Chap.

  1      I|           appartenait, en 1813, à Jean-Claude Hullin, un ancien volontaire
  2      I|          présent.~ ~ ~ ~Tel était Jean-Claude Hullin.~ ~ ~ ~C’était un
  3      I|           Gôlo, son cousin.~ ~ ~ ~Jean-Claude Hullin riait de ces choses,
  4      I|          prit à dire :~ ~ ~« Papa Jean-Claude, je crois qu’il vient chez
  5      I|            Oui, oui, je sais, fit Jean-Claude, je sais ! Tu m’as déjà
  6     II|         commençait à s’éteindre ; Jean-Claude se leva pour y remettre
  7     II|           viens causer avec vous, Jean-ClaudeLouise est sortie ?~ ~ ~–
  8     II|       cela ! »~ ~« Chose étrange, Jean-Claude, à mesure que le fou parlait,
  9     II|                  Ce qu’il disait, Jean-Claude, nous le voyions… Lui ne
 10     II|           ne puis me la rappeler, Jean-Claude ; mais il me semble encore
 11     II|               Toutes vos raisons, Jean-Claude, dit-elle, ne peuvent me
 12     II|        nuit dernièreBonne nuit, Jean-Claude ! »~ ~ ~
 13    III|        fut un coup de foudre pour Jean-Claude ; durant quelques minutes,
 14    III|       mérité de la patrie ! »~ ~ ~Jean-Claude franchit le pont. Un nouveau
 15    III|            ! c’est vous, maître Jean-Claude ! s’écria-t-il, vous arrivez
 16    III|           que vous et moi, maître Jean-Claude. Enfin le froid est venu ;
 17    III|         servait dans ce régiment. Jean-Claude allait donc avoir des nouvelles
 18    III|           encore à l’appel. »~ ~ ~Jean-Claude respira.~ ~ ~« Mais alors,
 19    III|    revoyez Gaspard, dites-lui que Jean-Claude Hullin l’embrasse, et qu’
 20    III|               Il est prêt, maître Jean-Claude. »~ ~ ~Puis, se penchant
 21    III|       rouleau de peaux de mouton. Jean-Claude y passa son bâton et le
 22    III|         Alors, bon voyage, maître Jean-Claude. »~ ~ ~Hullin sortit et
 23     IV|     dehors : « Bonne nuit, maître Jean-Claude. C’est vous ?~ ~ ~– Oui,
 24     IV|       apportait :~ ~ ~« Eh bien ! Jean-Claude, vous êtes de retour.~ ~ ~–
 25     IV|      générations de vieillards. – Jean-Claude n’entrait jamais dans cette
 26     IV|         étais sûre ; mais parlez, Jean-Claude. »~ ~ ~Hullin alors, les
 27     IV|      faits dans sa mémoire. Quand Jean-Claude en vint aux blessés, la
 28     IV|    pensées :~ ~ ~« Vous le voyez, Jean-Claude, dit-elle d’un ton grave,
 29     IV|             Soyez tranquille, dit Jean-Claude, je m’en charge. »~ ~ ~Tous
 30     IV|      Bonne nuit, Catherine. »~ ~ ~Jean-Claude s’éloigna rapidement sur
 31      V|                       V~ ~Lorsque Jean-Claude Hullin, en manches de chemise,
 32      V|           pratiquées dans ce but. Jean-Claude et Marc Divès se connaissaient
 33      V|         couverte de ruines.~ ~ ~ ~Jean-Claude approchait de la retraite
 34      V|    bonjour, Hexe-Baizel, lui cria Jean-Claude d’un ton de bonne humeur
 35      V|       belle Hexe-Baizel, répondit Jean-Claude, nous avons à causer d’affaires.~ ~ ~–
 36      V|     tendant sa large main :~ ~ ~« Jean-Claude, voici ma main : la poudre
 37      V|          à sa santé ! Bois aussi, Jean-Claude ! »~ ~ ~Hullin but, puis
