Chap.

  1      I|         vient chez nous.~ ~ ~– C’est bien possible, répondit Hullin ;
  2      I|           demande, ma foi, je serais bien en peine de la lui refuser.~ ~ ~–
  3      I|                Cette monnaie en vaut bien une autre. »~ ~ ~Yégof se
  4      I|          mais c’est pour une affaire bien autrement grave, c’est pour
  5      I|            fou d’une voix creuse. Eh bien ! tu as tort de rire… Cette
  6      I|                  Je me souviens très bien, dit Hullin toujours en
  7      I|            et de toute la France… Eh bien, vous avez tort ! nous vous
  8      I|            remuerez plus… vous serez bien tranquilles !  !  ! »~ ~ ~
  9      I|      apprécier la beauté… C’est très bien… mais ma fille est déjà
 10      I|         dents claquent de misère… Eh bien ! la folie est plus forte
 11     II|       Madeleine Rochart.~ ~ ~– C’est bien. »~ ~ ~Alors Catherine rejeta
 12     II|           vous connaissais pas aussi bien, Catherine, je dirais que
 13     II|            vous le dire, moi : c’est bien sûr un de ces maîtres d’
 14    III|       réguliers : elles sont basses, bien alignées ; construites en
 15    III|          jusqu’à ce soir… Vous aurez bien mérité de la patrie ! »~ ~ ~
 16    III|          fête ici… Les alliés seront bien reçus. »~ ~ ~En face du
 17    III|                se disait-il, tout va bien ! J’ai fait assez de sabots
 18    III|            reprendre le mousquet, eh bien ! tant mieux : nous allons
 19    III|              huit ?~ ~ ~– Vous voyez bien, sergent, que ces deux sont
 20    III|                  Une chopine de vin, bien vite ! dit Hullin, qui se
 21    III|             papa Wittmann, vous avez bien fait d’allumer du feu au
 22    III|           Alors il vit ? il se porte bien ?~ ~ ~– Oui, mon bourgeois.
 23    III|  particulière.~ ~ ~– Elle a donc été bien rude !~ ~ ~– Rude ! c’est-à-dire
 24    III|         conscrits ! ils se battaient bien ; mais ils n’avaient pas
 25    III|             suis un parent.~ ~ ~– Eh bien ! on peut se vanter d’être
 26    III|             les gens vous recevaient bien, on buvait du petit vin
 27    III|            de ce côté-ci du Rhin. Et bien ! il y en a bien sûr en
 28    III|            Rhin. Et bien ! il y en a bien sûr en marche depuis Moscou,
 29     IV|          rien à faire, la vie serait bien ennuyeuse !~ ~ ~– C’est
 30     IV|              il apportait :~ ~ ~« Eh bien ! Jean-Claude, vous êtes
 31     IV|       derrière le fourneau.~ ~ ~« Eh bien ? demanda la fermière en
 32     IV|       rouleau sur la table.~ ~ ~– Eh bien, de Gaspard, les nouvelles
 33     IV|          bonnes : le garçon se porte bien. Il en a vu de dures !…
 34     IV|          droite, à gauche, ce serait bien étonnant s’il ne voyait
 35     IV|              ont déjà exterminés, eh bien ! je leur en veux… je les
 36     IV|              ou lumineuses. Au loin, bien loin derrière la côte, un
 37     IV|         vivait plus. Hullin se garda bien de lui montrer le nuage
 38      V|                  Marc dort.~ ~ ~– Eh bien ! il faut l’éveiller, le
 39      V|             d’une traverse.~ ~ ~« Eh bien ! où est donc Marc ? dit
 40      V| entendez-vous ?~ ~ ~– J’entends très bien, chère Hexe-Baizel ; mais
 41      V|        toujours mal, – ce qui prouve bien la justice du Seigneur en
 42      V|              faisons qu’un.~ ~ ~– Eh bien ! Marc, je viens t’acheter
 43      V|             les prenez ! je le crois bien ! mais qui est-ce qui les
 44      V|              les semailles aussi. Eh bien ! regarde : il y a plus
 45      V|          entré dans la cave, il peut bien nous croire sur parole.
 46      V|             sur parole. Nous croyons bien, nous, qu’il nous payera.
 47      V|            dans mon sac. Après cela, bien tranquille, j’entre, et
 48      V|            brèche.~ ~ ~– Je le crois bien ! pensa Hullin, en songeant
 49      V|          pied te glissait ?~ ~ ~– Eh bien ! ce serait fini ! Autant
 50      V|        accepte l’honneur que tu veux bien me faire. D’ailleurs, Louise
 51      V|              ça ; Baizel, écoute-moi bien : tu vas commencer à fondre
 52      V|              Lefèvre que tout marche bien. Dis-lui que je vais dans
 53     VI|            telles circonstances, fut bien reçu partout.~ ~ ~ ~Ce jour
 54     VI|           les observations : « C’est bien… c’est juste… mais l’Évangile
 55     VI|        enthousiasme, quand, au loin, bien loin encore, dans les ombres
 56     VI|   Jean-Claude ! Oh ! je vous aimerai bien ! Oh ! n’est-ce pas que
 57     VI|              Lefèvre que tout allait bien, et que les montagnards
 58     VI|             mais ce sourire s’effaça bien vite quand elle ajouta :~ ~ ~«
 59     VI|     abandonner !~ ~ ~– Mais tu seras bien mieux ici… tu auras chaud 60     VI|            toi, mon enfant.~ ~ ~– Eh bien ! tant pis… je me sauverai,
