Chap.

 1      I|          Tu ne me gêneras pas, n’est-ce pas, Louise ? »~ ~ ~Et toutes
 2    III|   hôpital ?~ ~ ~– L’hôpital ! qu’est-ce qu’un hôpital… dix hôpitaux…
 3     IV|        répondit Hullin ; mais qu’est-ce que cela prouve ? Un fou
 4     IV|          parler. Comment !… mais est-ce que nous valons moins que
 5     IV|          moins que nos anciens ? Est-ce qu’ils ne se sont pas défendus,
 6     IV|        sont pas défendus, eux ?… Est-ce qu’il n’a pas fallu les
 7      V|      Hullin !… le sabotier !… Qu’est-ce qu’il veut ?~ ~ ~– Je viens
 8      V|        Pour tirer des lièvres, n’est-ce pas ? fit le contrebandier
 9      V|         le crois bien ! mais qui est-ce qui les paye ?~ ~ ~– Tais-toi,
10      V|          Les fous, les fous… qui est-ce qui n’est pas fou ? – Allons-nous-en,
11      V|       villages de la montagne, n’est-ce pas, Hullin ?~ ~ ~– Oui,
12     VI|       vous aimerai bien ! Oh ! n’est-ce pas que vous ne voulez pas
13     VI|      tout ébahi.~ ~ ~– Mais oui. Est-ce que nous ne partons pas ?
14     VI|      prendre un peu d’air aussi. Est-ce que les oiseaux ne sortent
15     VI|        sont dehors tout l’hiver. Est-ce que je n’ai pas senti le
16     VI|        après vous ! Le froid… qu’est-ce que le froid ? Et si vous
17     VI|          put y tenir davantage.… Est-ce bien vrai que maman Lefèvre
18    VII|        faut-il ? Un homme sûr, n’est-ce pas ? un soldat, un homme
19   VIII|          occuper dès ce soir ; n’est-ce pas, Louise ?~ ~ ~– Oh !
20     IX|  bégayait :~ ~ ~« Seigneur Dieuest-ce possible ?… mon pauvre enfant…
21     IX|          a tant de déserteurs, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh ! une idée
22      X|         intelligent y succombe ? Est-ce une concentration plus puissante
23      X|         état de fièvre continu ? Est-ce l’effet de la surexcitation
24     XI|       corne, et mon couteau. Qui est-ce qui me prêtera sa blouse
25    XII|                L’usurpateur ? qu’est-ce donc ?~ ~ ~–  ! Napoléon
26    XII|     demandaient entre eux : « Qu’est-ce qu’ils ont donc ? »~ ~ ~
27    XII|         tiens ! pas possible… Qu’est-ce que vous me racontez là ?
28   XIII|          de rien ?~ ~ ~– Tiens ! est-ce que je serais femme, si
29   XIII| tranquille avec vos compliments. Est-ce qu’il ne faut pas que ces
30   XIII|        que ces gens-là mangent ? Est-ce qu’ils peuvent vivre de
31    XIV|          la tête.~ ~ ~– Bah ! qu’est-ce que ça prouve ? dit Hullin.
32     XV|          gravement Hullin.~ ~ ~– Est-ce qu’il n’y aurait pas moyen
33     XV|   avertir plus tôt ? hurla-t-il. Est-ce que je ne t’avais pas recommandé
34     XV|          à la dernière minute, n’est-ce pas ? Tu voulais te battre,
35     XV|         nous chargeons du reste. Est-ce entendu ?~ ~ ~– Oui, c’est
36    XVI|             ! Jacob, Philippe, est-ce toi ! »~ ~ ~Et puis la nuit
37    XVI|          à leur demander :~ ~ ~« Est-ce vous ?~ ~ ~– Oui, c’est
38    XVI|          trois mouvements.~ ~ ~– Est-ce qu’il n’y a pas moyen de
39    XVI|      quand on a fait son devoir, est-ce qu’on a besoin d’avoir peur ?
40    XVI|       chercher des munitions, qu’est-ce qui t’empêche de les emmener ?~ ~ ~–
41    XVI|             Ah ! c’est triste, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, c’est triste ! »~ ~ ~
42  XVIII| profondeurs de l’abîme.~ ~ ~« Qu’est-ce que cela ? se demandait
43  XVIII|      cela ? se demandait Berbel, est-ce la fin du monde ? »~ ~ ~
44     XX|   Jean-Claude les bras en l’air, est-ce que j’ai le temps de vous
45     XX|       pendaient sur la selle ; n’est-ce pas, Frantz ?~ ~ ~– Oui,
46     XX|        en ce moment du traîneau, est-ce que je ne serais pas libre ?…
47     XX|        cinq cents diables : « Qu’est-ce que c’est, Cuny ? – Je n’
48     XX|          chacun se disait : " Qu’est-ce que les hommes, pour se
49    XXI|          plus rien. Que faire ?… Est-ce que je pouvais battre en
50    XXI|     pouvais battre en retraite ? est-ce que je pouvais abandonner
51    XXI|      Paris ? Si je l’avais fait, est-ce que je n’aurais pas été
52    XXI|       crièrent les autres.~ ~ ~– Est-ce votre avis, Catherine ?~ ~ ~–
53  XXIII|          sont des kaiserlicks, n’est-ce pas ? Eh bien ! que vont-ils
54  XXIII|          l’inquiétait. « Voyons, est-ce que ce n’est pas une chance !~ ~ ~–
55   XXIV|        de la cigale en automne : est-ce que ses cris empêchent l’
56   XXIV|  baïonnette derrière la roche, n’est-ce pas ? Et cet autre, ici,
57   XXIV|     avons une enfant avec nous ; est-ce qu’il n’y aurait pas moyen
58    XXV|        se moque bien de nous. Qu’est-ce que ça lui fait, si nous
59    XXV|         en eut peur, et se dit : Est-ce que je deviens fou ? La
60    XXV|          dit Hullin à Jérôme. Qu’est-ce que cinq ou six cents hommes
61    XXV|       Materne, cria Jean-Claude, est-ce qu’il n’y aurait pas moyen
62   XXVI|         ai fait que mon devoir : est-ce que je pouvais laisser périr
63    Pas|         Fâlberg ou du GraufthâlEst-ce qu’ils ont besoin de passer
64    Pas|         je la touchai :~ ~ ~« Qu’est-ce que c’est ? fit-elle en
65    Pas|           fit-elle en se levant. Est-ce que tu veux à boire ?~ ~ ~–
66    Pas|         entrer, me dit-elle ; qu’est-ce qu’il faut faire, Jérôme !~ ~ ~–
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2011. Content in this page is licensed under a Creative Commons License