Chap.

  1      I|       aimait surtout sa cousine, la vieille fermière du Bois-de-Chênes,
  2      I|              C’était un homme de la vieille souche gauloise, aimant
  3      I|             plaintif, tandis que la vieille horloge comptait les secondes
  4      I|          par la race maudite, et la vieille sage-femme Sapience Coquelin,
  5      I|           des ténèbres s’enfuit… La vieille race… les maîtres de vos
  6      I|            avec un descendant de la vieille race à votre tête… et vous
  7     II|           un de ces jours. »~ ~ ~La vieille horloge se mit à tinter
  8     II|              c’est moi, répondit la vieille fermière d’un ton calme.
  9     II|       répondre à cette question, la vieille, regardant vers la porte,
 10     II|   indifférent.~ ~ ~– Oui, reprit la vieille à voix basse, il a passé
 11     II|             disait Hullin.~ ~ ~ ~La vieille poursuivit :~ ~ ~« Yégof
 12     II|         semaines et des mois… Et la vieille… là… – dit-il en me montrant
 13     II|            clan des Kilbérix, cette vieille au nez crochu, dans ses
 14     II|          belles jeunes filles !… La vieille seule, avec ses ongles et
 15     II|           pas ces choses-là, dit la vieille fermière d’un ton calme
 16     II|                 Hullin observait la vieille femme dont le regard s’animait,
 17     IV|            monde. – Elle était trop vieille, trop sérieuse pour oublier
 18     IV|         ouvrant dans la cuisine, sa vieille horloge marquant les secondes
 19     IV|             Il hocha la tête, et la vieille, les lèvres serrées, s’assit
 20     IV|            faisait une pause, et la vieille fermière clignait des yeux
 21     IV|            de quelques instants, la vieille se remettant de ces terribles
 22     IV|          nous défendre ! s’écria la vieille, dont les joues pâles frémirent ;
 23     IV|     arrivent ! qu’ils arrivent ! La vieille des vieilles est toujours
 24     IV|             voir, belle comme cette vieille Margareth dont avait parlé
 25     IV|             nous manquent. »~ ~ ~La vieille fermière s’était calmée
 26     IV|            c’est beau ! répliqua la vieille, c’est tout simple : je
 27     IV|        étaient allés se coucher. La vieille déposa sa lampe au coin
 28      V|                 Hullin but, puis la vieille.~ ~ ~« Maintenant tout est
 29      V|            grosse trique ; alors la vieille, toute hérissée, disparut
 30      V|       beaucoup plus à lui qu’à toi, vieille fouine ; car si tu n’avais
 31      V|             Hullin ! Le vieux et la vieille voulaient m’arracher les
 32      V|            que je viens de te dire, vieille, ou gare ! En route, Jean-Claude ! »~ ~ ~
 33     VI|           au tic-tac monotone de la vieille horloge, et surtout à Louise,
 34     VI|        maillets, le petit poêle, la vieille armoire, les écuelles de
 35    VII|         jour. Il faut se figurer la vieille scierie avec sa large toiture
 36    VII|             vit-on distinctement la vieille fermière, le fouet en main,
 37   VIII|       parvenue, la désolation de sa vieille gouvernante Marie, qui voulait
 38     IX|           de sa place, regardait la vieille fermière aller et venir.~ ~ ~«
 39     IX|            si hâlé, si décharné, sa vieille capote grise à boutons d’
 40     IX|            Jean-Claude, répondit la vieille fermière fort triste. Annette,
 41     IX|              Louise, le bras sur la vieille épaulette râpée de Gaspard,
 42     IX|       enfant n’est pas encore assez vieille pour savoir que vivre c’
 43      X| heureusement sa casaque et même une vieille hachette à laquelle il ne
 44    XII|             remplir les verres ; la vieille horloge sonnait neuf heures,
 45    XII|           du village, en face de la vieille croix, tout près de l’église,
 46    XII|            honteux ! »~ ~ ~Alors la vieille se retournant, répondit
 47    XII|           tout sans miséricorde. La vieille Ursule de Schlestadt, arrivée
 48    XII|        oubliée sur la fenêtre d’une vieille femme de quatre-vingts ans ;
 49   XIII|                    Ah ! répondit la vieille fermière en se levant et
 50   XIII|          Jean-Claude, oui, oui, une vieille histoire ; il me semble
 51    XIV|            dix de ces enfants de la vieille Germanie. Il les saisissait
 52     XV|      abandonnait. ! « Il reverra la vieille Allemagne ! pensaient-ils.
 53    XVI|   dirigèrent ensemble du côté de la vieille métairie.~ ~ ~ ~Ils traversaient
 54    XVI|             coin, à gauche, sous la vieille horloge de faïence, un tas
 55   XVII|          avaient pas dégénéré de la vieille race.~ ~ ~ ~D’autres événements,
 56  XVIII|           attira sur ses genoux une vieille couverture de laine et parut
