Chap.

  1      I|               en 1813, à Jean-Claude Hullin, un ancien volontaire de
  2      I| considération parmi les montagnards. Hullin était un homme trapu et
  3      I|            fin de la campagne.~ ~ ~ ~Hullin se rappelait toujours avec
  4      I|                Tel était Jean-Claude Hullin.~ ~ ~ ~C’était un homme
  5      I|      seulement un peu moins sauvage. Hullin lui pardonnait tout ; il
  6      I|              partageait les idées de Hullin au sujet de Louise.~ ~ ~«
  7      I|              heures de l’après-midi, Hullin, courbé sur son établi,
  8      I|          depuis deux heures, lorsque Hullin, jetant par hasard un coup
  9      I|           écarter.~ ~ ~« Tiens ! fit Hullin, voici Yégof… Je ne m’attendais
 10      I|            cousin.~ ~ ~ ~Jean-Claude Hullin riait de ces choses, n’ayant
 11      I|              bien possible, répondit Hullin ; le pauvre diable aurait
 12      I|              embrassa de nouveau, et Hullin, la regardant d’un œil attendri,
 13      I|           mais comme au même instant Hullin parut sur le seuil avec
 14      I|      conclure une alliance avec toi, Hullin. Tu n’ignores pas que j’
 15      I|        rougit jusqu’aux oreilles, et Hullin partit d’un éclat de rire
 16      I|              souviens très bien, dit Hullin toujours en riant ; mais
 17      I|          mille ans !~ ~ ~– Bah ! fit Hullin.~ ~ ~– Oui, c’est cette
 18      I|          Yégof se prit à rire.~ ~ ~ ~Hullin, qui ne connaissait guère
 19      I|                   Écoute, Yégof, dit Hullin, je suis très flatté de
 20      I|               Puis se levant :~ ~ ~« Hullin, dit-il en reprenant son
 21      I|                  Et il sortit.~ ~ ~ ~Hullin partit d’un immense éclat
 22     II|              manière agréable.~ ~ ~ ~Hullin, resté seul en face de sa
 23     II|         tinter neuf heures, et comme Hullin reprenait sa besogne, la
 24     II|            est vous, Catherine ? dit Hullin tout surpris.~ ~ ~– Oui,
 25     II|         asseoir au coin de l’établi. Hullin la regardait fixement ;
 26     II|             voir cet après-midi, fit Hullin, sans attacher d’autre importance
 27     II|        instant de silence, regardant Hullin ébahi, elle poursuivit lentement.~ ~ ~«
 28     II|     veut-elle en venir ? » se disait Hullin.~ ~ ~ ~La vieille poursuivit :~ ~ ~«
 29     II|              un chien ! »~ ~« Alors, Hullin, poursuivit la fermière
 30     II|            pensez-vous de tout cela, Hullin ?~ ~ ~– Moi ! fit le sabotier,
 31     II|        parole d’Évangile.~ ~ ~– Non, Hullin, ce n’est pas cela… Vous-même,
 32     II|        arrivées ?… La guerre va mal, Hullin, nous avons tout le monde
 33     II|           serait tout surpris. »~ ~ ~Hullin observait la vieille femme
 34     II|              m’avez un peu rassurée, HullinMaintenant je remonte à
 35    III|            lendemain, au petit jour, Hullin, revêtu de sa culotte de
 36    III|              cachet militaire.~ ~ ~ ~Hullin, poussé par sa robuste nature
 37    III|              Cet enthousiasme ranima Hullin.~ ~ ~« À la bonne heure !
 38    III|         gouverneur. »~ ~ ~Tout cela, Hullin le vit et l’entendit en
 39    III|        faisait frémir le pavé.~ ~ ~ ~Hullin, tout réjoui, n’était plus
 40    III|          pendant entre les échelles. Hullin, en face de ce lugubre spectacle,