 61     VI|             Oh ! vous me croyez donc bien mauvais cœur ! »~ ~ ~Elle
 62     VI|             tenir davantage.… Est-ce bien vrai que maman Lefèvre consent ?
 63     VI|              suis contente. »~ ~– Eh bien !… que puis-je faire contre
 64     VI|              embrassèrent :~ ~ ~« Eh bien donc, regardons les paquets,
 65     VI|             avec un soupir. Sont-ils bien faits, au moins ? »~ ~ ~
 66     VI|        gilets de flanelle, tout cela bien brossé, bien plié, bien
 67     VI|               tout cela bien brossé, bien plié, bien empaqueté ; puis
 68     VI|              bien brossé, bien plié, bien empaqueté ; puis le paquet
 69     VI|           content !~ ~ ~– Il le faut bien ! Mais, pendant tout ce
 70     VI|              village à la Suisse, et bien plus loin encore. Ah ! maître
 71     VI|             maître Jean-Claude avait bien raison de crier : « Heimathslôs !
 72     VI|         cette besogne.~ ~ ~« Cela va bien encore », murmura-t-il.~ ~ ~ ~
 73     VI|        pencha dans l’ombre.~ ~ ~« Eh bien, Marc, quelles nouvelles ?~ ~ ~–
 74    VII|              la montagne. Il y avait bien alors quelques centaines
 75    VII|              Oui ! oui !~ ~ ~– C’est bien ; mais écoutez-moi. Je ne
 76    VII|         accord pour vous battre ! Eh bien, cela me réjouit de voir
 77    VII|            obéi. Ainsi, réfléchissez bien, car de cet homme va dépendre
 78    VII|       profiter de nos positions ? Eh bien ! pourquoi ne choisissez-vous
 79   VIII|              Maintenant, écoutez-moi bien. Entre Phalsbourg et Saint-Dié,
 80   VIII|        meilleures embuscades, on est bien à couvert et l’on voit venir.
 81   VIII|       idées-là, nous avons une chose bien simple à faire : c’est d’
 82   VIII|          Hexe-Baizel le ferait aussi bien que moi. Comment ! je ne
 83   VIII|              avait touché, non, tout bien considéré, je crois que
 84   VIII|              ai mes hommes, ils sont bien armés, nous défendrons le
 85   VIII|              une affaire entendue et bien comprise ? demanda Hullin.~ ~ ~–
 86   VIII|              c’est entendu.~ ~ ~– Eh bien, camarades, s’écria le brave
 87   VIII|              oreille :~ ~ ~« Tout va bienJean-Claude est un homme…
 88   VIII|                    En effet, c’était bien lui ; il galopait en criant :~ ~ ~«
 89   VIII|            partisans des Vosges ! Eh bien, cela me va. Sans rancune,
 90   VIII|             en campagne, nous allons bien travailler, nous passerons
 91   VIII|       Lorquin sera content.~ ~ ~– Eh bien donc ! en route ! Vous dînez
 92     IX|             en lui-même : « Tout ira bien ! »~ ~ ~Mais le ciel leur
 93     IX|              Phalsbourg.~ ~ ~– C’est bien ; tu as encore sept heures
 94     IX|              dis, moi, que ça finira bien ; Gaspard reviendra, et
 95     IX|               elle dit :~ ~ ~« C’est bien… va… va… mon enfant, ta
 96     IX|            serais heureux !~ ~ ~– Eh bien, j’en ai, embrassons-nous !
 97      X|              eut peur !… mais ce fut bien autre chose lorsque derrière
 98      X|            ensemble.~ ~ ~ ~Cela dura bien dix minutes.~ ~ ~ ~Le corbeau,
 99     XI|            ferme, puis elle rentrait bien vite se remettre à l’ouvrage.
100     XI|            semblait joyeux.~ ~ ~« Eh bien, Nickel, que se passe-t-il
101     XI|        chasseur indigné, je voudrais bien voir ça.~ ~ ~– Oui, Materne,
