Chap.

  1      I|              schlitteurs, en face du grand feu de sciure, et tandis
  2      I|            esclavage, avec l’aide du Grand Gôlo, son cousin.~ ~ ~ ~
  3      I|          mais Louise en éprouvait un grand trouble, surtout lorsque
  4      I|              le pauvre diable aurait grand besoin d’une paire de sabots
  5     II|        tenace, et je ne sais quoi de grand et de triste, qui inspirait
  6     II|            elle baissa les yeux, son grand nez crochu se recourba jusque
  7     II|            grande cheminée noire, le grand manteau de pierre, où l’
  8    III|            route pour Phalsbourg, un grand bâton de cormier au poing.~ ~ ~ ~
  9    III|              six chevaux, traînant à grandpeine d’énormes troncs d’
 10    III|           première charrette, que le grand carabinier aux joues verdâtres,
 11    III|      militaire, hâlée, brunie par le grand air, pleine de franchise,
 12    III|             finesse goguenarde ; son grand shako, sa grosse capote
 13    III|               De notre compagnie, au grand complet lorsque nous sommes
 14    III|     Jean-Pierre Meunier, coiffé d’un grand chapeau à cornes et l’écharpe
 15     IV|          gens l’entendirent tirer le grand registre de l’armoire, et
 16     IV|        caquettent les poules avec le grand coq roux, qui passe la tête
 17     IV|            son étui de noyer, et son grand fauteuil de cuir à crémaillère,
 18      V|            Et puis, le silence, – ce grand silence de l’hiver… – cette
 19      V|              contre la roche, et son grand balai de genêts verts. À
 20      V|      couvercle de bois fut tiré : un grand corps, large de trois pieds
 21      V|         là-bas, l’Oxenstein, le plus grand que j’aie jamais vu de ma
 22      V|      pyramides, et sur les côtés, un grand nombre de lingots de plomb,
 23      V|               moi, que c’est le plus grand plaisir du monde. Et puis
 24      V|             elle-même partirent d’un grand éclat de rire.~ ~ ~« C’est
 25      V|              de rire.~ ~ ~« C’est un grand fou, dit Hexe-Baizel.~ ~ ~–
 26     VI|     Jésus-Marie-Joseph ! » – le plus grand nombre songeait au moyen
 27     VI|              homme respectable et de grand sens, mais qu’ils ne purent
 28     VI|             servir l’omelette sur un grand plat fleuronné, le pain,
 29     VI|             de bois dans l’ombre, le grand lit au fond de l’alcôve,
 30     VI|          apprivoiser, il lui faut le grand air, le ciel immense, le
 31     VI|                     Le silence était grand au dehors. Onze heures sonnaient
 32     VI|           faut donner le signal : un grand feu sur le Falkenstein. »~ ~ ~
 33    VII|                      Là-bas, près du grand chêne, au feu de l’oncle
 34    VII|        Hullin, resté en arrière, son grand chapeau sur la nuque, le
 35    VII|             il dit au milieu du plus grand silence :~ ~ ~« L’ennemi
 36    VII|          abord quelques-uns, puis un grand nombre s’approchèrent pour
 37   VIII|            Trois-Fontaines, un homme grand, maigre, enfourché sur une
 38   VIII|             cou, le nez en l’air. Un grand chien berger à longs poils
 39   VIII|          larges épaules voûtées, son grand cheval et son chien, tout
 40   VIII|                 Alors il partit d’un grand éclat de rire, et tous les
 41     IX|           givre des vitres et que le grand coq rouge, sortant la tête
 42     IX|                On était dans le plus grand feu de la cuisine ; la troisième
 43     IX|      pétiller, tant le silence était grand ; mais bientôt, Catherine
 44     IX|            le fusil, Duchêne avec le grand shako, suivaient riant,
 45     IX|          Louise, dans les moments de grand danger, – au passage des
 46     IX|              lèvres serrées sous son grand nez crochu, sans pousser
 47      X|             a de plus noble, de plus grand, de plus vital : l’intelligence ! –
 48      X|              dans le fond s’étend un grand pâturage tout parsemé de
 49      X|             un mortier, et que de ce grand carnage, la gorge a conservé
