Tome,  Chap.

 1    I,      11|       va bien » donnant fort à penser à tout le monde.~ ~ ~ ~Tout
 2    I,      13|   heure.~ ~ ~ ~Là-dessus, pour penser plus à son aise sans doute,
 3    I,      21|      oubliant la protégée pour penser à la protectrice ; il ne
 4    I,      33|    mains ?~ ~ ~– Qui vous fait penser cela, monsieur ? dit Cagliostro.~ ~ ~–
 5    I,      33|        vient cette témérité de penser que vous avez raison, que
 6    I,      36|       à Sa Majesté d’avoir osé penser si librement sur sa conduite,
 7    I,      38|        fut-elle malheureuse de penser qu’une autre femme allait
 8    I,      38|      fit Andrée.~ ~ ~– On peut penser que le roi est venu par
 9    I,      41|             J’ai fait plus que penser à vous.~ ~ ~– Qu’avez-vous
10    I,      47|     vous c’est peine perdue de penser, c’est vingt fois surabondant
11   II,      57| toujours de fièvre ; pour bien penser, il faut pouvoir s’absorber
12   II,      60|            Mais à quoi vais-je penser, dit-elle, tout à coup ;
13   II,      66|       Charny s’étonna alors de penser pour la première fois que
14   II,      69|   tenir ; et, chose affreuse à penser, elle avait promis sachant
15   II,      80|         dire ce qu’elle pense, penser ce qu’elle dit, voilà le
16   II,      89|       mais il y a tout lieu de penser qu’ils furent satisfaits.~ ~ ~ ~
17   II,      90|      Beausire, rien ne me fera penser à madame de La Motte, ni
18   II,      90|        cette fille ?~ ~ ~– Que penser autrement ?~ ~ ~– Mais qu’
19   II,      97|         Oui, la reine avait dû penser à ce que son ennemie fût