 41    III|          silencieux.~ ~ ~ ~Et, comme Hullin regardait ainsi, sentant
 42    III|           fit-il, huit parts ! »~ ~ ~Hullin ne put en voir davantage ;
 43    III|              de vin, bien vite ! dit Hullin, qui se sentait mal. Oh !
 44    III|               le typhus, voyez-vous, Hullin, tue plus de monde que le
 45    III|           petit verre d’eau-de-vie ; Hullin assis près de la fenêtre
 46    III|        douzaines.~ ~ ~– Mais, reprit Hullin après un moment de silence,
 47    III|            Friedland, Wagram ! »~ ~ ~Hullin était devenu tout pensif.~ ~ ~«
 48    III|            dites-lui que Jean-Claude Hullin l’embrasse, et qu’on attend
 49    III|                Le sergent sortit, et Hullin vida sa chope tout rêveur.~ ~ ~«
 50    III|                 apporte le paquet de Hullin. »~ ~ ~Une petite femme
 51    III|            maître Jean-Claude. »~ ~ ~Hullin sortit et traversa la place
 52     IV|                      IV~ ~Tandis que Hullin apprenait le désastre de
 53     IV|              Mon Dieu, oui, monsieur Hullin, comme vous voyez, répondit
 54     IV|         jetant un regard profond sur Hullin, comme pour deviner d’avance
 55     IV|           parlez, Jean-Claude. »~ ~ ~Hullin alors, les coudes en avant,
 56     IV|             avait pas tort, répondit Hullin ; mais qu’est-ce que cela
 57     IV|       défendre ! Ce n’est pas à moi, Hullin, que vous croyez parler.
 58     IV|              dont avait parlé Yégof. Hullin lui tendit la main en silence ;
 59     IV|            en avoir. Comprenez-vous, Hullin ?~ ~ ~– Je comprends ; c’
 60     IV|     rebâtissons ses châteaux !~ ~ ~ ~Hullin s’aperçut alors qu’elle
 61     IV|            Blanru.~ ~ ~« Bonne nuit, Hullin, dit la mère Lefèvre.~ ~ ~–
 62     IV|           deux mois, ne vivait plus. Hullin se garda bien de lui montrer
 63      V|              V~ ~Lorsque Jean-Claude Hullin, en manches de chemise,
 64      V|              pas de déjeuner ! »~ ~ ~Hullin mit ses gros souliers ferrés
 65      V|          écoulaient dans le sentier. Hullin monta sur le mur pour gravir
 66      V|              à la scierie du Valtin. Hullin se croyait donc sûr du contrebandier,
 67      V|              du village des Charmes, Hullin, grimpant le sommet du pic,
 68      V|          parlant à elle-même :~ ~ ~« Hullin !… le sabotier !… Qu’est-ce
 69      V|             presse. »~ ~ ~Ce disant, Hullin se courbait sous la porte
 70      V|               où est donc Marc ? dit Hullin en s’asseyant au coin de
 71      V|             poches.~ ~ ~– C’est toi, Hullin ? interrompit une voix brusque
 72      V|          Marc Divès se dressa devant Hullin, en bâillant et détirant
 73      V|              ce monde.~ ~ ~« Ma foi, Hullin, s’écria Marc après être
 74      V|       Hexe-Baizel, donne la chaise à Hullin ! »~ ~ ~Puis il s’assit
 75      V|            bleuâtre.~ ~ ~« Marc, dit Hullin après un instant de silence,
 76      V|              dit Marc d’un ton rude, Hullin les prend ; sa parole me
 77      V|  réchauffions un peu le cœur. Ce que Hullin vient de me dire me réjouit.
 78      V|             elle qui m’envoie », dit Hullin.~ ~ ~ ~Alors Marc Divès
 79      V|           aussi, Jean-Claude ! »~ ~ ~Hullin but, puis la vieille.~ ~ ~«
 80      V|            écria Divès, mais écoute, Hullin, il ne faut pas croire que