 50      X|            il semble qu’on entend le grand cri des Germains au moment
 51      X|        personnes attentives. Le plus grand se mit à hurler, et Yégof
 52     XI|             remettre à l’ouvrage. Un grand coq grattait le fumier de
 53     XI|           montra subitement entre le grand et le petit Donon : les
 54    XII|         pièce basse, chauffée par un grand fourneau de fonte bleui
 55    XII|            personnage, assis dans un grand fauteuil de cuir près du
 56    XII|        nombre des troupeaux devenait grand ; il n’y avait plus seulement
 57    XII|          comme de la galette ; qu’un grand nombre buvaient l’eau-de-vie
 58    XII|          partir, lorsqu’un cri, plus grand, plus prolongé que les autres,
 59    XII|              corde à la selle, et un grand pistolet d’arçon passé dans
 60    XII|           jusque dans les nuages. Un grand maigre cassait la glace
 61    XII|           bouche béante, à côté d’un grand feu où cuisait le souper.~ ~ ~«
 62   XIII|               Cette nouvelle lui fit grand plaisir, surtout à cause
 63   XIII|         convoi et s’avançait sur son grand cheval.~ ~ ~« C’est toi,
 64    XIV|            avait fait du feu dans le grand poêle de fonte.~ ~ ~ ~Louise,
 65    XIV|       caisses. Bref, dans cet espace grand comme la main, on pouvait
 66    XIV|            pierre, à sa porte, et un grand maigre lui a donné je ne
 67    XIV|           des Charmes, penché sur un grand fusil de munition ; le petit
 68    XIV|                Le vieux Materne, son grand nez d’épervier relevé au-dessus
 69    XIV|         milieu de la colonne, sur un grand cheval bai, s’avançait tout
 70    XIV|            de faire bon usage de son grand fusil de munition.~ ~ ~ ~
 71    XIV|           cessait pas de charger son grand fusil, et de tirer dans
 72    XIV|             on le vit passer dans la grandrue de Grandfontaine, les
 73     XV|              fait de la peine… ou ce grand brun qui se bande la jambe
 74     XV|                  Oui, notre affaire, grand imbécile ! L’amour-propre
 75     XV|             la baïonnette ! »~ ~ ~Le grand contrebandier, sur son immense
 76     XV|         artilleurs et l’officier, un grand maigre, large des épaules,
 77     XV|               il ajusta lentement le grand officier aux moustaches
 78     XV|      apparence, Materne éprouvait un grand trouble intérieur. En entrant
 79     XV|            ravin, et, du haut de son grand roussin, il commençait à
 80     XV|          vers la lisière du bois, le grand Piercy de Soldatenthal en
 81     XV|             coups de fusil ; puis un grand cri : « Vive la France ! »
 82     XV|          debout sur ses étriers, son grand nez en l’air et ses moustaches
 83     XV|             clouait en même temps le grand officier à moustaches blondes
 84     XV|             kaiserlicks en bien plus grand nombre. Mais, sans la canonnade
 85    XVI|                      Alors on vit le grand Nicolas Cerf se lever la
 86    XVI|        épongez. »~ ~ ~Alors, avec un grand couteau, il fit un tour
 87    XVI|                     Ce qui dut faire grand plaisir à l’homme du Harberg.~ ~ ~ ~
 88   XVII|              blanchie à la chaux. Un grand feu de hêtre pétillait sur
 89   XVII|         bientôt fini de plumer notre grand coq maigre ? De ce train,
 90  XVIII|           tremblante et armée de son grand chardon, elle se glissa
 91  XVIII|               Wetterhexe écouta : un grand coup de vent venait de s’
 92    XIX|           côte. Le curé Saumaize, un grand vieillard à tête blanche,
 93    XIX|       voudrez, Jean-Claude ; mais un grand danger nous menaceOui,
 94    XIX|            une femme de bon sens, de grand courage, parler comme vous
 95     XX|        cheval devant un traîneau, un grand sabre de cavalerie au poing,
 96     XX|                   Au même moment, un grand gaillard, aux jambes longues
 97     XX|         Hullin pâlit.~ ~ ~« C’est le grand rémouleur du Harberg, »
 98     XX|              nous est arrivé le plus grand des malheurs. Il ne faut