 38      V|          cette passe. C’est égal, Jean-Claude, nous en viendrons à bout,
 39      V|           son coin, tu sauras que Jean-Claude est mon vieil ami d’enfance,
 40      V|         comme lancé dans l’abîme. Jean-Claude frémit ; mais presque aussitôt
 41      V|        sur le talon. »~ ~ ~Maître Jean-Claude obéit, non sans trembler ;
 42      V|           ne peux pas te figurer, Jean-Claude, la masse d’os, de peaux
 43      V|        suivre ! Dans ce temps-là, Jean-Claude, j’avais douze ans. Je pensai
 44      V|          as pas tout à fait tort, Jean-Claude. Dans les premiers temps,
 45      V|        long des reins.~ ~ ~– Oui, Jean-Claude, ça me produit l’effet d’
 46      V|                  Puis, apercevant Jean-Claude, son front se dérida.~ ~ ~«
 47      V|      vieille, ou gare ! En route, Jean-Claude ! »~ ~ ~Hullin le suivit
 48     VI|          au moyen de se défendre. Jean-Claude Hullin, en de telles circonstances,
 49     VI|  Falkenstein.~ ~ ~ ~Le lendemain, Jean-Claude se rendit de bonne heure
 50     VI|           endroit, Labarbe laissa Jean-Claude poursuivre seul sa route.~ ~ ~ ~
 51     VI|           ne me quittez pas, papa Jean-Claude ! Oh ! je vous aimerai bien !
 52     VI|       quart d’heure après, maître Jean-Claude débouchait par le sentier
 53     VI|             Ah ! c’est vous, papa Jean-Claude, je vous attendais. Mon
 54     VI|            et pourquoi donc, papa Jean-Claude ? | Oh ! j’ai du courage ;
 55     VI|          fois entourant le cou de Jean-Claude de ses bras :~ ~ ~« Allons,
 56     VI|         méchant aujourdhui, papa Jean-Claude !~ ~ ~– C’est pour toi,
 57     VI|             Tâche de décider papa Jean-Claude ; moi, je ne demande pas
 58     VI|         reviendriez ce soir, papa Jean-Claude.~ ~ ~– C’est juste, mon
 59     VI|      bouteille.~ ~ ~« Voilà, papa Jean-Claude, régalez-vous ! »~ ~ ~Elle
 60     VI|          loin encore. Ah ! maître Jean-Claude avait bien raison de crier : «
 61     VI|           pas de m’éveiller, papa Jean-Claude, si vous partez avant le
 62    VII|         affaires.~ ~ ~– Mais oui, Jean-Claude. Il faut espérer que nous
 63    VII|            vive la France, reprit Jean-Claude, car si les alliés arrivent
 64    VII|     chacun. »~ ~ ~Ayant dit cela, Jean-Claude descendit des tronces, et
 65    VII|         décidera. Moi, je propose Jean-Claude Hullin.  ! là-bas ! entendez-vous ?
 66    VII|        ceux qui ne veulent pas de Jean-Claude Hullin pour chef lèvent
 67    VII|              Que ceux qui veulent Jean-Claude Hullin pour chef lèvent
 68    VII|         des mains en l’air.~ ~ ~« Jean-Claude, dit le contrebandier, monte
 69    VII|         qu’on veut ! »~ ~ ~Maître Jean-Claude étant monté vit qu’il était
 70   VIII|              VIII~ ~Tous ceux que Jean-Claude Hullin avait désignés se
 71   VIII|           crois que tu as raison, Jean-Claude ; j’ai mes hommes, ils sont
 72   VIII|     oreille :~ ~ ~« Tout va bienJean-Claude est un homme… il voit tout…
 73   VIII|          Puis se tournant :~ ~ ~« Jean-Claude, s’écria-t-elle, nous avons
