Tome,  Chap.

 1    I,    Pro2|           de Favras, résumant le sentiment général, se leva, fit un
 2    I,      12|      réellement fort, soit qu’un sentiment irrésistible l’entraînât
 3    I,      30|          du nom portugais est un sentiment trop puissant pour que Son
 4    I,      31|     avaient dans le cœur le même sentiment, et, sans se le communiquer
 5    I,      34| vertèbres d’un serpent ; mais un sentiment l’arrêta, un sentiment de
 6    I,      34|        un sentiment l’arrêta, un sentiment de curiosité douloureuse,
 7    I,      37|      rend, sans en rien ôter, le sentiment qui est celui de toute ma
 8   II,      48|        pour Votre Majesté est un sentiment tellement respectueux, que,
 9   II,      50|         ardente que par un froid sentiment des convenances.~ ~ ~ ~Au
10   II,      50|          Andrée, quel que fût le sentiment qui eût dicté cet avis,
11   II,      51|        plus qu’une pensée, qu’un sentiment, qu’un reflet ; son corps
12   II,      52|          doute au docteur sur le sentiment qui les avait dictées.~ ~ ~–
13   II,      52|          femmes mues par un même sentiment, et aux symptômes il croyait
14   II,      52|       croyait reconnaître que ce sentiment c’était un violent amour.~ ~ ~ ~
15   II,      55|       tout pétri d’honneur et de sentiment, mais peu soucieux de sa
16   II,      66|        rappela tout d’un coup au sentiment de sa force comme à celui
17   II,      71|     après l’épreuve comme avant. Sentiment tout à fait masculin, dont
18   II,      86|       haine de femme à femme, le sentiment d’une supériorité incomparable
19   II,      97|        Jeanne.~ ~ ~ ~Et un vague sentiment d’inquiétude la fit tressaillir,