Chap.

  1      I|            rien refuser à sa fille Louise, une enfant qu’il avait
  2      I|            un beau garçon fiancé à Louise, et dont toute la famille
  3      I|     Saint-Sylvestre.~ ~ ~ ~Quant à Louise, la fille des heimathslôs,
  4      I|         sont encore éblouis. »~ ~ ~Louise n’aimait que les champs,
  5      I|            riant :~ ~ ~« Ma pauvre Louise, avec le butin que tu nous
  6      I|        idées de Hullin au sujet de Louise.~ ~ ~« Moi, disait-elle,
  7      I|         gêneras pas, n’est-ce pas, Louise ? »~ ~ ~Et toutes deux s’
  8      I|          pour le bûcheron Rochart. Louise venait de déposer une écuelle
  9      I|          bourdonnement du rouet de Louise et le bouillonnement de
 10      I|            temps pareil ? »~ ~ ~Et Louise, déposant sa quenouille,
 11      I|          sphères invisibles ; mais Louise en éprouvait un grand trouble,
 12      I|           s’arrêter nulle part, et Louise, tout émue, voyant qu’il
 13      I|          ne sera pas Yégof ! »~ ~ ~Louise l’embrassa de nouveau, et
 14      I|        entra tout rêveur, et salua Louise de la tête en abaissant
 15      I|      maître resta dans la cassine. Louise ne le quittait pas des yeux ;
 16      I|         demander en mariage. »~ ~ ~Louise, à cette proposition, rougit
 17      I|            le malheureux regardait Louise d’un air d’admiration profonde.~ ~ ~«
 18      I|          la grande satisfaction de Louise, qui voyait toujours le
 19      I|          qu’il m’a fait peur ! dit Louise.~ ~ ~– Allons, allons, mon
 20      I|       paroles et le départ du fou, Louise tremblait encore et se sentait
 21     II|        même jour, après le souper, Louise, ayant pris son rouet, était
 22     II|            avec vous, Jean-ClaudeLouise est sortie ?~ ~ ~– Elle
 23     II|            il est venu me demander Louise pour la faire reine d’Austrasie ? »~ ~ ~
 24    III|         des nouvelles du fiancé de Louise ; mais, au moment de parler,
 25     IV|         laisse à penser la joie de Louise, lorsqu’elle apprit que
 26      V|           bure.~ ~ ~ ~Il entendait Louise marcher au-dessus de sa
 27      V|          la petite mansarde.~ ~ ~« Louise, cria-t-il, je pars !~ ~ ~–
 28      V|         bien me faire. D’ailleurs, Louise n’est pas encore d’âge à
 29     VI|      vieille horloge, et surtout à Louise, à sa bonne petite Louise,
 30     VI|          Louise, à sa bonne petite Louise, filant dans le silence,
 31     VI|                 Mais c’est surtout Louise, sa chère enfant, qu’il
 32     VI|            regarder ce que faisait Louise en ce moment. Il jeta donc
 33     VI|          chambre, par la fenêtre : Louise était debout contre les
 34     VI|           d’une voix ferme :~ ~ ~« Louise, me voilà de retour. »~ ~ ~
 35     VI|            allé voir vos amis, dit Louise en riant ; je sais tout,
 36     VI|            sa stupeur.~ ~ ~« Mais, Louise, s’écria-t-il, tu n’y songes
 37     VI|        voulez rire de votre petite Louise… vous ne pouvez pas l’abandonner !~ ~ ~–
 38     VI|       demandez à voir votre petite Louise pour la dernière fois, et
 39     VI|          ses genoux :~ ~ ~« Tiens, Louise, voilà maintenant douze
 40     VI|           les chemins. »~ ~ ~Alors Louise se mit à lui sourire, et
 41     VI|      empaqueté ; puis le paquet de Louise avec ses bonnes robes, ses
 42     VI|            tourner la tête ! »~ ~ ~Louise sourit.~ ~ ~« Vous êtes
 43     VI|            le briquet tout rêveur. Louise courait à droite, à gauche,
 44     VI|          au travail. Et tout cela, Louise le quittait sans peine ;
 45    VII|           de paille avec la petite Louise, que de toutes parts retentirent
 46   VIII|            charrette elle embrassa Louise et lui dit à l’oreille :~ ~ ~«
 47   VIII|          fermière, tout sera prêt. Louise et moi, nous allons nous
 48   VIII|            ce soir ; n’est-ce pas, Louise ?~ ~ ~– Oh ! oui, maman
 49     IX|        empilait au coin de l’âtre, Louise servait les convives et
 50     IX| satisfaction en ce jour, surtout à Louise et à la mère Lefèvre. Vers
 51     IX|     rapides traversaient la cour ; Louise s’élançant vers la porte,
