Tome,  Chap.

 1    I,       1|            espérait gagner ainsi les bons dégels !~ ~ ~ ~Mais le ciel
 2    I,       1|                     Vous qui avez de bons yeux, Andrée, fit la dame
 3    I,       2|              dise, il doit rester de bons morceaux dans la maison.~ ~ ~–
 4    I,       2|             dans la maison.~ ~ ~– De bons morceaux, dites-vous ?~ ~ ~–
 5    I,      10| Taverney-Maison-Rouge ; vous, un des bons gentilshommes de France.~ ~ ~–
 6    I,      14|                 L’autre lessivait de bons fauteuils.~ ~ ~ ~Un troisième
 7    I,      26|      nouvelle.~ ~ ~– Les dehors sont bons, dit Beausire, mais les
 8    I,      32|            de douceur, et nous voilà bons amis… » mais, à vous, mais
 9    I,      33|             carrosse, attelé de deux bons chevaux, se balançait sur
10    I,      40|             que les morceaux en sont bons. C’est vrai ; mais je n’
11   II,      50|              il meurt. Au diable les bons soins de messieurs les gardes !
12   II,      54|              calme et sa logique des bons jours. Charny fut réellement
13   II,      57|             amie, puisque nous voilà bons amis, je vous donnerai un
14   II,      58|            en argent, et le reste en bons de caisse.~ ~ ~ ~Le cardinal
15   II,      60|            partir. Elle demanda deux bons chevaux au cardinal, qui
16   II,      61|        heures ; l’espace d’un de ces bons sommeils de Marie-Antoinette ;
17   II,      61|         intérêts ; choisir parmi les bons moments un moment favorable
18   II,      61|              Motte s’enfonça dans de bons coussins, s’approcha de
19   II,      65|             tête effarée. Il sut les bons moments du silence, ceux
20   II,      88|           plaisir qu’il y a pour les bons cœurs à retrouver d’anciennes
21   II,      88|              digestion ; ils étaient bons pour le moment, parce que
22   II,      88|              Et comme nous sommes de bons diables, reprit l’autre,
23   II,      93|               il ne vous manque, mes bons amis, qu’un petit point :
24   II,      98|             d’assurer le bonheur des bons gentilshommes qui me servent