 74   VIII|         cela me va. Sans rancune, Jean-Claude. »~ ~ ~S’approchant alors
 75     IX|       toutes ces figures, lorsque Jean-Claude, le docteur Lorquin, les
 76     IX|          amis accouraient, maître Jean-Claude en tête, criant : « Gaspard !…
 77     IX|               Ah ! mon vieux papa Jean-Claude ! »~ ~ ~On se regardait
 78     IX|          ça ne m’étonne pas, papa Jean-Claude, répondait Gaspard. Asseyons-nous,
 79     IX|          asseoir ici. Tenez, papa Jean-Claude, avec cette petite-là d’
 80     IX|       puis vous donner tort, papa Jean-Claude, vous êtes dans votre droit ;
 81     IX|                 Vous avez raison, Jean-Claude, répondit la vieille fermière
 82     IX|          le défendre. Les yeux de Jean-Claude étincelaient ; le docteur
 83     XI|        mis en état de défense par Jean-Claude lui-même et les trois cents
 84     XI|           au milieu du dos.~ ~ ~ ~Jean-Claude semblait joyeux.~ ~ ~« Eh
 85     XI|           rien de nouveau, maître Jean-Claude ; seulement du côté de Phalsbourg,
 86     XI|        quitte jamais ma carabine, Jean-Claude, mais à la guerre comme
 87     XI|          recommandation de maître Jean-Claude : de la prudence ! Un Allemand
 88    XII|       main de Materne.~ ~ ~– Oui, Jean-Claude, nous l’avons pris à l’étang
 89   XIII|           rapports :~ ~ ~« Maître Jean-Claude, on voit remuer quelque
 90   XIII|      entend galoper.~ ~ ~– Maître Jean-Claude, l’eau-de-vie est gelée.~ ~ ~–
 91   XIII|           est gelée.~ ~ ~– Maître Jean-Claude, plusieurs demandent de
 92   XIII|           tout haut.~ ~ ~« Maître Jean-Claude arrive », dit Kasper en
 93   XIII|          cheval.~ ~ ~« C’est toi, Jean-Claude ?~ ~ ~– Oui, Marc.~ ~ ~–
 94   XIII|       Catherine ?~ ~ ~– Mais oui, Jean-Claude ; il fait joliment froid
 95   XIII|           vous connaître, s’écria Jean-Claude attendri, vous m’étonnez
 96   XIII|    retournant :~ ~ ~« C’est égal, Jean-Claude, ces feux-là font plaisir
 97   XIII|        poudre au hangar, et comme Jean-Claude se rapprochait du feu le
 98   XIII|            Quel arrêt ? » demanda Jean-Claude.~ ~ ~ ~L’autre, sans répondre,
 99   XIII|             Ah ! le Blutfeld, dit Jean-Claude, oui, oui, une vieille histoire ;
100   XIII|         revient à Louise », pensa Jean-Claude.~ ~ ~ ~Et prévoyant une
101   XIII|         devait pas quitter maître Jean-Claude tout le jour, et transmettre
102    XIV|      plateau, cria :~ ~ ~« Maître Jean-Claude, venez voir, je crois qu’
103    XIV|       pâles.~ ~ ~ ~Lorsque maître Jean-Claude eut atteint le bord de la
104    XIV|  au-dessous.~ ~ ~ ~En approchant, Jean-Claude vit les montagnards du Dagsberg,
105    XIV|        plaisir.~ ~ ~«  ! maître Jean-Claude, va-t-on bientôt commencer ?~ ~ ~–
106    XIV|          Soyez tranquille, maître Jean-Claude. »~ ~ ~Il allait plus loin ;
107    XIV|   sanglier.~ ~ ~«  ! c’est toi, Jean-Claude.~ ~ ~– Oui, je viens te
108    XIV|        bas :~ ~ ~« Tu ne sais pas Jean-Claude, tout à l’heure, comme je
109     XV|           ne riez pas.~ ~ ~– Oui, Jean-Claude, tout va bien… je suis contente ;