 52     IX|          Et, dans la même seconde, Louise se prit à sangloter, tandis
 53     IX|            voix plus haute :~ ~ ~« Louise ! dit-il, j’ai vu Louise ! »~ ~ ~
 54     IX|           Louise ! dit-il, j’ai vu Louise ! »~ ~ ~Et Louise se précipitait
 55     IX|            ai vu Louise ! »~ ~ ~Et Louise se précipitait dans ses
 56     IX|            tu ne m’as pas reconnu, Louise !~ ~ ~– Oh ! que si… oh !
 57     IX|        mère Catherine avec le sac, Louise avec le fusil, Duchêne avec
 58     IX|           retrouver chez soi.  ! Louise, viens donc un peu t’asseoir
 59     IX|            le coude, puis regarder Louise et sa mère les yeux attendris,
 60     IX|        Gaspard d’un air d’extase ; Louise remplissait son verre, la
 61     IX|           Tout le monde était ému. Louise, le bras sur la vieille
 62     IX|         débouchées :~ ~ ~« Allons, Louise, s’écria-t-il, du courage,
 63     IX|       monde l’écoutait en silence. Louise, dans les moments de grand
 64     IX|            dans la montagne.~ ~ ~ ~Louise, jetant ses bras au cou
 65     IX|             Et il dénoua ses bras. Louise, alors, s’affaissant sur
 66     IX|          voici ta place, là, entre Louise et moi : tu y seras toujours !
 67     IX|             Tout le monde sortit ; Louise seule resta dans la salle
 68     IX|         fâché contre toi, ma bonne Louise. Oh ! non, non, fit-il.
 69     IX|      levant la main ; Catherine et Louise lui répondirent. Hullin
 70      X|        Hullin, le docteur Lorquin, Louise, étaient partis avec ceux
 71     XI|                 De temps en temps, Louise apparaissait sur le seuil
 72   XIII|         font plaisir à voir ! Mais Louise, où est-elle ?~ ~ ~– Louise
 73   XIII|        Louise, où est-elle ?~ ~ ~– Louise a passé la nuit à découper
 74   XIII|             le voilà qui revient à Louise », pensa Jean-Claude.~ ~ ~ ~
 75    XIV|        grand poêle de fonte.~ ~ ~ ~Louise, assise près de son père,
 76    XIV|           dit Hullin en se levant. Louise, embrasse-moi ; du courage,
 77     XV|            héros.~ ~ ~ ~Catherine, Louise, le docteur Lorquin, tout
 78     XV|           entrer à la ferme.~ ~ ~ ~Louise, arrivée avec la petite
 79     XV|                 Puis il embrassait Louise, et courait à la mère Lefèvre :~ ~ ~«
 80   XVII|       entendait la voix fraîche de Louise donner des ordres d’un petit
 81   XVII|    dessinait le charmant profil de Louise, en petite jupe pour courir
 82   XVII|       braves filles formaient avec Louise le plus étrange contraste.~ ~ ~ ~
 83   XVII|           faut se remuer, ajoutait Louise ; Seigneur, que deviendrions-nous
 84   XVII|       courage, mes enfants ! »~ ~ ~Louise tenait justement une cuiller
 85   XVII|           frémissante :~ ~ ~« Non, Louise, non, je me porte bien,
 86   XVII|                 Hullin s’assit, et Louise, s’asseyant sur ses genoux,
 87   XVII|           rien.~ ~ ~« Et pour toi, Louise, reprit-il en s’arrêtant,
 88   XVII|           a tout pour elle ! »~ ~ ~Louise, alors, le prenant par la
 89   XVII|                  Katel, Lesselé et Louise entrèrent bientôt, portant
 90   XVII|            honneur à la cuisine de Louise, et cela contribuait encore
 91    XIX|          il entra dans la fermeLouise et Catherine dormaient encore.~ ~ ~ ~
 92    XIX|           de la nuit. Catherine et Louise s’éveillèrent ; elles virent
 93    XIX|       seuls dans la grande salle ; Louise était allée préparer le
 94    XIX|          dire quelque chose, quand Louise entra comme une hirondelle,
 95    XIX|        fille :~ ~ ~« Embrasse-moi, Louise ; c’est une bonne lettre. »~ ~ ~
 96    XIX|         bonne lettre. »~ ~ ~Ce que Louise fit avec enthousiasme.~ ~ ~ ~
 97    XIX|    impatients de Jean-Claude et de Louise, et lut tout haut :~ ~ ~«
 98    XIX|            ma bonne mère, ma chère Louise, papa Jean-Claude ; je vous
 99    XIX|          Enfin… voilà… Tu entends, Louise, il t’embrasse longtemps ! »~ ~ ~
100    XIX|         embrasse longtemps ! »~ ~ ~Louise alors se jetant dans ses
101    XIX|       aubaine, suivit la vieille : Louise marchait derrière, et Jean-Claude