 81      V|              pinsons d’Ardennes, dit Hullin.~ ~ ~– Oui, c’est le dernier
 82      V|          lanterne, je vais montrer à Hullin nos provisions de poudre
 83      V|          bout d’une corde. – Allons, Hullin, suis-moi. »~ ~ ~Ils sortirent,
 84      V|          Divès, qui lui cria :~ ~ ~« Hullin, pose ta main à gauche,
 85      V|             découvert cela ? s’écria Hullin tout émerveillé.~ ~ ~– C’
 86      V|         arrive ici. Quelle bataille, Hullin ! Le vieux et la vieille
 87      V|            sur le roc vif, apparut à Hullin. Au fond s’élevaient une
 88      V|                     Divès se tut, et Hullin tout rêveur lui demanda :~ ~ ~«
 89      V|             Je le crois bien ! pensa Hullin, en songeant qu’il lui faudrait
 90      V|               Pauvre diable, murmura Hullin d’un ton grave, il vient
 91      V|              fou ? – Allons-nous-en, Hullin, la vue de ce malheureux
 92      V|            ténèbres, faillit éblouir Hullin. Heureusement, la haute
 93      V|            se dérida.~ ~ ~« Toi ici, Hullin ? dit-il. Serais-tu enfin
 94      V|             ne t’en supposais. »~ ~ ~Hullin ne put s’empêcher de rire.~ ~ ~«
 95      V|            est pour la seconde fois, Hullin, que je te réitère ma demande,
 96      V|           sentier de la roche.~ ~ ~ ~Hullin, Marc Divès et Hexe-Baizel
 97      V|           route, Jean-Claude ! »~ ~ ~Hullin le suivit sur la terrasse,
 98      V|              montagne, n’est-ce pas, Hullin ?~ ~ ~– Oui, c’est la première
 99      V|              droite, vers le Donon ; Hullin le sentier à gauche, vers
100      V|    éloignaient d’un bon pas, lorsque Hullin rappela son camarade :~ ~ ~«
101     VI|             se défendre. Jean-Claude Hullin, en de telles circonstances,
102     VI|          suivant, Labarbe accompagna Hullin jusque chez l’anabaptiste
103     VI|         défilé du Blanru, après quoi Hullin, satisfait de sa tournée,
104     VI|              parlait même tout haut. Hullin prêta l’oreille, mais une
105     VI|           air résolu qui fit sourire Hullin, mais ce sourire s’effaça
106     VI|           vous serez content ! »~ ~ ~Hullin ne revenait pas de sa stupeur.~ ~ ~«
107     VI|            bras :~ ~ ~« Allons, papa Hullin, dit-elle d’une voix tendre,
108     VI|                     Elle sanglotait. Hullin ne put y tenir davantage.…
109     VI|          guerre !~ ~ ~–  ! s’écria Hullin en hochant la tête, je le
110     VI|          leste, si riante, si jolie. Hullin, le coude sur la table,
111     VI|                    Le repas terminé, Hullin se leva et dit à sa fille : «
112     VI|            sur le Falkenstein. »~ ~ ~Hullin était tout pâle ; il remit
113    VII|                     Tous les amis de Hullin, de Marc Divès et de la
114    VII|    simplement à dire : « Attendons ; Hullin n’est pas encore arrivé,
115    VII|            la mère Catherine ! »~ ~ ~Hullin, resté en arrière, son grand
116    VII|                ! cela va chauffer, Hullin !~ ~ ~– Oui, oui, nous allons
117    VII|                 Quelque temps après, Hullin, en s’approchant du feu,
118    VII|        réunis en face de la scierie. Hullin, devenu grave, monta sur
119    VII|             avais à vous dire ! cria Hullin tout pâle. Puisque vous
120    VII|      pourquoi ne choisissez-vous pas Hullin ? En est-il un seul qui
