Tome,  Chap.

 1    I,      Av|           de ses vertus : sur les rois, sur les grands seigneurs,
 2    I,    Pro2|          répondit le marquis. Les rois ne devraient tout connaître
 3    I,    Pro2|  Cagliostro va me dire.~ ~ ~– Aux rois on ne dit pas la vérité,
 4    I,       3|         un descendant des anciens rois de France, sinon les plus
 5    I,       3|          et que le descendant des rois n’en est plus réduit à mendier
 6    I,       7|        descendants enfin d’un des rois qui ont gouverné la France.~ ~ ~–
 7    I,       7|          au sort d’une famille de rois. Je suis prêt : dénoncez-moi
 8    I,       7|       méritent. Un état digne des rois dont ils descendent, à ces
 9    I,       7|          donc ! quand nous autres rois nous n’avons plus même un
10    I,      15|    révérence comme on en fait aux rois.~ ~ ~ ~Puis elle avança
11    I,      16| occupation pour les Français. Les rois entretenaient à leur compte
12    I,      16|  politesse et de regards pour les rois ; un gentilhomme des classes
13    I,      16|      êtres intelligents sont tous rois !~ ~ ~ ~Et puis, rendez-vous
14    I,      16|         plaisirs ; enfin, que les rois laissent pencher la couronne
15    I,      22|         applaudirent plus que des rois.~ ~ ~ ~Ces plébéiens voulurent
16    I,      28|           part, pas même chez les rois.~ ~ ~ ~Bœhmer s’inclina,
17    I,      30|       croit au-dessus de tous les rois et de tous les ambassadeurs
18    I,      42|         cour, vous connaissez les rois, et vous vous laissez prendre
19    I,      42|          à millions, qui seraient rois quelque part si l’envie
20   II,      54|       traître. Dans la bouche des rois cette accusation précède
21   II,      75|          pourquoi il faut que les rois purifient, et par de grands
22   II,      78|   clémence.~ ~ ~– La clémence des rois est faite pour les coupables,
23   II,      97|        que je suis du sang de vos rois ? Savez-vous qu’on frappe