Chap.

  1      V|         Sans doute ; n’oublie pas Materne du Hengst et ses deux garçons,
  2     VI|    chasseurs forestiers, le vieux Materne. C’est là qu’il passa la
  3     VI|           les chemins difficiles. Materne promit de surveiller le
  4     VI|          prévenu les montagnards, Materne, Jérôme, Labarbe ?~ ~ ~–
  5    VII|           nombre étaient le vieux Materne du Hengst et ses deux fils
  6    VII|         arrivent ! »~ ~ ~Le vieux Materne se dressa sur une tronce,
  7    VII|      approchant du feu, rencontra Materne et ses deux garçons.~ ~ ~«
  8    VII|      votre chef : J’accepte ! Que Materne le vieux, Labarbe de Dagsburg,
  9   VIII|         Cosaques, disait le vieux Materne en souriant, je ne serais
 10   VIII|        Justement j’y pensais, dit Materne ; une fois dans la vallée
 11   VIII|                Il retint le vieux Materne et ses deux garçons Frantz
 12   VIII|      village des Charmes. Hullin, Materne et ses garçons marchaient
 13     IX|           le docteur Lorquin, les Materne et tous ceux qui avaient
 14     IX|     Hullin ! Le docteur Lorquin ! Materne ! Frantz ! Tous, tous, ils
 15     IX|      noisettes. »~ ~ ~Et le vieux Materne lui-même disait à ses garçons :~ ~ ~«
 16     IX|         position de l’ambulance ; Materne et ses garçons allongeaient
 17     XI|            se trouvaient le vieux Materne et ses deux garçons.~ ~ ~ ~
 18     XI|             Puis se tournant vers Materne, debout derrière lui :~ ~ ~«
 19     XI|          bien voir ça.~ ~ ~– Oui, Materne, et ce sera le plus simple,
 20     XI|       garçons, répondit fièrement Materne, sont de vrais chasseurs :
 21    XII|                             XII~ ~Materne et ses deux garçons marchèrent
 22    XII|         de cuir près du fourneau, Materne se trouvait seul. Il venait
 23    XII|           faire.~ ~ ~« Ainsi, dit Materne en se retournant vers le
 24    XII|             Les sourcils du vieux Materne se rapprochèrent, mais réprimant
 25    XII|         ça nous fait plaisir, dit Materne, en portant la main sur
 26    XII|      êtes-vous bien sûr ? demanda Materne, faisant effort pour se
 27    XII|        seront tous pendus ! »~ ~ ~Materne se leva.~ ~ ~« Il est temps
 28    XII|                  Une fois dehors, Materne, se retournant les lèvres
 29    XII|      église, ils firent halte, et Materne, d’un ton plus calme, leur
 30    XII|           en rêvant à ces choses, Materne rencontrait de temps en
 31    XII|          me racontez là ? faisait Materne, ça me renverse, des gens
 32    XII|         dans sa barbe.~ ~ ~ ~Plus Materne avançait, plus le nombre
 33    XII|      jamais rien vu de pareil, et Materne, indigné, rougissait de
 34    XII|          avoir de la place.~ ~ ~ ~Materne poussant la porte et voyant
 35    XII|                   Ah ! mon pauvre Materne, si vous saviez, si vous
 36    XII|   bourdonnement.~ ~ ~ ~Vers midi, Materne et ses garçons allaient
 37    XII|       aurait pu faire quatre pas. Materne, portant le regard au loin
 38    XII|       atteint la lisière du bois. Materne dit alors qu’il fallait
 39    XII|          quinze à vingt pieds, où Materne monta, n’ayant pas d’arme,
 40    XII|         le pied à l’étrier.~ ~ ~ ~Materne sur son rocher écouta, puis
 41    XII|     descendirent près du cheval ; Materne saisit aussitôt la bride
 42    XII|     sentier tellement rapide, que Materne répéta plus de cent fois. «
 43    XII|               France ! » répondit Materne en s’avançant.~ ~ ~ ~Tout
 44    XII|          leur rencontre : « Voici Materne ! »~ ~ ~Hullin lui-même,
 45    XII|     Hullin, en serrant la main de Materne.~ ~ ~– Oui, Jean-Claude,
 46    XII|           son gibier, et le vieux Materne, se frottant les mains,
 47   XIII|         matin, Kasper, le fils de Materne, vint dire à Hullin que
 48    XIV|             Arrivés près du vieux Materne, qui commandait tous ces
 49    XIV|        les abatis.~ ~ ~ ~Le vieux Materne, son grand nez d’épervier
 50    XIV|         terre en tremblait.~ ~ ~ ~Materne, se dressant de toute sa
 51    XIV|    lançait sur la route. Le vieux Materne avait sa baïonnette toute
 52    XIV|        mis d’ordre à venir.~ ~ ~ ~Materne, debout sur le talus avec
 53    XIV|          celui du colonel tué par Materne, et qui s’était retiré dans
 54    XIV|         Dieu et les saints.~ ~ ~ ~Materne eut envie de tirer, mais
 55     XV|           nouvelle aux camarades. Materne, ouvre l’œil ; au moindre
 56     XV|        Les assistants et le vieux Materne lui-même, qui venait d’accourir
 57     XV|           l’attaque qui s’avance. Materne, attention ! »~ ~ ~Le vieux