102     XI|      assuraient que tout se trouvait bien en ordre, promenant autour
103    XII|           Grandfontaine, ce qui dura bien dix minutes, puis il prit
104    XII|              longues tables de sapin bien récurées à la couronne de
105    XII|           rasseoir.~ ~ ~« Vous voyez bien !~ ~ ~– Et d’où tenez-vous
106    XII|           affiché partout !~ ~ ~– Eh bien, ça nous fait plaisir, dit
107    XII|               on vous recevrait très bien au quartier général des
108    XII|            reprit :~ ~ ~« Vous aurez bien plutôt à craindre, au bois
109    XII|   recommencer 93.~ ~ ~– En êtes-vous bien sûr ? demanda Materne, faisant
110    XII|             rage.~ ~ ~« Réfléchissez bien à ce que je vous ai dit ! »
111    XII|             pays ! Hullin nous avait bien dit d’être sur nos gardes :
112    XII|              proclamation !~ ~ ~– Eh bien, descendez en Alsace, et
113    XII|     approchant de Schirmeck, c’était bien pis encore, les gens se
114    XII|              le désir de sauver leur bien les faisaient fuir lâchement.~ ~ ~ ~
115    XII|            si vous saviez !~ ~ ~– Eh bien, quoi ? l’ennemi arrive ;
116    XII|             ces gens ?~ ~ ~– Je sais bien que c’est difficile, dit
117    XII|              vieux chasseur, je vois bien que la peur de tout ce monde
118    XII|         vieux dit :~ ~ ~« Nous avons bientrente mille hommes sous
119    XII|                 Ils sont partis ! eh bien… allons voirFrantz, reste
120    XII|               voyez-vous, ça fera du bien aux camarades ; les chiens
121    XII|            de la bête ne sont jamais bien dressés.~ ~ ~ ~Alors ils
122    XII|              dans le monde ! Tu l’as bien pris, Kasper : juste au
123   XIII|              a tué hier.~ ~ ~– C’est bien, Marc, nous aurons besoin
124   XIII|            vous faites de beau et de bien.~ ~ ~– Hullin, vous êtes
125   XIII|         pauvre Schwartz, – il pesait bien neuf cents ; j’en apporte
126    XIV|           ont cultivés : c’est notre bien légitime.~ ~ ~– Sans doute,
127    XIV|          pour houspiller les gens de bien. Les alliés nous en souhaiteraient
128    XIV|        alliés nous en souhaiteraient bien une pareille, j’en suis
129    XIV|          veulent monter.~ ~ ~– C’est bien, Simon, j’arrive, dit Hullin
130    XIV|             n’aie pas peur, tout ira bien ! »~ ~ ~Il la pressait sur
131    XIV|              Oui, mais surtout visez bien, à hauteur de poitrine,
132    XIV|           sur l’épaule, et les rangs bien alignés comme à la parade.~ ~ ~ ~
133    XIV|          ferez estropier, et ce sera bien fait ! »~ ~ ~Il promit un
134    XIV|              cheval.~ ~ ~ ~Cela dura bien un bon quart d’heure. On
135     XV|            une place pour mourir, ou bien ils regardaient au loin
136     XV|       répondront : « Attendez… c’est bien possible… n’avait-il pas
137     XV|             un ton joyeux :~ ~ ~« Eh bien, mes garçons, vous avez
138     XV|            Oui, Jean-Claude, tout va bien… je suis contente ; mais
139     XV|                  Me voilà !~ ~ ~– Eh bien, arrive !~ ~ ~ ~L’accent
140     XV|         sapinières.~ ~ ~« Il le faut bien, mille tonnerres ! » répliqua
141     XV|          trompaient pas : il y avait bien six cents mètres ; aucun
142     XV|              deux cents mètres aussi bien que vous ! »~ ~ ~Le vieux
143     XV|            vieux forestier le savait bien, mais il ne voulait pas