121    VII|               je propose Jean-Claude Hullin.  ! là-bas ! entendez-vous ?
122    VII|              chef.~ ~ ~– Oui ! oui ! Hullin ! s’écrièrent Labarbe, Divès,
123    VII|           veulent pas de Jean-Claude Hullin pour chef lèvent la main. »~ ~ ~
124    VII|              qui veulent Jean-Claude Hullin pour chef lèvent la main. »~ ~ ~
125   VIII|            Tous ceux que Jean-Claude Hullin avait désignés se réunirent
126   VIII|           ici !~ ~ ~– Camarades, dit Hullin, vous connaissez tous le
127   VIII|           tranquille, Marc, répondit Hullin en riant, les occasions
128   VIII|   contrebandier, que la réflexion de Hullin sur ses caves avait touché,
129   VIII|              bien comprise ? demanda Hullin.~ ~ ~– Oui, oui, c’est entendu.~ ~ ~–
130   VIII|      sortirent alors de la hutte, et Hullin, en présence de tout le
131   VIII|            un ton plus grave :~ ~ ~« Hullin, il faut que je vous tire
132   VIII|              docteur, j’ai tort, dit Hullin en lui serrant la main.
133   VIII|              au village des Charmes. Hullin, Materne et ses garçons
134     IX|             de pain par homme. »~ ~ ~Hullin, de sa place, regardait
135     IX|        autrement.~ ~ ~ ~En ce moment Hullin, élevant la voix, dit :~ ~ ~«
136     IX|           cri d’enthousiasme :~ ~ ~« Hullin ! Le docteur Lorquin ! Materne !
137     IX|          revoir sain et sauf, disait Hullin.  !  ! sans te flatter,
138     IX|           pourtant que l’âge ! »~ ~ ~Hullin avait allumé sa pipe et
139     IX|           voici ma permission. »~ ~ ~Hullin, qui n’avait pas de fausse
140     IX|             son oreille, sanglotait. Hullin vidait les cendres de sa
141     IX|          tout haut. Gaspard se leva. Hullin se posa entre eux, et lui
142     IX|      embrassades d’adieu avec calme. Hullin tenait le fusil ; Catherine
143     IX|              Louise lui répondirent. Hullin s’avançait alors à la rencontre
144      X|                       X~ ~Tandis que Hullin, à la tête des montagnards,
145      X|             pour la troupe du Donon. Hullin, le docteur Lorquin, Louise,
146     XI|                     XI~ ~Tout ce que Hullin avait ordonné s’était accompli : ;
147     XI|            éveil ; on courut avertir Hullin, qui dormait depuis une
148     XI|              ville est attaquée, dit Hullin ; mais du côté de Lutzelstein ?~ ~ ~–
149     XI|           Bonne chance ! » leur cria Hullin, tandis qu’ils remontaient
150     XI|             disparurent.~ ~ ~ ~Alors Hullin rentra tranquillement à
151    XII|             moi, de trahir le pays ! Hullin nous avait bien dit d’être
152    XII|                Voici Materne ! »~ ~ ~Hullin lui-même, aussi curieux
153    XII|                C’est un Cosaque, dit Hullin, en serrant la main de Materne.~ ~ ~–
154    XII|          vides. Enfin, voilà ! »~ ~ ~Hullin alors, le tirant à part,
155   XIII|            allants et venants.~ ~ ~ ~Hullin avait établi son quartier
156   XIII|        pendait aux moustaches.~ ~ ~ ~Hullin, seul, en face de la grande
157   XIII|          place qu’il devait prendre. Hullin avait aussi envoyé l’ordre
158   XIII|             pas lourd de ces hommes. Hullin rêveur, la tête entre les
159   XIII|              de Materne, vint dire à Hullin que Marc Divès, avec un