102     XX|         soir, Catherine Lefèvre et Louise, après avoir souhaité le
103     XX|        dormait profondément.~ ~ ~ ~Louise ne tarda point à suivre
104     XX|          gorges du Grosmann.~ ~ ~« Louise ! Louise ! cria la vieille
105     XX|           Grosmann.~ ~ ~« Louise ! Louise ! cria la vieille fermière,
106     XX|          descendit l’escalier avec Louise. À la lueur tremblotante
107     XX|           le long du mur à droite. Louise suivait en sanglotant.~ ~ ~ ~
108     XX|          une botte de paille, puis Louise à côté d’elle.~ ~ ~« Vous
109     XX|           ajusta et fit feu.~ ~ ~ ~Louise vit le rémouleur, à trente
110     XX|          Papa Jean-Claude ! » cria Louise en lui tendant les bras.~ ~ ~ ~
111     XX|           que Catherine Lefèvre et Louise virent dans l’espace de
112     XX|          rêve, devint silencieuse. Louise essuyait ses larmes et jetait
113     XX|            eût été émerveillée, et Louise n’aurait pas manqué d’admirer
114     XX|          vous dites cela ! murmura Louise.~ ~ ~– Elle a raison, cette
115     XX|            on juge de l’émotion de Louise et de Catherine assises
116     XX|             dans son trouble, prit Louise par le bras en criant d’
117     XX|         cheveux sur la tête.~ ~ ~ ~Louise, toute pâle, et la vieille
118     XX|           l’entendaient pas.~ ~ ~ ~Louise, au milieu de ce tumulte,
119     XX|             ne pouvaient accourir. Louise sentit une main se poser
120     XX|           eut un choc : Catherine, Louise, la paille, tout roula dans
121     XX|            qu’eût été cette chute, Louise avait vu quelques ombres
122     XX|         comme un rêve.~ ~ ~ ~Alors Louise se retourna ; Catherine
123     XX|          être fiers de toi ! »~ ~ ~Louise était agitée d’une émotion
124     XX|            vous avez beau pleurer, Louise, dit Lorquin, vous êtes
125     XX|           chez Cuny ; Catherine et Louise ne seront pas fâchées de
126     XX|      arrivent, sauvons-nous ! cria Louise.~ ~ ~– Attendez un peu,
127    XXI|          du marché :~ ~ ~« Allons, Louise, dit-elle, nous voilà chez
128    XXI|            Et, malgré la distance, Louise, croyant reconnaître la
129    XXI|            sur la neige durcie, et Louise, n’y pouvant tenir, cria
130    XXI|   donnaient une sorte d’épouvante. Louise était dans les bras de Hullin,
131    XXI|   Catherine dressait la table avec Louise. Bientôt Duchêne, remontant
132   XXII|           plus l’air devenait vif. Louise, la fille des heimathslôs,
133   XXII|      souffrances étaient oubliées. Louise se revoyait toute petite
134   XXII|            une immense cathédrale, Louise et Catherine s’arrêtèrent
135   XXII|           au bord de la terrasse ; Louise et Jean-Claude la suivirent.
136   XXII|           à travailler. Gaspard et Louise referont tout cela. Moi,
137  XXIII|          hiboux, et vit Catherine, Louise et les autres accroupis
138  XXIII|        serrées, le teint verdâtre. Louise, adossée au mur, semblait
139   XXIV|        vers sept heures du matin ; Louise et Hexe-Baizel dormaient
140   XXIV|            douce et pâle figure de Louise derrière elle, puis Jérôme
141   XXIV|   inflexible, regardant par hasard Louise, parut attendrie ; elle
142   XXIV|            Saverne ? »~ ~ ~À peine Louise eut-elle entendu ces mots,
143    XXV|           où je vous mords ! »~ ~ ~Louise délirait ; ses grands yeux
144    XXV|            la roche était profond. Louise ne donnait plus signe de
145    XXV|        leur souffle pour entendre. Louise elle-même se remuait doucement
146    XXV|          bégaya :~ ~ ~« CatherineLouiseJérôme ! »~ ~ ~Mais personne
147   XXVI|         Lefèvre, voyant sa mère et Louise immobiles et les dents serrées,
148   XXVI|         puis on chargea Catherine, Louise et les autres sur les schlittes
149   XXVI|    moustaches, et son mariage avec Louise eut lieu.~ ~ ~ ~Ce jour-là
150   XXVI|           des petits souliers pour Louise, Materne et ses fils, un
151   XXVI|              Cela dit, il embrassa Louise ; et, bras dessus, bras
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