144     XV|       donne-moi la main. Je voudrais bien t’avoir près de moi, et
145     XV|              c’est entendu.~ ~ ~– Eh bien donc, en route ! »~ ~ ~Toute
146     XV|         regardait en riant : « Ça va bien, » disait-il.~ ~ ~ ~La mêlée
147     XV|             y eut des kaiserlicks en bien plus grand nombre. Mais,
148    XVI|                Tout était donc fini, bien fini. Et pourtant pas un
149    XVI|           courage, cet homme ; c’est bien ! ça fait plaisir de voir
150    XVI|              j’appelle une opération bien enlevée », dit Lorquin.~ ~ ~ ~
151    XVI|        Encore un d’expédié ! Épongez bien la table, Despois, et passons
152    XVI|            métairie. Il fallait donc bien opérer sous les yeux de
153    XVI|                    Oui, ils viennent bien sûr de faire des abatis
154    XVI|        rapprochaient.~ ~ ~« Te voilà bien embarrassé de ces trois
155   XVII|             Lesselé, Katel, obéissez bien, mes enfants ; que ceci
156   XVII|             Louise, non, je me porte bien, je suis bien heureux !~ ~ ~–
157   XVII|            je me porte bien, je suis bien heureux !~ ~ ~– Asseyez-vous,
158   XVII|             mais, voyez-vous j’avais bien peur. Je pensais : Pourquoi
159   XVII|         silencieux :~ ~ ~« Je savais bien, pensait-il, que cette enfant-là
160   XVII|           Lefèvre entrait :~ ~ ~« Eh bien ! dit-elle, il faut dresser
161   XVII|              deux garçons, tous gens bien endentés et pourvus d’un
162   XVII|        putrides, et tout se présente bien. »~ ~ ~Katel, Lesselé et
163  XVIII|             grande Berbel se gardait bien de boire à la source froide ;
164  XVIII|            domaines ? Je suis encore bien bon de souffrir deux walkiries
165  XVIII|              inquiétude. Elle aurait bien voulu savoir d’où provenait
166  XVIII|            journée du samedi, ce fut bien autre chose encore. Dès
167  XVIII|              filer des linceuls ! Eh bien ! prends ta quenouille et
168    XIX|             même Schirmeck. Au loin, bien loin, dans les plaines de
169    XIX|          aller l’embrasser.~ ~ ~« Eh bien ? demanda Catherine.~ ~ ~–
170    XIX|          demanda Catherine.~ ~ ~– Eh bien, ils sont partis ; nous
171    XIX|       Pourtant nos affaires marchent bien. »~ ~ ~La vieille fermière
172    XIX|               Le principal est de se bien garder, d’avoir des munitions,
173    XIX|            vous prévenir que tout va bien, et que je suis arrivé le
174    XIX|            allons, dit-elle, tout va bien ! Venez, Brainstein, vous
175     XX|              sa chaise, allons, dors bien, mon enfant, moi, je n’en
176     XX|          Puis, à gauche de la ferme, bien loin, il y eut comme un
177     XX|              écria le docteur, c’est bien heureux ! »~ ~ ~Et Frantz
178     XX|            de la Sarre, apportait de bien loin, comme un soupir, les
179     XX|             troupeaux de chèvres. Eh bien ! ils ont passé là, deux
180     XX|          soir ; mais, à la fin, il a bien fallu se jeter dans les
181     XX|              rêveries, Hullin aurait bien pu me dire…~ ~ ~– Mais s’
182     XX|        enfant, » pensa Catherine. Et bien vite elle ajouta :~ ~ ~«
183     XX|              bois ; on se serait cru bien loin de toute agitation
184     XX|         fermière ; c’est beau, c’est bien. Jean-Claude, Gaspard et
185     XX|             un bonheur ! Je le crois bien : il n’y a pas plus de dix