160   XIII|            de beau et de bien.~ ~ ~– Hullin, vous êtes un rabâcheur ;
161   XIII|               tenez, vous m’ennuyez, Hullin. Je vais me chauffer. »~ ~ ~
162   XIII|             Ça me réchauffera. »~ ~ ~Hullin, la regardant s’éloigner,
163   XIII|             sa horde endormie.~ ~ ~ ~Hullin, lui, n’y vit qu’un fou,
164   XIII|                  Cela dépend de toi, Hullin ; ton sort, et celui de
165   XIII|              a seize cents ans ! dit Hullin ; diable, Yégof, ça nous
166   XIII|                 Prends garde !… » ~ ~Hullin, désespérant de lui faire
167   XIII|              dans cet endroit.~ ~ ~ ~Hullin mangeait alors un morceau
168    XIV|           répandre des larmes.~ ~ ~ ~Hullin, quoique ferme, paraissait
169    XIV|           bien, Simon, j’arrive, dit Hullin en se levant. Louise, embrasse-moi ;
170    XIV|           debout à côté d’eux.~ ~ ~ ~Hullin avait l’œil perçant, rien
171    XIV|           est-ce que ça prouve ? dit Hullin. De mon temps, nous en avons
172    XIV|        glissante.~ ~ ~ ~L’arrivée de Hullin leur fit plaisir.~ ~ ~«
173    XIV|            son vin de l’an XI. »~ ~ ~Hullin n’écoutait plus, car, jetant
174     XV|            cela, songeait à Gaspard. Hullin, qui venait d’arriver avec
175     XV|          guerre ! répondit gravement Hullin.~ ~ ~– Est-ce qu’il n’y
176     XV|           faire.~ ~ ~« Bah ! lui dit Hullin, tant mieux ! D’ailleurs
177     XV|      méditaient une vengeance.~ ~ ~ ~Hullin, ne pouvant les consoler,
178     XV|             salle, en criant :~ ~ ~« Hullin ! où est Hullin ?~ ~ ~–
179     XV|                      Hullin ! où est Hullin ?~ ~ ~– Me voilà !~ ~ ~–
180     XV|     découverte à pente escarpée, que Hullin n’avait pas jugé nécessaire
181     XV|         abatis. Divès ne disait mot. Hullin, dominant sa colère, se
182     XV|           marche, côtoyant le ravin. Hullin, tout pâle, cria :~ ~ ~«
183     XV|              y porter la main ; mais Hullin et Materne ne s’y trompaient
184     XV|              la première fois.~ ~ ~ ~Hullin avait remarqué les échelles
185     XV|            de Frantz, et dirigés par Hullin, reprenaient les positions
186    XVI|              pas les sentinelles que Hullin venait de poser en passant,
187    XVI|                  C’est Marc Divès et Hullin, dit Kasper en prêtant l’
188    XVI|            trois prisonniers, disait Hullin d’un ton brusque ; puisque
189    XVI|      arrivaient alors à la porte, et Hullin, apercevant Materne, ne
190    XVI|                    Bah ! interrompit Hullin, qui voyait poindre la dispute
191    XVI|                  Il s’éloigna.~ ~ ~ ~Hullin dit encore à Frantz et à
192   XVII|            du dehors n’arrivait là ; Hullin, après tant de scènes tumultueuses,
193   XVII|             dans le trou de la cave. Hullin croyait sortir d’un rêve.~ ~ ~ ~
194   XVII|            la voir commander ainsi ; Hullin en avait les larmes aux
195   XVII|        grande fille obéissait.~ ~ ~ ~Hullin n’avait jamais eu de plus
196   XVII|             vous n’avez rien ? »~ ~ ~Hullin, à cette voix du cœur, pâlit
197   XVII|               voici ma chaise. »~ ~ ~Hullin s’assit, et Louise, s’asseyant
198   XVII|         trois ou quatre tours.~ ~ ~ ~Hullin, souriant malgré lui et
199   XVII|            étonne.~ ~ ~– Non, maître Hullin, c’est tout simple. Le roi
