madame ? reprit le docteur ;
17   II,      54|        tirait promptement de la blessure le trait qu’elle y avait
18   II,      54|   essayé de vous guérir ; cette blessure, qui n’était rien, empire
19   II,      54|       sera-t–elle guérie, cette blessure ? Quand cesserez-vous de
20   II,      54|       que d’être guéri de votre blessure.~ ~ ~ ~Ce sang-froid étudié
21   II,      57|    contre la maladie, contre la blessure, mais rien contre l’accident
22   II,      67|       intérieure, causée par sa blessure qui s’était rouverte, l’
23   II,      69|         à leur égard : mais une blessure se guérit.~ ~ ~– Oh ! madame,
24   II,      80|   acharnés après cette première blessure qui vous est faite, viendront
25   II,      83|      adoucir par son respect la blessure qu’elle venait de faire