186     XX|              nos affaires vont aussi bien sur le Donon, nous pourrions
187     XX|              gueux de Yégof pourrait bien revenir avec un tas de brigands
188     XX|               c’est qu’il continue à bien se porter, jusqu’à ce que
189    XXI|            sais d’avance qu’on s’est bien battu où tu commandais…~ ~ ~–
190    XXI|       ténèbres.~ ~ ~– Ah !… tu en es bien sûr ?~ ~ ~– Les hommes de
191    XXI|           jour, et nous avons encore bien des choses à faire. »~ ~ ~
192    XXI|     descendaient de la montagne ! Eh bien coûte que coûte, je me décide
193    XXI|          Vous êtes tous décidés ? Eh bien ! écoutez-moi. Le frère
194    XXI|              comme un mort.~ ~ ~« Eh bien, Catherine, lui dit-il,
195   XXII|              regarder. On était déjà bien haut sur la montagne au-dessus
196   XXII|           cria Jean-Claude, en voilà bien assez ; à quoi bon se rassasier
197   XXII|          étendue, désignait au loin, bien loin, un point blanc presque
198  XXIII|       kaiserlicks, n’est-ce pas ? Eh bien ! que vont-ils faire là,
199  XXIII|       promènent dans la campagne. Eh bien ! que veux-tu que Piorette
200  XXIII|             d’Italie et d’Égypte. Eh bien je lui exposerai la chose.
201  XXIII|           ici tout ce que j’ai : mon bien, ma femme, mes camarades,
202  XXIII|       laisserai ma peau en route, ou bien je reviendrai vous délivrer.
203  XXIII|              au sortir d’un rêve, et bien d’autres que nous ont souffert
204  XXIII|              le regardant :~ ~ ~« Eh bien ! nous sommes bloqués :
205  XXIII|              Phalsbourg ? Vous savez bien que la place est assiégée
206   XXIV|              observer seulement ; eh bien ! eux, ils le défendent.
207   XXIV|            aller plus vite.~ ~ ~« Eh bien, lui cria Jean-Claude, que
208   XXIV|            blond cendré, à la taille bien prise, aux mouvements résolus.
209   XXIV|           femmes s’y entendent aussi bien que nous. Vous avez des
210   XXIV|         estiment à cause de cela, eh bien, ils nous estimeront encore
211   XXIV|              soldats français en ont bien fait d’autres en Allemagne,
212   XXIV|        mourir avec vous !…~ ~– C’est bien, monsieur, dit Hullin tout
213    XXV|          asservir ? Nous aurions été bien reçus ! Qu’ils ont  souffrir,
214    XXV|              le connais… il se moque bien de nous. Qu’est-ce que ça
215    XXV|             du feu, le reste lui est bien égal. Ah ! le brigand ! »~ ~ ~
216    XXV|        fièvre, il entendait au loin, bien loin dans les gorges, la
217   XXVI|              les camarades ? Je sais bien que ce n’était pas facile ;
218   XXVI|             dire mais ce que je sais bien, c’est que Jean-Claude,
219   XXVI|       pourtant des jours où l’on est bien heureux d’être au monde.
220    Pas|           raconté ces choses le cœur bien triste.~ ~ ~ ~D’autres auraient
221    Pas|               Ah ! depuis j’ai pensé bien souvent qu’au lieu d’aller
222    Pas|           pour me dire :~ ~ ~« Ça va bien ! »~ ~ ~Elle avait eu terriblement
223    Pas|              se comporteraient aussi bien avec des gens d’âge. »~ ~ ~
224    Pas|     naturellement elle trouvait tout bien.~ ~ ~ ~On entendait dehors
225    Pas|           comme j’avais entendu dire bien des fois au vieux cabaretier
226    Pas|            pas vu ces choses-là sont bien heureux ! »~ ~ ~
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