200   XVII|          avons brassé la pâte. »~ ~ ~Hullin écoutait tout émerveillé.~ ~ ~«
201   XVII|           blessés, docteur ? s’écria Hullin en entrant.~ ~ ~– Tout est
202    XIX|        bataillons en retraite.~ ~ ~ ~Hullin, éveillé de bonne heure,
203    XIX|          quatre heures, Catherine et Hullin se trouvaient seuls dans
204    XIX|            donc, Catherine ? demanda Hullin. Depuis ce matin je vous
205    XIX|            tourmente. »~ ~ ~Et comme Hullin la regardait d’un air interrogatif : «
206    XIX|             accent de conviction que Hullin en frémit.~ ~ ~ ~Il y eut
207    XIX|                    N’importe ! »~ ~ ~Hullin haussa les épaules :~ ~ ~«
208    XIX|             autres ont oublié. »~ ~ ~Hullin allait lui raconter sa conversation
209    XIX|             elle s’indignait de voir Hullin tourner son rêve en ridicule,
210    XIX|             avec enthousiasme.~ ~ ~ ~Hullin s’était rapproché, tout
211     XX|          avoir souhaité le bonsoir à Hullin, montèrent dans la chambre
212     XX|            courait.~ ~ ~ ~La voix de Hullin, sèche, vibrante, s’entendait
213     XX|                la porte s’ouvrit, et Hullin parut avec une lanterne,
214     XX|             arrivant sur l’escalier, Hullin cria :~ ~ ~« Les voici,
215     XX|          prenaient en écharpe.~ ~ ~ ~Hullin disparut à l’angle de la
216     XX|            pied, frémissant de rage. Hullin assit Catherine dans le
217     XX|               sauve qui peut ! »~ ~ ~Hullin pâlit.~ ~ ~« C’est le grand
218     XX|              d’un air bizarre.~ ~ ~ ~Hullin dit :~ ~ ~« Camarades, voici
219     XX|          brave homme.~ ~ ~– Et vous, Hullin ? fit Catherine.~ ~ ~– Moi,
220     XX|            pas à temps pour soutenir Hullin, tout est perdu ; il faudra
221     XX|              à coup de ses rêveries, Hullin aurait bien pu me dire…~ ~ ~–
222    XXI|                Alors vous croyez que Hullin sera forcé d’abandonner
223    XXI|                   J’arrive, répondit Hullin, j’arrive !~ ~ ~– Mon père ?
224    XXI|             instant dans les bras de Hullin.~ ~ ~« Oh ! Jean-Claude,
225    XXI|        Louise était dans les bras de Hullin, et pleurait à chaudes larmes.~ ~ ~«
226    XXI|           tard… le temps presse, dit Hullin ; la route du Donon est
227    XXI|              troupes de Jérôme et de Hullin se trouvaient ainsi réunis.~ ~ ~ ~
228    XXI|              d’une fenêtre à droite, Hullin à gauche, tout pâle. Marc
229    XXI|            fit tressaillir ; c’était Hullin qui parlait.~ ~ ~« Tous
230    XXI|           bout de quelques secondes, Hullin ajouta d’un ton plus calme :~ ~ ~«
231    XXI|             En ce moment, la voix de Hullin reprit son timbre frémissant ;
232    XXI|              inflexible.~ ~ ~ ~Alors Hullin, d’un ton plus ferme, exposa
233    XXI|              Materne et ses garçons, Hullin, le docteur Lorquin sont
234    XXI|            Tout le monde se leva, et Hullin, entrant dans la cuisine,
235    XXI|         Colon se leva et dit :~ ~ ~« Hullin, nous sommes tous avec toi ;
236    XXI|              puis, d’une voix forte, Hullin poursuivit :~ ~ ~« Colon,
237    XXI|     Catherine, en se retournant, vit Hullin derrière elle pâle comme
238    XXI|             arrière-garde. Frantz et Hullin, à gauche, observaient le
239   XXII|            le sentier du vieux burg. Hullin, se rappelant qu’il avait