 99     XX|          voit encore de nos jours un grand chêne qui s’avance au tournant
100     XX|          voyait plus sous l’ombre du grand chêne, où filtraient quelques
101     XX|             reconnaître Yégof sur un grand cheval maigre, Yégof, la
102     XX|          main du fou, du haut de son grand cheval.~ ~ ~ ~À cet instant
103     XX|     broussailles s’écartèrent, et le grand Marc Divès, sa latte pendue
104     XX|            sous son bonnet, c’est un grand bonheur.~ ~ ~– Si c’est
105     XX|           bagarre. «  ! s’écria le grand contrebandier, c’est nous
106     XX| applaudissant :~ ~ ~« Moi, criait le grand contrebandier, je n’ai jamais
107    XXI|                  Presque aussitôt un grand nombre de pas retentirent
108    XXI|              le docteur Lorquin, son grand chien Pluton le nez en l’
109    XXI|          doucement s’asseoir dans le grand fauteuil à gauche. Au bout
110   XXII|              mur dans la neige ; son grand cheval, accoutumé sans doute
111   XXII|             sur leur droite, tout ce grand spectacle les émut, et la
112   XXII|          cette nouvelle avec le plus grand calme, et s’avança jusqu’
113   XXII|             de l’abîme s’étendait un grand nuage blanc ; on voyait,
114   XXII|             dit :~ ~ ~« Ce n’est pas grand, mais c’est solide ; on
115  XXIII|       pourquoi il l’avait appelée la grandmère du pays, supposant
116  XXIII|           Charmes. Là se trouvait un grand chef à large panse, qui
117   XXIV|           dormaient encore ; mais le grand jour, le jour splendide
118   XXIV|       défilés.~ ~ ~– Oui, s’écria le grand Toubac, et si ce n’est pas
119   XXIV|         patriotisme a de noble et de grand, même dans les inspirations
120    XXV|      regardait Yégof assis devant un grand feu, sur le plateau du Bois-de-Chênes,
121    XXV|               avait quelque chose de grand et de digne. Il se retournait
122   XXVI|                    Eh ! répondait le grand contrebandier d’un air de
123   XXVI|             temps étaient venus d’un grand malheur ; les alliés, malgré
124   XXVI|           chant patriotique, le plus grand, le plus noble que l’homme
125    Pas|            aux Quatre-Vents, dans le grand lit de plumes au fond de
126    Pas|        alcôve, chez ma bonne vieille grandmère Madeleine. Huit jours
127    Pas|        tremblante, ma pauvre vieille grandmère, les lèvres serrées,
128    Pas|       tombait le 10 janvier 1814, ma grandmère, à la nuit, ferma notre
129    Pas|            se coucher en haut, et la grandmère resta pour veiller
130    Pas|            de fermer l’œil.~ ~ ~ ~La grandmère dormait depuis longtemps,
131    Pas|      veilleuse, quand tout à coup un grand murmure attira mon attention
132    Pas|           écoutai mieux, et comme ma grandmère dormait toujours, je
133    Pas|            écoutâmes ensemble, et la grandmère, au bout d’un instant,
134    Pas|          travers.~ ~ ~ ~Et, comme ma grandmère me regardait dans un
135    Pas|            mère me regardait dans un grand trouble, voilà qu’on frappe
136    Pas|         droite et à gauche.~ ~ ~ ~La grandmère les suivait, et le
137    Pas|             eux, un vieux tout gris, grand, sec, la figure longue,
138    Pas|              ai vu ma pauvre vieille grandmère aussi troublée ; elle
139    Pas|            Mon Dieu oui, répondit la grandmère en soufflant toujours ;
140    Pas|          autour du feu, dans le plus grand silence ; et la grand’mère
141    Pas|           plus grand silence ; et la grandmère me fit signe, en clignant
142    Pas|            maison de la ville, et la grandmère lui répondit que non,
143    Pas|           pour nous remercier, et ma grandmère me dit :~ ~ ~– Voilà
144    Pas|          faire un signe de tête à ma grandmère, en l’appelant :~ ~ ~«
145    Pas|            et plus ils appelaient ma grandmère : – Moutter ! Moutter ! –
146    Pas|            indignait.~ ~ ~ ~Enfin la grandmère était tellement contente
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