110     XV|      approchèrent de la ferme, et Jean-Claude vit, en passant, la réserve,
111     XV|    tremblait de tous ses membres. Jean-Claude lui demanda du papier et
112     XV|           il semblait triomphant. Jean-Claude le suivit, fort inquiet,
113     XV|        fut un coup de foudre pour Jean-Claude ; il pâlit, puis il entra
114     XV|   répondre.~ ~ ~« Allons, allons, Jean-Claude, dit-il enfin, calme-toi ;
115     XV|      mille tonnerres ! » répliqua Jean-Claude.~ ~ ~ ~Et d’un ton plus
116     XV|        ils pouvaient, et pourtant Jean-Claude, descendant à leur rencontre,
117     XV|  accourait avec sa troupe, maître Jean-Claude en tête, au secours de la
118    XVI|           Bon, bon, je comprends, Jean-Claude. Et s’ils veulent s’échapper
119    XVI|     pauvre Rochart à l’ambulance, Jean-Claude.~ ~ ~– Ah ! c’est triste,
120    XVI|     garçons.~ ~ ~– C’est entendu, Jean-Claude. »~ ~ ~Il s’éloigna.~ ~ ~ ~
121   XVII|       dans ce local.~ ~ ~ ~Maître Jean-Claude entendait la voix fraîche
122   XVII|          poivre.~ ~ ~ ~Le cœur de Jean-Claude sautillait à cette voix.
123   XVII|       bras en criant :~ ~ ~« Papa Jean-Claude, papa Jean-Claude, c’est
124   XVII|            Papa Jean-Claude, papa Jean-Claude, c’est vous !… vous n’êtes
125   XVII|     heureux !~ ~ ~– Asseyez-vous, Jean-Claude, dit l’anabaptiste qui le
126   XVII|       criant :~ ~ ~« Allons, papa Jean-Claude, dansons, dansons. »~ ~ ~
127   XVII|       dansa devant l’arche. »~ ~ ~Jean-Claude, étonné de ressembler au
128   XVII|       maman Lefèvre. »~ ~ ~Maître Jean-Claude devint silencieux :~ ~ ~«
129   XVII|        voici le souper du général Jean-Claude, et voici le bouillon pour
130   XVII|     réjouir le cœur.~ ~ ~ ~Maître Jean-Claude en fut vraiment attendri.~ ~ ~ ~
131   XVII|          Tout est terminé, maître Jean-Claude. Vous nous avez donné une
132   XVII|      vieux Materne à la droite de Jean-Claude, Catherine Lefèvre à gauche,
133    XIX|        éveillèrent ; elles virent Jean-Claude, assis dans un coin de la
134    XIX|      répondit :~ ~ ~« C’est vrai, Jean-Claude, je suis inquiète.~ ~ ~–
135    XIX|        direz ce que vous voudrez, Jean-Claude ; mais un grand danger nous
136    XIX|         instants de silence, puis Jean-Claude, se réveillant de sa stupeur,
137    XIX|         de rose.~ ~ ~– Vous riez, Jean-Claude ?~ ~ ~– Non, mais à entendre
138    XIX|       sous les yeux impatients de Jean-Claude et de Louise, et lut tout
139    XIX|         place en serre-file. Papa Jean-Claude aurait joliment ri de cette
140    XIX|       mère, ma chère Louise, papa Jean-Claude ; je vous embrasse longtemps,
141    XIX|      Louise marchait derrière, et Jean-Claude venait ensuite, impatient
142     XX|     rapprochait.~ ~ ~« Eh ! hurla Jean-Claude les bras en l’air, est-ce
143     XX|          s’appuya sur l’épaule de Jean-Claude ; mais celui-ci l’enleva
144     XX|          Soyez tranquille, maître Jean-Claude.~ ~ ~– Alors en route, docteur,
145     XX|      jusqu’à la mort !~ ~ ~– Papa Jean-Claude ! » cria Louise en lui tendant
146     XX|          nous entraîne de force ? Jean-Claude est venu me prendre, il