240   XXII|           est déjà presque fini, dit Hullin à voix basse.~ ~ ~– Oui,
241   XXII|           abri ; puis il sortit avec Hullin pour examiner la position.~ ~ ~ ~
242  XXIII|            tenir davantage ; il prit Hullin à part.~ ~ ~« Regarde, lui
243  XXIII|              le demande franchement, Hullin.~ ~ ~– I1 ne pourra rien
244  XXIII|              Que veux-tu faire ? dit Hullin d’un ton sec ; tu veux te
245  XXIII|       penses-tu ?~ ~ ~ ~Il regardait Hullin, dont l’œil fixe et sombre
246  XXIII|         entre nous !~ ~ ~– Marc, dit Hullin, pardonne-moi, ces jours-ci
247  XXIII|             en toi. »~ ~ ~La voix de Hullin tremblait. Divès se laissa
248  XXIII|              la brèche en tâtonnant. Hullin écouta quelques secondes
249  XXIII|            vrai, Catherine, répondit Hullin. Je ne m’attendais pas à
250   XXIV|             elle se retourna, et vit Hullin avec les trois contrebandiers,
251   XXIV|              points que lui montrait Hullin dans la montagne ; et les
252   XXIV|           Yégof !~ ~ ~– Mais, reprit Hullin, il me semble que trois
253   XXIV|             Après ça, dit Toubac, si Hullin veut, nous essayerons tout
254   XXIV|             que dans le ciel ! »~ ~ ~Hullin se retourna en ce moment
255   XXIV|                 C’est la vérité, dit Hullin. Marc Divès et moi, nous
256   XXIV|           verrons ! »~ ~ ~Ce disant, Hullin, Catherine et les contrebandiers,
257   XXIV|           vouloir nous parler. »~ ~ ~Hullin, se dirigeant aussitôt vers
258   XXIV|   paraissaient du même avis, excepté Hullin, qui, sans faire aucune
259   XXIV|                  C’est au commandant Hullin que j’ai l’honneur de m’
260   XXIV|          matière de devoir, répondit Hullin, il n’y a pas de plus ou
261   XXIV|             Il se retourna donc vers Hullin et lui dit :~ ~ ~« Je suis
262   XXIV|           commandant, décidez.~ ~ ~ ~Hullin se tourna vers les partisans
263   XXIV|         précipitant dans les bras de Hullin avec une sorte d’effroi,
264   XXIV|              est bien, monsieur, dit Hullin tout pâle ; allez, dites
265   XXIV|            Falkenstein.~ ~ ~ ~Ce que Hullin avait ordonné au sujet des
266    XXV|       conduits au Falkenstein.~ ~ ~ ~Hullin, avec une force de caractère
267    XXV|             parlait plus ce soir-là, Hullin, Jérôme, le vieux Materne
268    XXV|          genoux ; et, chose bizarre, Hullin, portant les yeux dans les
269    XXV|         groupes mornes des assiégés, Hullin seul veillait encore au
270    XXV|       Charmes sonnait quatre heures. Hullin, à ces vibrations lointaines,
271    XXV|            Catherine s’écria :~ ~ ~« Hullin… Hullin… qui a parlé ?~ ~ ~ ~
272    XXV|              s’écria :~ ~ ~« Hullin… Hullin… qui a parlé ?~ ~ ~ ~Jean-Claude,
273    XXV|             feux de peloton, s’écria Hullin, les nôtres tirent aussi
274    XXV|                   C’est Marc, disait Hullin : c’est la voix de Marc.~ ~ ~–
275    XXV|   argentaient les brumes de l’abîme. Hullin, jetant un regard à travers
276    XXV|                     C’est fini ! dit Hullin à Jérôme. Qu’est-ce que
277    XXV|              Ah le brigand ! s’écria Hullin. Voyez, il dit que Piorette
278   XXVI|           rousse.~ ~ ~ ~Vers minuit, Hullin se leva, et s’adressant
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