Chap.

 1      I|     Bretagne et la Normandie aux hommes du Nord, avec les Flandres
 2     II|       Sarre, et vous autres, les hommes blonds, enterrés dans les
 3     II|          seigneurs du pays, oh ! hommes blonds, aux yeux bleus,
 4     II|      montagne, lorsque nous, les hommes roux aux yeux verts, venus
 5    III|         portes étaient ouvertes, hommes, femmes, enfants, allaient,
 6    III| frissonnait à voir ces groupes d’hommes mornes, avec leurs grandes
 7    III|         voulons voir comment les hommes périssent, comment ils regardent
 8    III|         se sentait mal. Oh ! les hommes, les hommes !… Et dire que
 9    III|        mal. Oh ! les hommes, les hommes !… Et dire que nous sommes
10    III|       est revenu que trente-deux hommes. Je crois que Gaspard Lefèvre
11    III|        ne manquent pas, mais les hommes. Depuis plus de vingt ans
12     IV|        pas fallu les exterminer, hommes, femmes et enfants ?~ ~ ~–
13     IV|  Autrichiens, ces Prussiens, ces hommes roux qui nous ont déjà exterminés,
14      V|          regarde : il y a plus d’hommes là-bas que d’oiseaux dans
15      V| tranquille, Marc, je connais mes hommes.~ ~ ~– Alors, à bientôt. »~ ~ ~
16     VI|     Victor, avec ses douze mille hommes, tient encore la route de
17    VII|          éclairant des groupes d’hommes et de femmes accroupis dans
18    VII|       alors quelques centaines d’hommes dans la vallée : bûcherons,
19    VII|         près il fallait voir ces hommes rudes, la barbe hérissée
20    VII|         à périr ! Ainsi, que les hommes qui n’auraient pas réfléchi
21    VII|          village va fournir deux hommes à Marc Divès, pour chercher
22   VIII|  Piorette va se mettre avec cent hommes du côté de Raon-les-Leaux ;
23   VIII|           Jean-Claude ; j’ai mes hommes, ils sont bien armés, nous
24     XI|      lui-même et les trois cents hommes qui formaient sa force principale.~ ~ ~ ~
25    XII|         n’est pas avec des mille hommes qu’on va les attaquer, pas
26    XII|       sauvait à travers champs ; hommes, troupeaux, voitures, tout
27    XII|       avons bientrente mille hommes sous les yeux. Ils s’avancent
28    XII|         y a pourtant de drôles d’hommes dans le monde ! Tu l’as
29   XIII|         plus au pas lourd de ces hommes. Hullin rêveur, la tête
30   XIII|          y eut un éclair, et les hommes de Marc Divès à cheval,
31    XIV|           les Russes et tous ces hommes roux nous mangeraient la
32    XIV|          qui commandait tous ces hommes, au nombre d’environ deux
33    XIV|      forte d’environ trois mille hommes, avec les grands habits
34    XIV|           et toute cette masse d’hommes se prit à courir sur les
35    XIV|       baïonnettes hérissées, des hommes à cheval.~ ~ ~ ~Cela dura
36    XIV|        était horrible ! Mais les hommes sont vraiment féroces :
37    XIV|         Tel est le caractère des hommes ; pourvu qu’ils soient contents,
38     XV|          cheval au milieu de ses hommes. Le contrebandier se plaignait
39     XV|        un air superbe.~ ~ ~ ~Ses hommes en firent autant.~ ~ ~ ~
40     XV|       hâte avec la moitié de ses hommes. On peut s’imaginer si le
41     XV|          baïonnette ; moi et mes hommes nous nous chargeons du reste.
42     XV|       pied à terre, dit-il à ses hommes, il ne faut pas s’endormir.
43     XV|                Environ six cents hommes périrent en ce jour. Il
44    XVI|         de solennel, et tous ces hommes, échappés d’un carnage,
45   XVII|          de trois à quatre cents hommes, on l’avait transportée
46  XVIII|         des vautours. À moi, les hommes roux ! à moi ! Que cette
47  XVIII|         le courage de mes jeunes hommes, et leur inspirer le mépris
48  XVIII|        milliers de hardis jeunes hommes sont couchés dans la neige !…
49  XVIII|      déjà conquis l’Europe ; les hommes roux seraient les maîtres
50    XIX|         avoir des munitions, des hommes et des canons ; ça vaut
51    XIX|       perdu quelques centaines d’hommes, en essayant de forcer le
52     XX|     Materne, avec une douzaine d’hommes, le fusil au pied, frémissant
53     XX|  derrière, Frantz Materne et ses hommes, la carabine sur l’épaule,
54     XX|    prendre ? »~ ~ ~Frantz et les hommes de l’escorte s’étaient rapprochés.
55     XX|        On venait de charger deux hommes blessés sur le traîneau.
56     XX|       mi-côte, Marc Divès et ses hommes arrivèrent, criant :~ ~ ~«
57     XX|     disait : " Qu’est-ce que les hommes, pour se détruire ainsi,
58    XXI|     cordonnier ; il y a soixante hommes étendus sur la pente du
59    XXI|          es bien sûr ?~ ~ ~– Les hommes de Labarbe l’ont vu monter ;
60    XXI|  bataille est perdue ! Voici nos hommes du Donon ; je viens d’entendre
61    XXI|          n’avais que trois cents hommes contre quatre mille à Grandfontaine,
62    XXI|          avec une cinquantaine d’hommes solides. Il était déjà trop
63    XXI|   Piorette ; une centaine de mes hommes se joignirent à lui. Moi,
64    XXI|     sommes réduits à trois cents hommes. Maintenant il s’agit de
65    XXI|          nous faudrait dix mille hommes pour la reprendre, et, dans
66    XXI|       restent, à l’exception des hommes qui formaient l’escorte
67    XXI|          vallée ; Materne et les hommes de l’escorte entouraient
68  XXIII|          De trois à quatre mille hommes.~ ~ ~– Sans compter ceux
69  XXIII|  vagabonds, avec tes trois cents hommes ? Je te le demande franchement,
70  XXIII|    positif, mais nous sommes des hommes, nous ferons notre devoir :
71  XXIII|   seulement quelques centaines d’hommes à notre secours…~ ~ ~– Il
72   XXIV|       semble que trois ou quatre hommes solides, décidés, pourraient
73    XXV|              Deux cent cinquante hommesfit-elle ; des gardes nationaux
74    XXV|        bruyère, et des groupes d’hommes allant et venant comme au
75    XXV|        bois, deux ou trois cents hommes, rangés en ligne, l’arme
76    XXV|     est-ce que cinq ou six cents hommes peuvent faire contre quatre
77    XXV|          files de quinze à vingt hommes renversées d’un seul coup, –
78    XXV|       pas. Décidément il y a des hommes de cœur dans tous les pays ! »~ ~ ~
79    XXV|          à la meute, lorsque les hommes de Piorette ou ceux de Phalsbourg
80   XXVI|          avait laissé vingt-cinq hommes au Falkenstein, pour garder
81   XXVI|    guerres, ni famines, – si les hommes pouvaient s’entendre, s’
82    Pas|     mieux fait de garder assez d’hommes pour défendre la France :
83    Pas|       dire cela… j’aime tous les hommes !… Soyons prudents et justes…
84    Pas|        gens honnêtes et de beaux hommes. Ils voient que je suis
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