147     XX|          ne faut pas en vouloir à Jean-Claude, car, par la faute d’un
148     XX|          libre ?… J’ai pardonné à Jean-Claude ; je m’en repens !~ ~ ~–
149     XX|        Que se passait-il là-bas ? Jean-Claude parviendrait-il à se maintenir
150     XX|           c’est beau, c’est bien. Jean-Claude, Gaspard et moi, nous pouvons
151     XX|          puisque c’est l’ordre de Jean-Claude ; mais nous ne pouvons pas
152    XXI|        nous ! Pas de nouvelles de Jean-Claude ?~ ~ ~– Non, madame. »~ ~ ~
153    XXI|          frémissante :~ ~ ~« Papa Jean-Claude !~ ~ ~– J’arrive, répondit
154    XXI|           en courant au-devant de Jean-Claude.~ ~ ~– Il est avec nous,
155    XXI|        bras de Hullin.~ ~ ~« Oh ! Jean-Claude, quel bonheur de vous revoir !~ ~ ~–
156    XXI|        chaudes larmes.~ ~ ~« Ah ! Jean-Claude, disait la mère Lefèvre,
157    XXI|     Lorsque Catherine, mandée par Jean-Claude, entra, elle entendit une
158    XXI|       fermière, au patriotisme de Jean-Claude, au courage de Jérôme et
159   XXII|           Allons, Catherine, cria Jean-Claude, en voilà bien assez ; à
160   XXII|          de recueillement :~ ~ ~« Jean-Claude, celui qui a taillé ce roc
161   XXII|           la terrasse ; Louise et Jean-Claude la suivirent. Au fond de
162  XXIII|            que vont-ils faire là, Jean-Claude ?~ ~ ~– Ils vont entourer
163  XXIII|          que l’uniforme, vois-tu, Jean-Claude, et nous sommes sauvés :
164  XXIII|           est une idée, dit enfin Jean-Claude. Je ne m’y oppose pas. »~ ~ ~
165  XXIII|     traître ; mais si je reviens, Jean-Claude, tu m’expliqueras un peu
166  XXIII|        ajouta :~ ~ ~« C’est égal, Jean-Claude, tu n’aurais pas  me dire
167  XXIII|      pourra leur répondre ! »~ ~ ~Jean-Claude s’était rapproché. Au bout
168   XXIV|           aucun côté ?~ ~ ~– Non, Jean-Claude, il n’y a pas moyen, répondit
169   XXIV|                 Eh bien, lui cria Jean-Claude, que se passe-t-il, mon
170   XXIV|         avoir inspecté ce groupe, Jean-Claude se retourna et dit :~ ~ ~«
171   XXIV|          leurs pas sous la voûte. Jean-Claude, allant à leur rencontre
172   XXIV|         Oui, monsieur, » répondit Jean-Claude.~ ~ ~ ~Et comme l’autre
173   XXIV|       veux rester avec vous, papa Jean-Claude, je veux mourir avec vous !…~ ~–
174   XXIV|         en barricada la porte, et Jean-Claude décida que les distributions
175    XXV|           fièvre ; ils accusaient Jean-Claude de les avoir conduits au
176    XXV|       Hullin… qui a parlé ?~ ~ ~ ~Jean-Claude, revenu de son émotion,
177    XXV|     première.~ ~ ~« Materne, cria Jean-Claude, est-ce qu’il n’y aurait
178    XXV| sanglantes dans sa colonne.~ ~ ~ ~Jean-Claude l’observait, et malgré l’
179   XXVI|       crier dans les oreilles : « Jean-Claude !… Catherine !… Jérôme !
180   XXVI|         fut un coup terrible pour Jean-Claude, Catherine, Materne, Jérôme
181   XXVI|           je sais bien, c’est que Jean-Claude, fort sombre depuis l’entrée
182   XXVI|   Piorette, bonne nuit ! » criait Jean-Claude.~ ~ ~ ~Ses vieux amis se
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