Tome,  Chap.

 1    I,       4|   serviteur, beaucoup plus à son aise dans cette langue que dans
 2    I,       9|    Artois se trouvèrent plus à l’aise.~ ~ ~– Mon frère, dit alors
 3    I,      13|           pour penser plus à son aise sans doute, la comtesse
 4    I,      17|   pouvaient regarder tout à leur aise ce front pâle, ces lèvres
 5    I,      23|       Madame s’amuser tout à son aise. Que diable ! ce n’est pas
 6    I,      23|    laissé intriguer tout à votre aise ce pauvre Beausire, mais
 7    I,      27|        cela vous mettra plus à l’aise, et moi aussi.~ ~ ~– Oui,
 8    I,      27|    chancelier, je serai plus à l’aise, car je vous avouerai, monsieur
 9    I,      27|               Ducorneau, mis à l’aise, mangea comme dix grands
10    I,      34|         d’ailleurs, et suis bien aise que tu en agisses de la
11    I,      35|        qui on le prouve est fort aise de les voir fouetter, essoriller,
12    I,      39|      interrogeait, savourait à l’aise ses observations sur les
13    I,      42|    préférez le Portugal, à votre aise, monsieur Bœhmer.~ ~ ~–
14    I,      42|         vous serez bien plus à l’aise de toucher cinq cent mille
15   II,      48|    veux-je dire, et je suis bien aise qu’une femme de goût me
16   II,      48|      madame, fit Jeanne mise à l’aise par cette familiarité, comme
17   II,      52| doucement, et respirant plus à l’aise.~ ~ ~– Non, cher docteur,
18   II,      62|      Vous en parlez bien à votre aise, vous, dit-elle ; vous allez,
19   II,      68|      Vous irez donc tout à votre aise à Versailles, tandis que
20   II,      77|          le sais pas, et je suis aise de l’apprendre de vous.~ ~ ~–
21   II,      85|      baron, qui sortit mal à son aise, prévoyant quelque traverse.~ ~ ~ ~