 57    XIX|          parut pas tranquilliser la vieille fermière ; il lui fallut
 58    XIX|             marchent bien. »~ ~ ~La vieille fermière alors, d’un geste
 59    XIX|             rêve, c’était comme une vieille histoire qui vous revient,
 60    XIX|             qui galopait ! » dit la vieille fermière d’un tel accent
 61    XIX|                   Qui sait ? dit la vieille d’un ton obstiné ; s’il
 62    XIX|            Gaspard ! »~ ~ ~Alors la vieille fermière, dont le nez crochu
 63    XIX|            un air harassé.~ ~ ~ ~La vieille mit ses besicles, ouvrit
 64    XIX|            cette aubaine, suivit la vieille : Louise marchait derrière,
 65     XX|                  Allons, s’écria la vieille fermière en grimpant sur
 66     XX|             deux heures, lorsque la vieille fut éveillée en sursaut
 67     XX|           Louise ! Louise ! cria la vieille fermière, tu entends ?~ ~ ~–
 68     XX|                     Alors la pauvre vieille, brisée par ces émotions,
 69     XX|        terrible dans cette nuit. La vieille fermière, se rappelant son
 70     XX|          cheval soufflait.~ ~ ~ ~La vieille fermière restait silencieuse,
 71     XX|             a-t-il dit ? demanda la vieille fermière.~ ~ ~– Il n’a eu
 72     XX|             commençait à poindre la vieille maison forestière du garde
 73     XX|            la montagne à gravir, La vieille fermière, dans son trouble,
 74     XX|           Louise, toute pâle, et la vieille fermière, ses grands cheveux
 75     XX|            couvrir Catherine, et la vieille fermière, – qu’on juge de
 76     XX|           un destin inflexible : la vieille se croyait marquée d’avance ;
 77     XX|        jusque dans le chignon de la vieille, qui sentit ce fer froid
 78     XX|          comble !~ ~ ~– Oui, dit la vieille fermière en fourrant ses
 79    XXI|       bonjour, Jérôme ! lui cria la vieille fermière.~ ~ ~– Bonjour,
 80    XXI|           et buvez ! leur criait la vieille fermière ; tout n’est pas
 81    XXI|         Certainement ! » s’écria la vieille fermière, dont les traits
 82    XXI|             toutes les vertus de la vieille fermière, au patriotisme
 83   XXII|       approchant au petit pas de la vieille métairie. Ils étaient espacés
 84   XXII|            Vous avez raison, dit la vieille fermière, partons : je serais
 85   XXII|           spectacle les émut, et la vieille fermière dit avec une sorte
 86   XXII|                    Oui, répondit la vieille fermière, voilà quarante
 87   XXII|           moi non plus, répondit la vieille fermière ; c’est égal, Baizel,
 88   XXII|           contente de retrouver une vieille camarade d’enfance. » Baizel
 89  XXIII|       blanches et de myrtilles, est vieille comme la montagne ; ni les
 90  XXIII|     prenaient volontiers ; enfin la vieille tour lui servait de bûcher.
 91  XXIII|             flamme, avait abrité la vieille tour d’un toit en planches.
 92  XXIII|              tout soucieux, vers la vieille tour, où l’on avait établi
 93  XXIII|            les murailles grises. La vieille fermière, assise sur un
 94  XXIII|            de quelques secondes, la vieille fermière, relevant la tête,
 95  XXIII|           là-dessus, interrompit la vieille. Marc peut être pris ou
 96   XXIV|                     Ainsi rêvait la vieille, et l’avenir ne lui faisait
 97   XXIV|             la joue ridée comme une vieille feuille de choux, le nez
 98   XXIV|      empreinte dans le regard de la vieille.~ ~ ~« Ce sont de nobles
 99   XXIV|            L’officier pâlit, car la vieille lui parut capable d’exécuter
100   XXIV|           comprit, à l’accent de la vieille, qu’il ne pourrait lui faire
101    XXV|         buissons et se poser sur la vieille tour.~ ~ ~« Voici des vivres ! »
102    XXV|         étau, ressemblait à quelque vieille sibylle assise au milieu
103    XXV|         étaient réunis autour de la vieille fermière pour mourir ensemble.
104    XXV|          étaient là, tout à coup la vieille, sortant de son immense
105    XXV|               puis, tout à coup, la vieille, se dressant de toute sa
106    XXV|             quart d’heure, quand la vieille reprit lentement :~ ~ ~«
107    XXV|           Blutfeld ! »~ ~ ~Et cette vieille, tout à l’heure si faible,
108   XXVI|       genoux, je leur apprendrai ma vieille chanson, et puis j’irai
109    Pas|             l’alcôve, chez ma bonne vieille grandmère Madeleine. Huit
110    Pas|          sœur tremblante, ma pauvre vieille grandmère, les lèvres serrées,
111    Pas|         Jamais je n’ai vu ma pauvre vieille grandmère aussi troublée ;
112    Pas|              Ils voient que je suis vieille, que j’ai la tête grise,
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