 58     XV|          la main ; mais Hullin et Materne ne s’y trompaient pas :
 59     XV|           coup partit, et lorsque Materne posa sa crosse à terre pour
 60     XV|           et calmes en apparence, Materne éprouvait un grand trouble
 61     XV|     ronflement terrible. Le vieux Materne lui-même s’était courbé
 62     XV|       remarqué les échelles avant Materne, et son indignation contre
 63     XV|          Lagarmitte dire à Frantz Materne, qui se trouvait posté de
 64     XV|     suivre le mouvement ; – enfin Materne, debout sur la crête du
 65    XVI|        sans se reconnaître.~ ~ ~ ~Materne, après avoir essuyé sa baïonnette,
 66    XVI|       leur dit :~ ~ ~« C’est toi, Materne ? »~ ~– Ah ! mon pauvre
 67    XVI|          me ferait traîner. »~ ~ ~Materne, sans répondre, fit signe
 68    XVI|       tant s’en faut.~ ~ ~ ~Comme Materne, ses garçons et Rochart
 69    XVI|       Ouvre la porte, Frantz, dit Materne, la face couverte d’une
 70    XVI|           inondées de sang.~ ~ ~ ~Materne et Kasper posèrent le vieux
 71    XVI|       passé en quelques instants. Materne et ses fils avaient regardé
 72    XVI|         jusqu’aux oreilles.~ ~ ~ ~Materne ne put en voir davantage.~ ~ ~«
 73    XVI|                  Une fois dehors, Materne respirant l’air froid à
 74    XVI|      porte, et Hullin, apercevant Materne, ne put retenir un cri d’
 75    XVI|       riant, j’ai vu le momentMaterne allait battre la chamade ;
 76    XVI|           vilaine tournure. »~ ~ ~Materne rougit, et lançant au contrebandier
 77    XVI|               Puis, s’adressant à Materne :~ ~ ~« Je viens d’envoyer
 78    XVI|        vieux chasseur.~ ~ ~–  ! Materne, tu viendras ensuite souper
 79   XVII|     Lorquin, Despois, Marc Divès, Materne et ses deux garçons, tous
 80   XVII|          sans cérémonie, le vieux Materne à la droite de Jean-Claude,
 81    XIX|     Encore tout à l’heure, Frantz Materne que j’avais envoyé en reconnaissance,
 82    XIX|     retournent à Mutzig. Le vieux Materne et Kasper, après avoir relevé
 83     XX|                Attention ! » cria Materne.~ ~ ~ ~On entendait aussi
 84     XX|       coups de feu, Catherine vit Materne, le cou nu, et son fils
 85     XX|          à la ceinture, et Frantz Materne, avec une douzaine d’hommes,
 86     XX|         heureux ! »~ ~ ~Et Frantz Materne ajouta :~ ~ ~« Si ce n’était
 87     XX|        neige, et derrière, Frantz Materne et ses hommes, la carabine
 88     XX|       respiration brusque. Frantz Materne s’arrêtait parfois, promenant
 89    XXI|         Mon père ? s’écria Frantz Materne en courant au-devant de
 90    XXI|     Frantz, criait alors le vieux Materne,  ! par ici ! »~ ~ ~Et,
 91    XXI|         tachées de sang. Le vieux Materne, lui, grâce à sa présence
 92    XXI|        silences. Les deux fils de Materne se tenaient par le bras,
 93    XXI|           de sa longue moustache. Materne seul restait debout, selon
 94    XXI|        Catherine Lefèvre, Jérôme, Materne et ses garçons, Hullin,
 95    XXI|         de l’escorte, Marc Divès, Materne ; tous, l’arme au pied dans
 96    XXI|     Jérôme, à droite, la vallée ; Materne et les hommes de l’escorte
 97    XXI|    courage de Jérôme et des trois Materne, au désintéressement du
 98   XXII|           tirez dessus. »~ ~ ~Les Materne s’étaient arrêtés au bord
 99   XXII|     bleuâtre de l’abîme. Le vieux Materne, la main étendue, désignait
100   XXIV|          au-dessous d’eux apparut Materne, qui grimpait tout essoufflé
101   XXIV|    objection à faire, les fils de Materne passèrent leur carabine
102   XXIV|    tunique de bure, puis le vieux Materne appuyé sur sa courte carabine,
103   XXIV| desséchées. Hexe-Baizel, derrière Materne, son long balai de genêts
104    XXV|         lieu de malheur, le vieux Materne épaulait sa carabine ; mais
105    XXV|       pain ! »~ ~ ~Les garçons de Materne, accroupis dans les broussailles,
106    XXV|          Hullin, Jérôme, le vieux Materne et le docteur Lorquin s’
107    XXV|                Jérôme, Catherine, Materne, et vous tous, êtes-vous
108    XXV|            tout à coup la voix de Materne leur cria :~ ~ ~« Prenez
109    XXV|   mouvement de la première.~ ~ ~« Materne, cria Jean-Claude, est-ce
110   XXVI|      hotte sur une pierre, Kasper Materne renifla tout à coup, ouvrit
111   XXVI|           Jean-Claude, Catherine, Materne, Jérôme et toute la montagne ;
112   XXVI|      petits souliers pour Louise, Materne et ses fils, un coq de bruyère,
113   XXVI|       villages.~ ~ ~« Bonne nuit, Materne, Jérôme, Divès, Piorette,
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2011. Content in this page is licensed under a Creative Commons License